Anacreon, roi des gueux est en prison, son fils est mort, sa fille La Marquise s'apprête à être bannie aux Amériques avec les prostituées et de la Reynie se lance dans un grand nettoyage des rues de Paris. Les temps sont durs pour le petit peuple qui voit poindre la fin de la cour des miracles.
Voila un second tome riche en action, coups tordus et volte face. Un récit de cape et d'épée version mendiants, une belle aventure qui nous fait découvrir les rues de Paris.
Le récit est assez dense, il n'est peut-être pas toujours très facile à suivre par moment surtout que personnages et faits historiques se mélangent à la fiction. Mais dans l'ensemble c'est une belle fresque d'aventure dessiné d'un trait nerveux de Maffre.
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Voici un 2e tome avec un scénario bien construit qui ménage son lot de surprises. La marquise prend toute sa place, Anacréon est toujours dans le jeu, et Colbert ou D'Artagnan jouent les guest-stars de luxe. Si le dessin manque un peu de relief à mon goût, sans doute en raison des couleurs beaucoup moins vives que ce que l'on voit sur la couverture, il restitue par contre très bien le Paris du XVIIe siècle et sait être très dynamique dans les scènes d'action. Vivement le tome 3 !
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Seconde lecture du jour, dans laquelle je dois me souvenir de ce qu'il se passait dans le tome précédent. Mais je me suis replongée assez vite dans cette ambiance des bas fonds parisiens à l'époque du roi Soleil. Tous les moyens sont bons pour survivre.
Je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer, les scènes s'enchaînent très vite, trop peut-être parfois. Mais c'est très divertissant et dynamique et ça me va très bien.
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Un deuxième tome dans la bonne continuité du premier.
Une plongée intéressante dans le Paris du XVIIème siècle parmi la vermine de la ville. Entre politique, famille, trahison, et combat. Et beaucoup de rebondissements. de quoi nous tenir en haleine jusqu'à la dernière page.
Les personnages sont intéressants et attachants, haut en couleur et originaux. On a parfois du mal à savoir ce qu'ils veulent.
Les dessins ont du caractère et sont efficaces. Avec une colorisation douce.
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La partie graphique de Julien Maffre se veut un réel atout pour cette saga. L’artiste joue avec ses crayons dans un semi-réalisme qui campe avec brio les ambiances historiques (les décors des quartiers parisiens en sont un bel exemple) et qui dynamise des personnages haut en couleurs, on ne peut plus probants dans leurs intentions et dans leurs gestes les plus radicaux.
Lire la critique sur le site : Sceneario
La fille sera bientôt dans un bordel aux Amériques