Lorsque j'ai commencer ma lecture, j'ai trouver le livre lourd et éparpillé. J'ai trouver que l'auteur voulait nous donner beaucoup d'information à la fois.
Je m'explique, par exemple, elle peut me faire le profil d'un tueur pour faire une parenthèse sur l'hypothèse qu'il pourrait y avoir un lien entre les tueurs en série et le fait d'uriner tardivement au lit puis me nommer plusieurs autres tueurs ayant uriner au lit et leurs mode operatoire. Ensuite sans préavis, on revient au profil du tueur initial. le tout est un peu confus au départ mais je trouve que la structure s'améliore et ce précise au fil des pages.
Le livre est malgré tout très interressant amenant plusieurs réflexions par rapport aux déclencheurs divers pouvant amener ces comportements meurtriers. Les témoignages sont pertinants et souvent déstabilisant par leurs honnêteté.
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J'ai lu ce livre pour m'aider à faire un débat en classe sur la peine de mort. J'ai adoré en apprendre plus sur ce genre de personne. Nadia nous permet de mieux comprend le pourquoi de leurs gestes sans pour autant les excuser. J'ai beaucoup appris durant ma lecture. Je le recommande à tous ceux qui veulent en savoir plus sur les tueurs en série.
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Ayant lu beaucoup de livre de ce genre dans le cadre de mes études, j'ai été vraiment déçu par celui-ci.
D'abord, je trouve que le livre est une banale retranscription des dialogues et ensuite j'ai trouvé ce livre un peu soporifique. L'auteur nous parle trop de son parcours, de ces démarches pour entrer en contact avec les tueurs en séries, cependant, c'est pas cela qui, pour moi, est intéressant.
Je n'ai pas non plus adhérer à l'écriture, je n'aime pas le style. Bref j'étais pressé que cela se termine.
Le seul point positif, c'est que les tueurs mentionnée dans le livre, sont moins que connus que certains, donc ça nous permet d'en connaitre de nouveau.
Bref, pas un très grand ouvrage en terme de criminologie.
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Pour écrire ce livre, une journaliste montréalaise a entretenu une correspondance pendant quatre ans avec une vingtaine de tueurs en série américains notoires, et a interviewé des spécialistes (criminologues, psychiatres, etc). le livre trace le portrait de certains de ces meurtriers : leur enfance, leurs motivations, etc. et démystifie leur univers.
C'est facile à lire d'un point de vue littéraire ; ça l'est beaucoup moins d'un point de vue humain! C'est un bon livre pour satisfaire sa curiosité morbide!
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Libres de toute censure, les déclarations des tueurs se succèdent, laissant parfois entrevoir des traces de folie, les cicatrices d'un passé tragique ou les raisonnements d'hommes qui semblent en tous points normaux…
Lire la critique sur le site : Actualitte
Les psychopathes sont des individus froids, qui calculent tout, pensent clairement et logiquement. À l’opposé, il y a ceux qui sont considérés comme fous [insane] et certains psychotiques. Ceux-ci entendent des voix, hallucinent, ont des pensées délirantes. Les schizophrènes paranoïaques tombent souvent dans cette catégorie. La majorité des tueurs en série sont des psychopathes, puisqu’ils veulent dominer les autres. D’autres ne sont pas aussi intelligents, manquent de compétences sociales, et leur développement émotionnel est moindre.
La pyromanie est l’un des nombreux troubles du contrôle des impulsions. Certains pyromanes sentent un relâchement des tensions; d’autres sont simplement fascinés par le feu; d’autres encore éprouveront de l’excitation sexuelle dans le fait d’allumer des incendies. Parfois, certains pompiers volontaires, qui sont aussi pyromanes, vont eux-mêmes aider à éteindre l’incendie qu’ils ont provoqué.
Les tueurs en série sont difficiles à repérer, puisqu’ils s’attaquent habituellement à des inconnues qui se retrouvent au mauvais endroit, au mauvais moment. Il y a donc rarement de piste. Très rares sont ceux qui s’attaquent à leur femme ou à leur famille. Ils aiment leur conjointe et leurs enfants et veulent leur éviter la souffrance. Rares sont ceux qui s’en prennent à une connaissance.
L’antisocial est un marginal. Il se tient à l’écart des gens et des foules. Il est souvent introverti, mais éprouve moins de remords que la majorité des gens. Ils éprouvent des sentiments profondément troublants, mais se défoulent sans aucune pitié. Malgré cela, il faut savoir que les psychopathes et les sociopathes ne sont pas nécessairement des meurtriers.
Tout criminel sait que l’éventualité d’être arrêté fait partie du jeu. Don’t do the crime if you can’t do the time. Mais la peine capitale n’arrêtera jamais personne. Il n’y a pas plus de trois prisonniers ici qui ont été condamnés à la peine de mort (dans le pays – environ 3 200). Les exécutions servent simplement à venger les familles des victimes.