Extrait de ma chronique :
"Lors de ma recension du premier volet de l'ennéalogie de
Francis Berthelot, je m'étais concentré sur trois thèmes majeurs : le portrait d'une génération cabossée par ses aînés (celle née dans les années 40) ; la transsubstantiation finale des souffrances de ses (anti-)héros en oeuvres d'art ; le travail sur l'écriture pour (notamment) instiller une atmosphère étrange.
Le deuxième volet reprend et amplifie ces thèmes, et il en ajoute d'autres, qui viennent préciser ou compléter les premiers : l'incarnation du mal (ou du bien) dans des figures paternelles ; le dédoublement et la mécanisation (l'aliénation, quoi) des (anti-)héros sous l'effet de leurs souffrances ; le travail sur les grandes mythologies de l'imaginaire –
Francis Berthelot s'offrant tout à la fois le luxe de battre
Dan Simmons sur son propre terrain, et d'égaler le
Dario Argento de Suspiria."
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