AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les nuits d'Aksehir tome 1 sur 3
EAN : 9782369742029
195 pages
Akata (13/04/2017)
3.86/5   43 notes
Résumé :
Ayako est une jeune étudiante à Tokyo, en école de mode. Pourtant, peu motivée, elle ne trouve pas l'inspiration pour créer des designs satisfaisants et originaux. Mais grâce à l'amulette qu'elle porte autour du cou, une opportunité inattendue va se présenter à elle : Hodja, immigré turc, va lui proposer de travailler en tant que serveuse au sein d'Aksehir, son petit restaurant égaré au coeur de Shinjuku. Au fil de ses rencontres et de ses nuits de service, mais aus... >Voir plus
Que lire après Les nuits d'Aksehir, tome 1Voir plus
Après la pluie, tome 1 par Mayuzuki

Après la pluie

Jun Mayuzuki

3.79★ (1161)

10 tomes

First job new life, tome 1 par Nemu

First job new life

Yoko Nemu

3.87★ (204)

4 tomes

Hanada le garnement, tome 1 par Isshiki

Hanada le garnement

Makoto Isshiki

3.84★ (159)

5 tomes

Trait pour trait, tome 1 par Higashimura

Trait pour trait

Akiko Higashimura

4.06★ (416)

5 tomes

Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
3,86

sur 43 notes
5
2 avis
4
10 avis
3
5 avis
2
0 avis
1
0 avis
Ayako, jeune étudiante en école de mode à Tokyo, se retrouve séquestrée par un vieil immigré turc, Hodja. Mais que lui veut-il donc ? Rien de bien méchant en fait si ce n'est qu'il veut qu'elle travaille dans son restaurant, l'Aksehir. le vieil homme voit en Ayako - et le bijou qu'elle porte au cou, sorte d'amulette turque - une jeune femme qui aime forcément la Turquie ! Voilà donc Ayako embauchée comme serveuse auprès de Zakuro, une belle jeune femme qui fait également office de danseuse orientale. La jeune étudiante va découvrir au sein de ce petit restaurant la culture turque et retrouver par la même occasion de l'inspiration pour ses designs.

L'auteure de ce manga, Raku Ichikawa, est une amoureuse de la Turquie. Autour du personnage d'Ayako, elle fait découvrir au lecteur de nombreux pans de la culture turque, avec un point d'honneur mis sur les plats traditionnels (un peu trop d'ailleurs ?). Baklava, ekmek, meze, moussaka, tavuk sote... Plus d'une fois l'eau nous vient à la bouche tant la description et les dessins représentants ces différents mets sont alléchants. A travers le personnage de la belle Zakuro, la danse orientale est un autre point fort de ce manga où l'on nous explique que plusieurs styles existent dans cet art. Cuisine, danse mais aussi objets folkloriques... "Les nuits d'Aksehir" est une bien jolie façon de découvrir la Turquie. Ce manga étant avant tout centré sur ce pays, ce n'est d'ailleurs qu'à la fin du volume que l'on en découvre un peu plus sur la vie personnelle d'Ayako.

J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur présente cette culture orientale, tant dans sa différence que dans ses similitudes avec notamment certains plats japonais. S'enrichir de ce que l'on ne connaît pas tout en se découvrant des points communs, voilà sans doute ce qui résume le mieux ce joli manga où l'ambiance apaisée et naturelle domine.

Le graphisme enfin est un réel plaisir pour les yeux. Si les toutes premières pages nous offrent des couleurs éclatantes - notamment le bleu -, les suivantes donnent à voir de superbes contrastes de noir, des jeux d'ombre et des effets crayonnés qui reviendront régulièrement. La silhouette de Zakuro, vêtue de différents costumes, est tout simplement sublime. Je trouve d'ailleurs que ce sont les dessins représentant les mets et objets turcs qui sont les plus soignés, au détriment sans doute des personnages aux traits plus basiques.

Peu importe, "Les nuits d'Akséhir" est un beau manga, dans le fond comme dans la forme, véhiculant un message d'ouverture et d'acceptation de la culture étrangère.
A suivre !
Commenter  J’apprécie          200
Ah les virées shopping qui finissent avec tout sauf ce que l'on recherchait de base. Vous l'aurez devinez c'est durant l'une d'entre elle que j'ai découvert Les nuits d'Aksehir et que j'ai décidé de prendre le premier tome avec moi. Ma curiosité était piquée par les thèmes présents dans ce manga, des thèmes pouvant trouver un écho avec notre société actuelle.

Lorsque nous ouvrons le manga, des pages couleurs apparaissent devant nous et se lisent dans le sens commun (Ne faites pas la même erreur que moi) c'est-à-dire de la page se trouvant avant le sommaire à celle menant au début du manga. C'était une belle surprise de les lire, de découvrir ce qu'elles voulaient nous raconter et d'observer tranquillement celles-ci. le sommaire, de son côté, m'a également laissée curieuse car j'ai très peu de manga où une page translucide est utilisée pour celui-ci, d'ailleurs une amie peut attester de m'avoir vue tourner et retourner la page.

Par après, c'est l'histoire en elle-même qui se livre à nous. Comme l'héroïne nous sommes légèrement perdus, ne comprenant pas ce qu'il se passe et ne sachant pas ce qu'il s'est déroulé auparavant. de plus, le fait qu'elle ait été emmenée dans un endroit inconnu par quelqu'un qu'elle ne connaît pas n'est pas la chose la plus rassurante du monde. En soi, l'intrigue se déroule dans notre monde et dans un Japon moderne. Un Japon où nous ne trouvons, bien sûr, pas que des japonais.

Ici, ce ne sera pas la culture japonaise qui sera mise en avant, mais celle d'un autre pays plus lointain et orientalisant également. Pas mal de personne s'y rende en vacance, mais depuis peu la vision sur la religion pratiquée là-bas n'est plus aussi rassurante qu'auparavant. Vous devinez ? Non ? Et bien la réponse était la Turquie. Nous découvrons dans ce premier tome deux éléments de la culture turque qui sont la cuisine ainsi que la danse orientale et Akata a fait savoir que la religion – c'est-à-dire l'Islam – sera mentionnée dans les deux tomes suivants.

Plusieurs personnages apparaitrons, peu connu au début nous en découvrons un peu plus au fil du tome. Tout comme pour Ayako, jeune étudiante dans une école de mode, qui distille sa personnalité et quelques informations sur elle petit à petit. Elle est comme la plupart des étudiants, cherchant une idée pour son travail, n'en trouvant pas et devant avoir un déclic par rapport à un thème ce qui dans le domaine où elle se trouve est important. Imagination, rêve, choix. Trois choses parfois opposées et pourtant se rapprochant de temps en temps. L'indécision également sera de la partie, présente également chez chacun d'entre nous. Sommes-nous toujours certain de ce que l'on veut faire, du choix que l'on vient d'effectuer ? Ne veut-on pas, de temps en temps, revenir sur notre première décision ? Cela rend Ayako plus proche de nous, de moi en tout cas car je suis naturellement assez effacée, peu bavarde, toujours encline à aider et je m'épanouis dans certains lieux ou domaines.

Au côté de notre petite héroïne, pas si petite que ça, évolueront principalement deux autres personnages bien que nous rencontrons également certains camarades de la demoiselle. Hodja, homme d'un certain âge déjà s'occupant d'un restaurant turc à Shinjuku depuis peu, qui distille lui aussi des informations sur son passé au fil des pages et que nous découvrons peu à peu. C'est lui qui proposera de travailler dans le restaurant, lui qui permettra à Ayako de découvrir certains éléments de la culture turque et c'est également grâce à lui que nous en découvrirons un peu plus sur la cuisine. Cette cuisine qui me donnait l'eau à la bouche au fil de la lecture et des apparitions des plats ou boissons, je n'en connaissais d'ailleurs pas certains que je serai très curieuse de goûter un jour ou l'autre.

Présente aux côtés d'Hodja, nous découvrons une autre demoiselle. Zakuro, danseuse orientale amatrice et travaillant dans le restaurant d'Hodja. Comme Ayako, elle se pose des questions sur son avenir et sur son rêve pourtant, contrairement à notre étudiante, Zakuro n'a pas un caractère des plus doux. Elle n'a pas sa langue dans sa poche, n'hésite pas à faire des remarques à son patron et se montre également assez douée de ses mains. Zakuro est également présente quoi qu'il arrive, prête à se dépasser et à laisser libre court à la liberté donnée par la danse orientale si fascinante pour les clients du restaurant. Ses tenues sont magnifiques, nous font voyager vers un pays et une activité pas si connus que cela au point que je me suis retrouvée à parler danse orientale avec une connaissance. J'étais curieuse, fascinée par ce que je découvrais et ravie de l'enrichissement que cela apportait.

Que dire de plus par rapport aux personnages mis à part que d'autres finissent par pointer le bout de leur nez, petit à petit, sans que l'on ne se perde ? Les camarades d'Ayako se font connaître au bout d'un moment et je me demande jusqu'où cela ira avec eux. Prendront-ils plus d'importance au fil des tomes suivants ? Est-ce que l'un d'entre eux prendra plus d'importance suite à ce qu'il se passe à la fin du tome 1 ? Seule la lecture du deuxième tome me donnera la réponse et je l'attends de pied ferme afin d'en savoir plus sur qui est resté un peu en arrière-plan, sur ce qui nous est encore méconnu de la culture turque et bien entendu sur les divers protagonistes présents. Après tout, nous avons découvert une légère part du passé d'Ayako également durant ce premier tome, mais que nous réserve le second ?

J'en ai vu certain refermer le manga sans faire l'effort d'aller plus loin que les premières pages où la langue utilisée n'était pas forcément le français, se baser seulement sur ce qu'ils entendent pour le moment par rapport à l'Islam, aux pays islamiques. La méconnaissance sur certaines cultures reste bel et bien présente, alors qu'il suffit pourtant de se renseigner un peu plus, de passer outre les idées reçues. Oui, il y a des déviants comme dans toutes les religions mais pourquoi rester – à chaque fois – sur ce genre d'éléments. La religion chrétienne n'a pas été toute rose non plus, pourtant on ne frappe pas dessus à tout va. Est-ce tout simplement parce que c'est la notre ? Celle que beaucoup n'ont pas choisit au final. Si j'avais dût rester sur mes idées fixes je n'aurais jamais osé prendre le manga avec moi, mais j'avais envie d'en savoir plus et de confronter ce que je savais déjà. En plus, la couverture m'avait déjà charmée alors malgré le drôle de regard lancé par mon voisin d'achat ce jour là j'ai prit le volume et j'ai été à la caisse.

Cela m'a permit d'en discuter avec d'autres, de faire des découvertes. Et bien que la religion ne soit pas abordée dans ce premier volume de Les Nuits d'Aksehir nous découvrons déjà certains détails de la culture turque, de cette culture si lointaine et peu connue hormis par ceux déjà intrigué par celle-ci. Personnellement, mis à part les Contes des Milles et une Nuits et de très rares notions gastronomiques je n'allais pas très loin. D'ailleurs, y a un aliment pour lequel j'ai été surprise de la provenance… Moi qui pensais que c'était italien.

Du côté des dessins, ils sont assez doux et détaillés. Les tenues et les plats, mais également les dessins réalisés par Ayako ou certains lieux. J'ai fini par être affamée après la lecture du tome, mais j'ai mangé un repas tout simple composé de frites ce jour là. Rien à voir avec la culture se trouvant dans le manga, n'est-ce pas ? Nous retrouvons également au fil des pages un jeu au niveau des ombres faisant, de ce fait, vivre les personnages sans aucun problème. J'aime énormément les traits de Raku Ishida qui vont à merveille avec le manga qu'elle nous offre ! L'édition

Et… Et je vois que je me suis laissée allée ! Oh mon dieu, ce pavé que j'ai écrit sur le coup, mais je dois avouer que ce premier tome de cette courte série (Trois tomes, ce n'est pas énorme) m'a réellement dépaysée et donné envie de découvrir un peu plus cette culture. Un simple conseil si vous vous lancer : Manger avant. Sauf si vous voulez mourir de faim et avoir l'eau à la bouche tout le long de la lecture, mais sinon tenter de vous remplir l'estomac ou préparer un Chai (Un thé) pour accompagner votre découverte. D'ailleurs, je sauterai à pieds joints dans la suite et ce sans aucune hésitation afin de retrouver le restaurant, cette culture, les personnages et les dessins. Ce fut une très belle lecture, une magnifique découverte et Akata a fait du très beau travail par rapport à l'édition du manga.
Lien : https://otaklive.wordpress.c..
Commenter  J’apprécie          10
Alors qu'elle se promène dans Tokyo, un peu perdue dans ses pensée, Ayako, étudiante dans une école de mode, découvre un restaurant turc de manière très étrange - du moins atypique. C'est le début pour elle d'une ouverture d'esprit vers une culture (culinaire, architecturale, artistique...) qui lui était totalement étrangère et la fascine.
A cela s'ajoute une intrigue, plus ou moins secondaire (sans doute amenée à être plus amplement développée dans les deux tomes suivants) : quelques temps avant cette rencontre qui bouleverse son quotidien et ses perspectives, Ayako avait revu une ancienne copine du collège qui lui avait offert un nazar boncuk (cet oeil bleu qui protège du mauvais oeil qu'on trouve partout en Turquie et en Grèce) avant de se suicider.

Je suis partagée sur cette lecture. J'ai voulu découvrir cette petite série car il y a longtemps que je n'ai pas lu de roman turc, et ce manga aurait pu être une transition intéressante. La mangaka a certes mis un grand soin à reproduire les objets et les plats turcs qu'elle représente et les met en scène de telle façon qu'on voit que sa rencontre avec cette culture l'a passionnée. En ce qui concerne les personnages, les traits sont plutôt minimalistes, entre manga classiques et dessins animés. Mais l'intrigue, que j'ai trouvé assez fade et l'exploration de la culture turque par l'unique biais du folklore touristique m'a laissé un peu sur ma faim.
Commenter  J’apprécie          148
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, les japonais sont des gens très curieux sur les autres civilisations. Il y a en effet des mangas pour chaque thème : la renaissance italienne ou les thermes romains, les vins ou les steppes asiatiques. J'aime beaucoup cette ouverture d'esprit de ce peuple qui tranche par exemple avec la bd nord-coréenne ou biélorusse.

Là, on va s'intéresser à la Turquie qui nous est présentée comme un beau pays entre modernité et tradition. Néanmoins, certaines affirmations peuvent nous laisser pantois comme par exemple le fait d'annoncer fièrement que la cuisine turque se classe à la troisième position des meilleures cuisines au monde !!! On ne sait pas lesquels sont les deux premières dans ce classement. La gastronomie française doit être sans doute en 20ème position ? Il est vrai que je ne connais que les döner kebab que j'adore déguster avec un champagne mais va-t-on placer la cuisine américaine première avec son Mac Do ? Excusez-moi de m'insurger un peu mais il y a quand même des limites ! Question crédibilité, ce manga a de grands progrès à réaliser.

Pour autant, la lecture n'a pas été désagréable malgré un dessin très fade et plutôt très dénué dans les décors. La partie qui s'intéresse à la danse orientale sera sans doute la plus intéressante. C'est également mêlé à un travail de mode que doit réaliser l'héroïne qui découvre cette nouvelle culture sans aucun préjugés et nous avec à travers ses yeux. Là encore, on voit la femme assez libérée et presque dominatrice ce qui ne reflète pas vraiment la Turquie d'aujourd'hui sans vouloir offusquer qui que ce soit.

Bref, c'est trop léger. le mangaka aurait dû vivre au moins deux ans en Turquie avant de nous livrer sa vision d'une oeuvre qui demeure trop fantasmée. Il est vrai qu'on arrête actuellement des artistes et des journalistes très vite accusé de complot terroriste avec une intelligence vivant reclus dans une forêt montagneuse de Pennsylvanie. Je ne saurais lui conseiller de se rendre sur place mais bon, il faut bien rendre compte d'une certaine réalité si on veut demeurer crédible.

Malgré tout, je vais laisser 3 étoiles car tout n'est pas à jeter. On apprend tout de même des choses intéressantes et il y a une intrigue. La thématique principale serait l'islam et la volonté de l'auteure serait de briser certains tabous. Il n'y aura pas de politique, ni de mention aux actes terroristes commis au nom de cette religion. C'est clair que cela risque d'en refreiner plus d'un. Il faut sans doute aller au-delà.
Commenter  J’apprécie          50
Je dois l'avouer, j'ai acheté ce manga sur un coup de tête, en me basant seulement sur la couverture et le titre. J'ai à peine jeté un coup d'oeil au résumé, feuilleté quelques pages, et je me suis précipitée à la caisse afin de pouvoir commencer ma lecture au plus vite.

Un manga sur la culture turque… Il faut le reconnaître, l'idée est originale (et j'aime l'originalité). Tout commence avec une amulette turque qu'une jeune fille porte autour du cou, et nous sommes transportés dans un autre univers, la Turquie et sa culture, que nous découvrons sous différents angles grâce à nos trois personnages principaux : la cuisine avec Hodja, immigré turc tenant un restaurant, Aksehir, la danse orientale (et ses très nombreux styles) avec Zakuro et la mode avec Ayako, étudiante à Tokyo plutôt démotivée et en manque d'inspiration.

Le dessin de Raku Ichikawa est magnifique (les costumes de Zakuro sont à couper le souffle). L'histoire est captivante (j'attends le prochain volume avec impatience !), intrigante (une amulette pour protéger de la jalousie ?) et vraiment enrichissante (il y a presque trop d'informations par moments).

En bref, un pur moment de plaisir !
Commenter  J’apprécie          80


critiques presse (3)
BoDoi
07 septembre 2017
Si Les Nuits d’Akşehir s’arrête un peu rapidement, on s’en souviendra comme d’une charmante série en trois tomes, aux personnages forts et au trait élégant, dont l’ouverture culturelle fait du bien. Beaucoup de bien.
Lire la critique sur le site : BoDoi
ActuaBD
27 avril 2017
Un joli manga, envoûtant et dépaysant.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BDZoom
24 avril 2017
L’échange et le dialogue sont montrés sous un jour positif, quand en plus c’est amené de manière ludique et didactique, il n’y a aucune raison de ne pas se plonger dans les nuits d’Aksehir.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Mélanger la même quantité d'eau et de yaourt nature, ajouter une pincée de sel et... deux gouttes de tabasco vert. Mélanger jusqu'à ce que ce soit mousseux et vous obtiendrez ainsi l'ayran* même à la maison.

* boisson lactée très prisée en Turquie, Grèce, Syrie, Arménie, Bulgarie et au Liban
Commenter  J’apprécie          112
La danse orientale a plein d'effets positifs sur le corps des femmes.
Il paraît que ça soulage des règles, que ça évite les problèmes de stérilité et les inconvénients de la ménopause, et que c'est bien aussi pendant la grossesse.
C'est parce que la danse orientale replace correctement le bassin, développe les muscles des hanches et les chauffe régulièrement.
Commenter  J’apprécie          40
Le monde d'aujourd'hui est, pour les hommes, un harem, et pour les femmes, un haras.
Commenter  J’apprécie          40
Tout d'abord, le terme belly dance vient des pays anglophones, ça désigne la danse orientale. L'appellation orientale fait référence à différents pays comme l'Égypte, la Turquie et le Liban.
Commenter  J’apprécie          00

Lire un extrait
autres livres classés : turquieVoir plus
Les plus populaires : Manga Voir plus


Lecteurs (66) Voir plus



Quiz Voir plus

Tête de Turc !

De quelle pièce de Molière cette réplique est-elle extraite ? Que diable allait-il faire dans cette galère ? Ah maudite galère ! Traître de Turc à tous les diables !

Le bourgeois gentilhomme
Monsieur de Pourceaugnac
Les Fourberies de Scapin
La jalousie du barbouillé

10 questions
61 lecteurs ont répondu
Thèmes : turquie , turc , littérature , cinema , humour , Appréciation , évocationCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..