Dans ce second tome nous retrouvons Yang, l'ancienne mercenaire qui apprend que son ex-fiancé est toujours amoureux d'elle. Très vite l'humour fait son apparition quand Ryô lui propose de lui prêter son corps si elle n'a vraiment plus aucun sentiments pour Oikawa. Tentative qui échoue bien sûr🙂.
Oikawa retrouve indirectement Yang qui se fait la promesse de revenir voir les cerisiers en fleur, en compagnie de leur fils sous le regard de Ryô et Xiang. Les cerisiers sont en fleur, c'est donc le printemps au Japon et cela veut dire… que les femmes portent des tenues plus légères. Pour le plus grand plaisir de Ryô, le don juan, que sa fille doit littéralement tenir en laisse.
La mission de City Hunter pour Yang se termine sous ces cerisiers. À la fois triste et très belle. Les cerisiers sont toujours présents pour Ryô car le jour de la mort de Kaori approche. Xiang et son père ont une peur terrible en voyant le fantôme de Kaori, qui est en fait le caméléon déguisé. Il veut passer une journée en leur compagnie.
D'abord réticent, Ryô accepte car le caméléon lui fait du chantage. Ils se rendent tous les trois au café où Saeko fait son apparition. le sosie de Kaori lui fait beaucoup de peine car elle imagine la famille qu'ils auraient pu avoir. le manga se termine avec la très belle histoire de la célèbre tasse attitrée de Kaori dans le café d'Umibozu et par la même occasion la description de leur lien.
J'ai adoré ce tome bien que l'humour y soit moins présent. Je suis très contente du retour du personnage de Kaori dans l'histoire. Une manière pour
Tsukasa Hojo de se rattraper pour les fans comme moi qui ne se sont toujours pas remis de sa disparition.
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