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EAN : 9782916207919
90 pages
Editions Ca et Là (23/10/2013)
4.06/5   291 notes
Résumé :
Née en 1880 dans l’Alabama, la petite Helen Keller devient aveugle et sourde à l’âge de dix-neuf mois, probablement des suites d’une méningite. Elle devient alors incapable de communiquer avec son entourage, si ce n’est avec quelques gestes maladroits. Sa vie va être bouleversée à l’âge de six ans quand ses parents engagent Annie Sullivan comme gouvernante. Annie Sullivan, alors âgée de 20 ans, vient de finir ses études à l’Institut pour aveugles Perkins. Elle-même ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (91) Voir plus Ajouter une critique
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Originaire de Boston, Annie Sullivan, malvoyante depuis sa naissance, a fait ses études à l'institut Perkins, dirigée par Mr Anagnos qui l'a toujours soutenue et aidée. Orpheline, jeune fille solitaire mais avec un fort caractère, son handicap fut soigné après de multiples opérations. Maintenant qu'elle a recouvré la vue, elle peut voler de ses propres ailes. Aussi lorsque Mr Anagnos lui propose de devenir la perceptrice d'Helen Keller, elle accepte le travail même si, pour cela, elle doit partir à deux mille kilomètres de chez elle. La petite fille, âgée de 19 mois, est devenue sourde et aveugle à la suite d'une méningite. Ses parents comptent sur la jeune femme pour l'aider mais sa méthode jugée rustre et parfois violente ne plait guère aux parents. Elle a emménagé chez eux et reste ainsi toute la journée avec Helen, jusqu'à essayer de dormir à ses côtés. Mais celle-ci, au caractère très fort, ne se laisse guère approcher et peut devenir agressive. Pour Annie, il s'agit avant tout d'aider la petite à se faire comprendre. Pour ce faire, elle va tenter de communiquer avec elle grâce au langage des mains. A force de patience, de volonté, de bienveillance mais aussi de discipline et de fermeté, les deux jeunes femmes vont peut-être finir par s'apprivoiser?

Annie Sullivan et Helen Keller, deux noms presque indissociables tant leurs vies et leurs parcours semblent liés à jamais. Maintes fois reprise dans des écrits et des films, cette extraordinaire histoire ne peut susciter que l'admiration. Lorsque qu'une jeune femme orpheline à la vue faible doit prendre en charge une petite fille aveugle et sourde, le chemin à parcourir pour atteindre leur but est évidemment semé d'embuches. L'on suit pas à pas l'évolution d'Helen Keller, les progrès qu'elle accomplit chaque jour et son ouverture sur le monde ainsi que les gens qui l'entourent. Joseph Lambert met en image cette histoire incroyable et vraiment touchante d'une façon sobre et simple. L'on peut malgré tout regretter ce dessin parfois minimaliste et peu charmant et cette mise en page encombrante. Mais, il réussit tout de même à faire ressortir beaucoup d'émotions et des sentiments très forts, notamment lorsque l'on pénètre dans la tête d'Helen où ce noir violent exprime parfaitement son ressenti. L'auteur met en avant ces deux âmes écorchées dans cet album empreint d'une grande sensibilité et d'un réalisme particulièrement touchant.

Annie Sullivan & Helen Keller … deux femmes dans la lumière...
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Je connaissais l'histoire d'Helen Keller pour avoir lu son autobiographie "Sourde, muette, aveugle, histoire de ma vie", livre saisissant.
Alabama, fin du 19ème siècle. Helen Keller suite à une maladie contractée à l'âge de 19 mois devint subitement et irréversiblement sourde et aveugle. Privée de deux sens fondamentaux et ne pouvant plus communiquer avec le monde extérieur, la fillette va se renfermer sur elle-même et désemparer ses parents qui ne savent faire autrement que céder à tous ces caprices afin de ne pas déclencher de crise de rage. Quand Helen eut six ans, ses parents engagèrent une préceptrice, Annie Sullivan, elle-même malvoyante, qui réussit à communiquer avec elle en lui épelant les mots dans la main en langue des signes. L'intelligence et la curiosité d'Helen vont dès lors se développer à une vitesse fulgurante, et grâce au soutien indéfectible d'Annie, elle entrera à l'université de Radcliffe et y deviendra la première personne handicapée à obtenir un diplôme universitaire.

J'étais terriblement curieuse de voir comment cette histoire extraordinaire avait pu être adaptée en bande dessinée, et je remercie Babelio et les éditions Çà et Là de m'avoir fait parvenir ce livre.
Autant le dire tout de suite, j'ai été conquise.
J'ai ouvert le paquet, et là, première bonne surprise : une belle couverture bien épaisse, et à l'intérieur quatre-vingt-dix pages de papier de grande qualité : assurément, on ne se moque pas du lecteur. Je poursuis ma découverte, je feuillette un peu, et je suis émerveillée par les couleurs : c'est beau, et j'aime, tout simplement. Maintenant, en avant pour la lecture.
L'auteur a choisi d'illustrer une période précise de la vie d'Helen Keller, à partir de l'arrivée d'Annie Sullivan. J'ai été dans un premier temps un peu déçue de ne pas voir l'histoire entière, mais en y réfléchissant, ce qui est présenté ici est cohérent, et sans doute la partie la plus forte de la vie d'Helen. Au-delà de l'histoire extraordinaire, j'ai adoré la façon dont l'auteur par ses illustrations nous fait comprendre l'isolement d'Helen (les dessins "dans le noir" sont superbes et percutants) et la façon dont Annie Sullivan rentre en communication avec elle est magnifiquement rendue : au début, on ne voit qu'une paire de grands bras bleus, bras par lesquels Helen "sentait" Annie. Ensuite, au fil de l'histoire, nous voyons les mots qu'Annie épelle pour Helen. Et nous avons une double vision, qui aide à comprendre le mieux possible ce qu'Helen pouvait percevoir : les illustrations "normales", et les illustrations du ressenti d'Helen. Et ça fonctionne à merveille. Les mots répétés inlassablement par Annie finissent par prendre sens, et dans certaines pages, c'est une explosion de mots que nous voyons, c'est très fort : nous avons l'impression de découvrir en même temps qu'Helen. Les dessins sont simples, mais l'émotion est grande.
Dernier point que je voulais aborder : j'ai beaucoup apprécié le fait que l'histoire ne soit pas seulement centrée sur Helen, mais que l'on découvre lors de flashbacks des pans entiers de la vie d'Annie.
Je ne peux que vous encourager à lire cette magnifique bande dessinée, qui prouve si besoin était que la bd est bien un art à part entière.
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Alabama, 1886, Helen Keller a six ans. Sourde et aveugle à la suite d'une congestion cérébrale à dix-neuf mois, elle se comporte comme un petit animal sauvage : "Elle ne tolère aucun contact. Elle déteste qu'on la tienne, qu'on la serre, même affectueusement".
Les parents font appel à une éducatrice, Annie Sullivan, ancienne mal-voyante. Les méthodes strictes et impitoyables de la jeune femme suscitent la méfiance de l'entourage d'Helen et même une hostilité franche de la part du père.

Rencontre de deux caractères forts, une enfant et une jeune femme aussi exigeantes avec elles-mêmes qu'avec les autres. Frictions, bras de fer et même affrontements physiques.
La patience et la ténacité de la professeur s'avèrent fructueuses. Entre les moments difficiles et décourageants, les luttes éprouvantes, apparaissent des lueurs d'espoir, de plus en plus fréquentes. Grâce à un long apprentissage par le toucher, la petite fille s'éveille, se montre avide d'apprendre et progresse très rapidement grâce à une volonté et une intelligence remarquables.

Cet album retrace le chemin parcouru par Helen et son enseignante. L'isolement extrême d'Helen dans ses premières années est représenté par de superbes dessins, à la fois sobres et éloquents : petite silhouette dans l'obscurité, quelques touches de couleur et quelques mots pour représenter ses contacts avec son environnement et le vocabulaire qu'elle acquiert.
L'auteur rend également très touchants les échanges entre l'enfant et l'adulte, tout au long du récit, grâce au texte et au graphisme.

L'ouvrage est moins accessible que les biographies romancées sur Helen Keller destinées aux jeunes lecteurs. On peut se perdre dans des flash-back parfois obscurs sur la jeunesse de l'enseignante. Ceux-ci sont néanmoins intéressants pour comprendre la force de caractère du personnage. La jeune femme est montrée dans toute sa complexité, son portrait est sans complaisance. Orgueilleuse, jalouse, parfois malhonnête, mais surtout impétueuse et maladroite, Annie semble avoir voulu s'attribuer le mérite des progrès de sa petite élève. Cet aspect est occulté dans les versions pour enfants, notamment celle que j'ai lue (Norman Wymer).

Album émouvant et honnête. Intéressant et beau, à tous points de vue : graphisme, portraits, relations entre protagonistes, contexte.
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Les premières pages surprennent, des silhouettes de couleurs un peu floues, un graphisme au trait plein d'éraflures, des formes brouillonnes, et une scène assez dure qui semble raconter les refus d'un enfant de manger avec une cuillère, d'un adulte qui le force physiquement. C'est une histoire d'éducation d'un enfant aveugle et sourd, c'est une histoire très touchante qui parle de personnages réel, une page d'Histoire sur l'évolution de l'éducation de ces enfants, c'est sans concession avec les personnages, c'est la fin du XIXe siècle aux États-Unis, les relations sociale sont dures, ce sont celles de l'époque, et faire évoluer les mentalité dans ce monde n'est pas évident. Ce qui se dégage surtout de cette lecture, c'est la difficulté de cette apprentissage, c'est la force de caractère d'Annie Sullivan, c'est cette relation forte qu'elle a avec l'enfant, le récit ne joue jamais sur le pathos, c'est tout sauf fleur bleue, et c'est aussi ce qui fait la qualité de cette bande dessinée. le graphisme joue intelligemment avec le récit, les scènes normales, le trait fin domine, les aplats de couleurs sont doux et naturel et lorsqu'on passe à la perception d'aveugle, les trait disparaissent, avec seul des aplats bruts, des formes déchiquetées, de grandes surfaces de noir, et des couleurs et des contrastes plus agressifs. le graphisme participe autant à l'histoire que les mots. Tout cela sert magistralement l'histoire. J'en ressort bouleversé et aussi un peu mal à l'aise, parce que le récit n'est pas manichéen, c'est ce genre de bande dessinée qui fait réfléchir, qui ne laisse pas indifférent, qui marque. Bravo.
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Enfin, j'ai pu lire cette bande dessinée que je zieutais depuis longtemps maintenant. Nominée au Festival d'Angoulême de cette année, elle n'a malheureusement pas obtenu de prix...
L'histoire d'Helen Keller me fascine depuis que j'ai lu Sourde, Muette, Aveugle, essai autobiographique où elle décrit subtilement comment d'une petite fille perdue dans la pénombre de son handicap, elle a pu s'ouvrir au monde grâce aux mots, puis aux concepts, que lui a patiemment inculqués Annie Sullivan, jeune malvoyante responsable de son éducation.
J'ai été impressionnée par le travail de Joseph Lambert, autant dans sa réflexion que dans le concept de ses illustrations, choisissant une silhouette grise isolée dans une masse noire lorsqu'il s'agit de retracer ce que peut ressentir la petite fille, à des illustrations en couleur et un peu naïfs lorsqu'il s'agit du récit lui-même. Petit-à-petit, celles qui représentent donc l'intériorité d'Helen Keller évoluent, d'autres couleurs apparaissent quand elle commence à comprendre qui elle est et qui est Annie Sullivan, puis quand elle apprend à nommer, à une vitesse de plus en plus vertigineuse. L'auteur note également le langage des doigts sur les illustrations.
Selon sa représentation, la petite fille est juste un corps, ou peut-être une âme qui semble asexuée, ou une petite fille, et les personnes autour d'elle sont des bras ou des formes qu'on imagine chargées d'un volume chaud, odorant et mouvant.
On en apprend plus également sur Annie Sullivan, personnage principal, finalement, du récit, représentée autant dans sa ténacité et sa force que dans ses travers, que son enfance explique aisément.
Parfois, seulement, j'ai eu des difficultés à comprendre certains enchaînements ou le sens de certains dialogues, et je pense également - mais c'est je pense le travers de ces adaptations - que si on n'a pas lu le livre, on peut passer à côté du ressenti d'Helen Keller lorsqu'elle commence à s'ouvrir au monde.

Il s'agit quand même d'un excellent livre qui a sans doute demandé énormément de travail, de tâtonnements autant dans les motifs que dans le scénario, et je vais retenir le nom de ce jeune américain, Joseph Lambert, dont je suis admirative. Lisez cette bande dessinée, elle mérite à être connue!
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critiques presse (5)
BDSelection
06 février 2014
Si vous n'avez pas encore lu Annie Sullivan et Helen Keller, précipitez-vous dessus : c'est une merveille !
Lire la critique sur le site : BDSelection
Du9
19 novembre 2013
La grande force du travail de Joseph Lambert est de confronter ces paradoxes et caractéristiques de la neuvième chose, à un cas célèbre (voire emblématique outre-Atlantique) dont la perte des sens semblant les plus fondamentaux, donne à tout ceux qui les possèdent l’impression que leur absence ferait d’eux des prisonniers dans leur corps.
Lire la critique sur le site : Du9
BDGest
12 novembre 2013
L’histoire est belle, très belle. Elle est racontée sans verser dans un registre larmoyant ou convenu qui ne s'accorderaient de toutes les manières aucunement à la personnalité des deux protagonistes.
Lire la critique sur le site : BDGest
BoDoi
07 novembre 2013
Une prouesse visuelle, véritable ressort narratif d’un livre maîtrisé de bout en bout.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Telerama
30 octobre 2013
Joseph Lambert, un jeune dessinateur américain de 29 ans, revisite ce « miracle » avec une lucidité décapante.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
Depuis que j'ai renoncé aux leçons régulières, je trouve qu'Hélène apprend beaucoup plus vite. J'ai le sentiment qu'un professeur dans une classe passe beaucoup de temps à faire régurgiter à l'enfant le savoir qu'il lui a inculqué.
Pour moi, c'est de la complaisance et une perte de temps.
Commenter  J’apprécie          100
J'ai décidé de ne pas lui donné de leçons régulières pour l'instant. Au lieu de quoi, je traite Helen exactement comme une enfant de deux ans. Partant du principe qu'elle a une capacité normale d'assimilation et d'imitation, je parle dans sa main comme on parlerais dans l'oreille d'un bébé qui entend. Je fais des phrases entières quand je lui parle, même si elle ne comprend qu'un seul mot. La phrase entière, répétée de nombreuses fois, va s'imprimer dans son cerveau. Peu à peu, elle l'emploiera elle-même.
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MADAME KELLER : Que se passe-t-il, Helen va bien ?
MONSIEUR KELLER : Non, elle ne va pas bien !

MONSIEUR KELLER : Elle est encore... Il est dix heures, et cette pauvre petite Helen n'a pas encore eu l'autorisation de petit-déjeuner. Elle est toujours en CHEMISE DE NUIT.

MONSIEUR KELLER : Miss Sullivan refuse de la laisser manger tant qu'elle ne s'est pas habillée. Elle va trop loin. Je la renvoie chez elle.
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Mon défi le plus pressant consiste à la discipliner sans briser sa volonté. Je dois exiger d'elle, un minimum d'obéissance, mais je ne dois pas la contrôler uniquement par la force.
J'ai besoin de gagner son amour.
Commenter  J’apprécie          110
Nous faisons chaque jour de longues promenades. Le parfum des fraises des bois embaume l'air. Notre but est le débarcadère au bord du Tennessee. On ne sait jamais comment on y arrive, et on se perd souvent en chemin, mais cela ne fait qu'ajouter à notre plaisir. Surtout que tout est nouveau, étrange. A vrai dire, j'ai l'impression de tout découvrir moi aussi. Helen m'interroge si souvent le long du chemin. Chaque mot nouveau semble en appeler de nombreux autres, qui deviennent nécessaires.
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