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Jazz Maynard tome 6 sur 7
EAN : 9782505069478
56 pages
Dargaud (20/10/2017)
3.52/5   21 notes
Résumé :
L'affaire se corse pour notre cambrioleur Jazz Maynard. En plus de devoir récupérer l'Œil doré, un objet sacré iranien, il lui faut sauver son ami Teo enlevé et menacé d'être jeté du haut d'un hélicoptère ! Tandis que Jazz se démène dans ce Reykjavík survolté, Raule et Roger en profitent pour éclairer son passé à New York.
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Toujours à la recherche de l'Oeil doré, les choses se compliquent pour ce duo de cambrioleurs. Alors qu'il surveillait Ingólfur Askjar, leader d'un groupuscule suprémaciste de l'identité islandaise et, accessoirement, en possession de l'Oeil doré, Teo se fait rapidement repérer. Embarqué manu militari par les sbires de l'homme d'affaires, c'est sous la menace de coups qu'on lui suggère de coopérer. Encaissant sans rien dire, le jeune homme peine malheureusement à lutter lorsqu'on lui injecte du thiopental sodique... Jazz Maynard, de son côté, met tout en oeuvre pour sauver son ami de cette situation...

Sous le soleil froid de Reykjavík, notre duo de cambrioleurs barcelonnais est en bien mauvaise posture. Les coups pleuvent, les ennemis tombent sous les balles et entre deux règlements de comptes, Raule revient sur le passé de Jazz, notamment lorsqu'il apprenait aux côtés de Sam et de son père. Des flashbacks subtils mettant en lumière la haine aujourd'hui ressentie entre les deux frères d'adoption. de révélations en explications en passant par des bastons, l'auteur termine cette épopée islandaise sur des chapeaux de roue. Une épopée de haute voltige qui ne manque pas de rythme. Graphiquement, Roger Ibàñez nous offre, une fois de plus, des planches très travaillées avec de nombreuses scènes d'actions. Un coup de crayon atypique et tout en finesse, des visages expressifs et une colorisation souvent bichromique.
Il nous tarde de retrouver nos deux héros à Barcelone...
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Ce sixième opus, suite directe du cinquième, c'est fou hein, nous permet de retrouver nos deux duettistes en prise directe avec leur abonnement annuel et non résiliable consistant à les noyer sous un flot d'emmerdes incommensurable pour le plus grand plaisir du lecteur avide de scénario solide et de graphisme chiadé.

Entre deux franches extractions de molaire assorties de moult fractures sans anesthésie, quelques flashbacks histoire de se poser un p'tit peu et d'appréhender l'aversion commune entre ces deux ex meilleurs amis pour la vie qu'étaient alors Jazz et Max.
Puis retour à la dure réalité, surtout pour Teo aux mains de malfaisants qui font rien que le torturer afin qu'il fasse dans la vilaine délation et ne leur livre Jazz sur un plateau.

Cette fin de cycle sent véritablement la poudre.
Visuellement époustouflant, nerveux à souhait, il clôt cette aventure islandaise de façon jubilatoire.
Garçons, la suite et fissa!!
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C'est à cause de la couv' de cet album, que je me suis lancée dans la lecture de la série. Je ne pouvais évidemment pas lire uniquement le tome 6.
Je suis moyennement convaincu par le scénario de ce triptyque. C'est le prétexte à raconter la jeunesse du personnage principal, mais je trouve ces aller et retour dans le temps, gênant dans la lecture et la compréhension globale de l'histoire.
C'est une lecture divertissante, un peu comme un blockbuster hollywoodien : on sait que le héros va gagner malgré toutes les difficultés qu'il peut rencontrer. Mais très clairement je ne vais pas me souvenir longtemps de ce que j'ai lu.
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Dernier volume d'un second cycle se déroulant en Islande, Trois corbeaux s'ouvre alors que l'ami Théo a été capturé par des suprémacistes et sera très probablement tué dans les prochaines heures. L'album commence immédiatement après la fin du précédent et va voir Jazz se lancer à la recherche de son ami en même temps qu'il doit remplir la mission que les iraniens lui ont confié. Pas ou peu de mise en place dans ce dernier album qui voit les planches débouler à cent à l'heure avec une maestria de découpage et de trait totalement ahurissante! L'action chez Raul et Roger c'est rapide, brutal, rugueux. Héros complet, Jazz sait pirater autant que combattre à main nue ou au fusil.

Cet opus nous en apprend cependant encore un peu sur sa jeunesse aux Etats-Unis auprès d'un maître du cambriolage, même si j'ai été un peu déçu de ne pas assister à la formation proprement dite du prodige. le passé se recoupera d'ailleurs avec le présent, la série liant toujours l'intime, le familial avec les affaires de corruption ou criminelles. Au-delà de héros a peu près invincibles, une des forces de la série est de proposer des galeries de gueules de truands, toutes aussi patibulaires, sadiques, perverses. Mais contrairement an premier cycle où les tueurs chauves mettaient fort à mal les talents de Jazz, ici le combat est plutôt une balade islandaise où malgré les séquences de combat extrêmement dynamiques, pas un instant l'inquiétude ne point sur le destin de notre héros. Ceci appuyé par un Deus Ex Machina pas forcément dérangeant mais sans doute un peu facile même s'il apporte une pointe de fantastique bien intrigante. de même, les quelques cases historiques (une première dans la série) illustrant des vikings nous font bien saliver quand à l'opportunité de trouver dans quelques années Roger dans une saga historique se rapprochant du travail de Ronan Toulhoat...

Étant donnée sa construction il est préférable de lire les précédents tomes du cycle islandais avant d'entamer ces Trois corbeaux, qui reste malgré tout un nouveau chef d'oeuvre visuel. Si la trilogie barcelonaise est un cran au dessus, Jazz Maynard reste, quel que soit l'album, un incontournable de la BD que l'on relis aussitôt l'album terminé pour ausculter chaque case.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Avec ce 6ème tome nous sommes toujours à la quête de l oeil doré, Teo avait été enlevé et à son habitude, celui qui dicte cette violence veut balancer les étrangers de son hélicoptère. Jazz est lui très inquiet pour son ami car il n arrive pas à avoir une piste sérieuse à suivre.
Cette série est extrêmement dynamique et violente et comme pour la première trilogie, les choses s éclaircissant doucement. On peut cependant mettre en avant l étude graphique en fin de tome qui est très réussie et de qualité.
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critiques presse (2)
Sceneario
03 novembre 2017
Une fin de cycle percutante qui assurément ne vous laisse pas de glace et qui préfigure un retour au bercail barcelonais. Vivement la prochaine trilogie !
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
24 octobre 2017
Fin de la parenthèse islandaise pour deux héros qui n’aspirent désormais plus qu’à revoir Barcelone, mais cela, c’est une autre histoire !
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Si rien n'est sûr, sois sûr de toi.
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-Je suis Jazz Maynard.
-Vraiment, Eh bien moi, j'ai l'impression que tu es ce maudit Cher Baker!
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