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Citations de Val McDermid (538)


Il avait été impossible d'ignorer une réalité plus forte que sa capacité à la défier.
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La rancune n'est pas un sentiment sain. Elle vous dévore comme le cancer.
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On obtenait souvent des résultats intéressants en offensant les gens.
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On traînait tous les trois ensembles. Mais vous savez comment ça se passe dans les trios. il y a toujours le meneur et les deux autres qui essaient d'être das ses petits papiers et de mettre le troisième sur la touche.
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Savoir que vos efforts avaient permis de mettre un assassin en prison était une sensation puissante. C'était encore plus exaltant que de se rendre compte du nombre de vies que vous aviez sauvées, parce que vous projetiez une lumière qui éclairait le chemin à suivre pour vos collègues. C'était merveilleux, mais savoir ce que ce criminel avait déjà commis atténuait ce plaisir. (p. 29)
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Ce livre est dédié à la mémoire de Meg et Tom McCall, mes grands parents maternels. Ils m'ont montré ce qu'est l'amour, ils m'ont enseigné l'esprit de communauté, et ils n'ont jamais oublié l'humiliation que l'on ressent à faire la queue à la soupe populaire pour nourrir ses enfants. Grâce à ceux, j'ai appris à aimer la mer, la forêt, et les livres d'Agatha Christie. Une dette non négligeable.
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— C'est comme dans Le Crime de L'Orient-Express. Coincés dans un train en pleine tempête de neige.
— Le meurtre en moins, fit remarquer Allie.
— OK, le meurtre en moins.
— Et on n'a pas le même standing. Ni les cocktails. Ni Albert Finney avec son filet à cheveux.
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Ils marchèrent côte à côte à un rythme qui aurait pu rappeler une chanson de Leonard Cohen.
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#Dans toute affaire, il y avait des hauts et des bas où l’on risquait de perdre l’enquête. C’est à ce moment-là que l’équipe devait se réunir pour échanger. Quand Carol était à la tête de la BREP, il était hors de question qu’elle ne participe pas à ce brainstorming. Mais cette fois, personne ne suggéra qu’on inclue Rutherford. Cela attristait Paula qu’il y ait une distance entre le commandant et eux. Ce n’était pas bon pour le moral ni pour la créativité.#
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Nous avons tous nos petites habitudes. Mêmes les meurtriers. Quand quelque chose nous réussit, nous attribuons ce succès à un talisman auquel nous nous accrochons. Porter un slip porte-bonheur, ne pas se raser, effectuer les mêmes actions dans le même ordre, prendre un petit déjeuner identique, marcher dans la rue sur le trottoir de droite. Ces talismans, quand les meurtriers nous les révèlent, nous les appelons leur signature.

Décrypter les crimes, DR. Tony Hill
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Agissez comme les gens s'y attendent et ils vous ficheront la paix.
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Mon refuge secret était la section fiction de la bibliothèque municipale.
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« C'est vrai, admit Misha. Et ma mère a en effet dit qu'il avait laissé un mot. La police l'aurait-elle gardé ? »

Karen fit non de la tête. « J'en doute. Si un jour nous l'avons eu, il a dû être rendu à sa famille.

— Est-ce qu'il n'y aurait pas eu une enquête ? Est-ce qu'ils n'en auraient pas eu besoin pour ça ?

— Vous voulez dire une enquête pour accident mortel, précisa Karen. Pas en l'absence de corps, non. S'il existait un dossier, ce serait pour une personne portée disparue.
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Pendant des siècles, les gens étaient accusés et reconnus coupables à cause de leur statut social, parce qu’ils venaient d’ailleurs, parce qu’eux ou leur femme ou leur mère connaissaient les herbes, parce que leur peau n’avait pas la bonne couleur, parce qu’ils avaient des rapports sexuels avec la mauvaise personne, parce qu’ils étaient au mauvais endroit au mauvais moment, ou juste parce que.
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Ils [les adolescents d’aujourd’hui] communiquaient par selfies et Snapchat, en taguant des amis, via Twitter ou en partageant des photos sur Instagram. Et bientôt, ce serait par d’autres moyens. Parler en face à face, ça faisait terriblement XX° siècle.
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On n’a jamais envie de parler des choses difficiles. Mais si on ne le fait pas, ça finit par empoisonner tout ce qu’il y a de bon dans nos vies.
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Ils n'étaient plus très loin l'un de l'autre à présent, et Jason la regardait d'un air implorant. Il avait le visage défait. Et puis il se mit à pleurer comme un enfant. Une partie d'elle essayait de comprendre ce qui se passait. L'autre avait déjà compris. Elle s'arrêta à quelques pas de lui sans prêter attention à l'agitation autour d'elle.
- Il est mort, dit-elle avec certitude.
Jason déglutit.
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Dans ses articles, Jackie Donaldson avait eu l’occasion d’évoquer les coups frappés à la porte au petit matin, la bousculade jusqu’à la voiture de police rangée le long du trottoir, le trajet à toute allure à travers les rues désertes et l’attente insupportable dans une pièce exiguë imprégnée de l’odeur de tous les pauvres bougres qui étaient passés par là. Mais il ne lui était jamais venu à l’esprit qu’elle pourrait en faire l’expérience à ses dépens.
Elle avait été tirée du sommeil par le bourdonnement de l’interphone. Il était 3h47, avait-elle noté, avant d’attraper son peignoir et de se diriger vers la porte d’un pas incertain. Lorsque l’inspecteur Darren Heggie s’était annoncé, sa première pensée avait été pour Hélène. Sinon pourquoi serait-il venu à une heure pareille ? Mais elle n’avait pas protesté. Elle savait que ça n’aurait servi à rien.
Heggie avait fait irruption chez elle accompagné d’une femme en civil et de deux agents en uniforme à la traîne, l’air légèrement mal à l’aise. Il n’avait pas perdu de temps en bavardages. « Jacqueline Donaldson, je vous demande de me suivre. Vous êtes soupçonnée de complicité de meurtre. Sans mise en examen, la période de détention provisoire est d’un maximum de six heures. Il vous est possible de communiquer avec un avocat. Tout ce que vous êtes tenue de dire, c’est votre nom et votre adresse. Comprenez-vous la raison de votre garde à vue ? ».
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Elle avait transgressé toutes les règles-elle n'avait pas le droit de s'occuper de cette enquête douteuse-mais elle n'arrivait pas à s'oter de la tête que c'était important et que si elle ne s'en chargeait pas, personne ne le ferait.
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C'etait peut être des etrangers, mais elle était decidee à leur montrer que son pays était un endroit où ils pourraient un jour se sentir chez eux.
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