Après son enlèvement, Alba, 17 ans est secourue par la Flèche, un navire cosmique. Elle découvre stupéfaite que son équipage explore les différentes bulles d'espaces secondaires à la recherche de créatures stellaires. Ces créatures impressionnantes représentent la source économique principale des différentes espèces qui les traquent sans relâche. Contre toute attente Alba semble avoir des capacités hors normes et un lien particulier avec elles. Qui est-elle vraiment ? L'équipage ne tarde pas à l'apprendre : Alba est la fille de Daladyn l'impie, un représentant du Haut Conseil banni par les siens pour avoir tenu des propos impies à propos des créatures ! Pour l'instant, Alba ignore tout de sa véritable identité, mais son existence risque de provoquer des remous en haut lieu.
Les membre d'équipage de la Flèche en font rapidement la douloureuse expérience, étant violemment attaqué. Prenant in extremis la fuite, ils sont obligés de se réfugier dans un système de planètes aquatiques où ils vont tenter de radouber. Mais les mercenaires lancés à leurs trousses ne lâchent pas facilement l'affaire et les poussent toujours plus loin dans leurs retranchements… Une chose est sûre, Alba attise les convoitises. Est-ce pour bénéficier de ses capacités singulières ou tout simplement pour la faire disparaître avant qu'elle ne se déclare officiellement légataire des pouvoirs qui lui reviennent ?... Les créatures stellaires qui ont déjà sauvé Alba une fois sont loin de ce monde aquatique et ne pourront pas la secourir. Comment va-t-elle réussir à survivre et à prendre la place qui lui revient sur cet échiquier politique qui a déjà coûté la vie à son père ?
Ce second tome nous offre encore une fois des paysages futuristes envoûtants et un récit plein de péripéties ! Après le succès de la saga le Voyage extraordinaire, le duo Filippi / Camboni revient avec cette série astrale qui aborde des thèmes aussi variés que la sociologie, la bio-éthique, l'écologie ou la préservation des espèces.
Découvre Prima Spatia, tomes 1 et 2 par Denis-Pierre Filippi et Silvio Camboni : https://www.glenat.com/24x32-vents-douest/prima-spatia-tome-02-9782749310022
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Denis-Pierre FilippiLe Spirou de... tome 12 sur 20
/5 24 notes
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Résumé :
Dans l'espace infini, un vaisseau spatial attaque un transporteur extraterrestre. Du navire agresseur surgissent trois robots géants à l'intérieur desquels on reconnaît trois personnages bien connus : Champignac, Zorglub et Zantafio. Après quelques manipulations de Pacôme sur la cargaison liquide, Zorglub se réjouit : les voilà propriétaires d'un véritable océan ! Non loin de là, l'agent administratif Spirou, petit-fils du Comte, valide sur son clavier la transactio... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9)
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Ouawh, je m'attendais à tout...sauf à ça et j'avoue que j'ai été complètement perdu au début mais au final, on s'adapte assez bien à ce changement de décor, d'espace-tempe et tout ce qui va avec ! Alors que Seccotine (la soeur de Spirou) a choisi de s'allier au groupe des rebelles, Spirou, lu, est resté du côté de l'administration qui contrôle tout pu presque en enquête sur la laboratoire Z (cette initiale, vous dît quelque chose, c'est normal car il y a énormément de références et de clins d'oeil aux anciens épisodes de Spirou, tel que nous le connaissons en tant que reporter, indissociable de Fantasio, son ami de toujours et de Spip, leur petit écureuil trop mignon qui, ici, fait plutôt flippé ! En effet, ce dernier a été reprogrammé et est devenu une sorte de robot super intelligent capable de repérer toute présence humaine à des milliers de kilomètres à la ronde et joue parfaitement son rôle d'espion. Tout comme lui, Spirou et Fantasio ne se rappellent pas de ce qui leur est arrivé dans le passé, ayant été reprogrammés et ne se connaissent même plus d'ailleurs. Cependant, si le dernier à a bien l'intention de savoir qui il est, c'est l'implication du grand-père de Spirou qui l'inquiète et qui l'embarque dans cette aventure plutôt déjantée mais au final, assez bien tournée !
Autant vous prévenir, ici, on nage en plein délire mais avec des dessins tout simplement superbes et un scénario à couper le souffle ! A découvrir sans plus tarder !
Autant vous prévenir, ici, on nage en plein délire mais avec des dessins tout simplement superbes et un scénario à couper le souffle ! A découvrir sans plus tarder !
Les décors sont absolument fantastiques, Fabrice Lebault se sert d'une imagination délirante, c'est superbe, bourré de références. Niveau scénario, j'avoue que j'ai été très déconcerté. On est dans de la pure science fiction, entre steampunk et Valérian, et les personnages ont des rôles très éloignés de la série Spirou : celui-ci a une soeur, Seccotine, et des parents fonctionnaires, un grand-père Comte de Champignac, Fantasio est un agent furtif à la Matrix, et Spip une espèce de Gremlin connecté. le rythme est très enlevé, les mystères mettent du temps à se lever, mais la surprise est au rendez-vous, et le petit côté irrespectueux de la série au début de l'histoire est parfaitement assumé avec une fin sous forme de clin d'oeil très sympathique. Une fois de plus, je suis agréablement surpris du "Spirou de...", Lebault et Filippi ont réalisé un opus frais et palpitant, bien délirant. le plaisir qu'ils semblent avoir pris à la réalisation est partagé en ce qui concerne ma lecture.
Voilà un bien surprenant "Spirou de" dans un domaine que l'on attendait pas du tout : la science fiction!
Dans un univers géré par l'Administration, Spirou est un employé de surveillance comme ses parents avant lui et son grand-père avant eux. En plus de cet univers galactique déstabilisant, les rôles sont redistribué. Seccotine est la soeur rebelle de Spirou, Champignac son grand-père, Fantasio un agent furtif surentrainé et suréquipé, et ce pauvre Spip se retrouve être une espèce de drone connecté capable de hacker les meilleures défenses informatiques.
Déconcertant dans un premier abord mais je ne suis pas contre un peu de changement et de nouveauté. Les auteurs ont su prendre le risque de cette carte pour nous étonner.
Je trouve dommage que le monde ainsi créé ne soit pas très clair entre termes inventés pour faire science fiction et politique mystérieuse, j'ai eu du mal à me sentir à l'aise et à bien comprendre l'univers. Par contre le dessin le sert très bien : il est gai, lumineux, coloré, plein de détails amusants.
Dans un univers géré par l'Administration, Spirou est un employé de surveillance comme ses parents avant lui et son grand-père avant eux. En plus de cet univers galactique déstabilisant, les rôles sont redistribué. Seccotine est la soeur rebelle de Spirou, Champignac son grand-père, Fantasio un agent furtif surentrainé et suréquipé, et ce pauvre Spip se retrouve être une espèce de drone connecté capable de hacker les meilleures défenses informatiques.
Déconcertant dans un premier abord mais je ne suis pas contre un peu de changement et de nouveauté. Les auteurs ont su prendre le risque de cette carte pour nous étonner.
Je trouve dommage que le monde ainsi créé ne soit pas très clair entre termes inventés pour faire science fiction et politique mystérieuse, j'ai eu du mal à me sentir à l'aise et à bien comprendre l'univers. Par contre le dessin le sert très bien : il est gai, lumineux, coloré, plein de détails amusants.
Un nouveau Spirou de... Ici de Denis-Pierre Filippi. Juste après avoir lu du même auteur le voyage extraordinaire. On retrouve avec notre rouquin préféré son univers particulier, un peu barré. Ici de science-fiction. Très rafraichissant et innovant pour Spirou.
C'est sympathique, on est vite plongé dans cet univers extraordinaire même si il faut rapidement tout saisir sur son fonctionnement. Pas sûre d'avoir tout compris sur le fonctionnement de l'Administration et de la fondation Z, ni vraiment ce que c'est qu'un furtif ou le rôle de Spirou et de sa famille. du coup on ne saisi pas toute l'ampleur des révélations et des rebondissements. C'est ce qui m'a gêné dans ma lecture sans être rédhibitoire. La lecture reste très distrayante, rythmée, sans temps mort.
La fin est surprenante. C'est marrant de voir les aventures de Spirou et Fantasio autrement.
Les personnages sont tout aussi uniques. Spirou est très charismatique. Seccotine très différente de ce qu'on connait, rebelle, fonceuse. Spip est là aussi dans une sorte de robot. Mais le plus surprenant est Fantasio. Loin de son rôle habituel, sombre et mystérieux, grave.
Les dessins nous font voyager dans cet autre univers. Ils transfigurent aussi les personnages, bien plus matures. C'est lumineux et dynamique. le rendu est très sympathique.
C'est sympathique, on est vite plongé dans cet univers extraordinaire même si il faut rapidement tout saisir sur son fonctionnement. Pas sûre d'avoir tout compris sur le fonctionnement de l'Administration et de la fondation Z, ni vraiment ce que c'est qu'un furtif ou le rôle de Spirou et de sa famille. du coup on ne saisi pas toute l'ampleur des révélations et des rebondissements. C'est ce qui m'a gêné dans ma lecture sans être rédhibitoire. La lecture reste très distrayante, rythmée, sans temps mort.
La fin est surprenante. C'est marrant de voir les aventures de Spirou et Fantasio autrement.
Les personnages sont tout aussi uniques. Spirou est très charismatique. Seccotine très différente de ce qu'on connait, rebelle, fonceuse. Spip est là aussi dans une sorte de robot. Mais le plus surprenant est Fantasio. Loin de son rôle habituel, sombre et mystérieux, grave.
Les dessins nous font voyager dans cet autre univers. Ils transfigurent aussi les personnages, bien plus matures. C'est lumineux et dynamique. le rendu est très sympathique.
D'abord, et quasiment essentiellement, il y a l'aspect graphique. Horologiom nous crie l'univers steampunk, les couleurs, la mise en page, le trait...
Je suis un très grand fan d'Horologiom. Et de Spirou... Mais je n'ai réellement pas pu accrocher à cet hommage. Autant le dire. Et pourtant tout au long des 66 planches, j'ai combattu avec mon cerveau ce que les tripes me hurlaient à chaque case... Ce n'est pas et ne peut être une aventure de Spirou et Fantasio.
Qui dit hommage, dit appropriation, bien sûr. Les auteurs ont le droit de s'approprier Spirou et d'en faire le héros qu'ils rêverait de voir. OK. Qu'est-ce qui cloche alors...? le lecteur a énormément de mal à se positionner par rapport à ce Spirou de SF, entre rébellion et obéissance. Et il faut une pirouette "avec mouvement rentrant par Sedan" à Filippi et Lebeault pour réintégrer leur création dans la saga du Spirou que nous connaissons. C'est sans doute là l'erreur la plus flagrante des auteurs. Car cela induit un manque de cohérence entre ce récit et ceux de la série originale.
Au terme d'un album doté d'une intrigue complexe, mal menée et malmenée, et rendue inutilement obscure par les auteurs, j'ai été fort surpris (et pas trop content) de les voir replacer leur création dans l'univers de Franquin. Comme si ce Fondation Z qui n'explique pas grand chose était un prélude au Chapeaux Noirs, tome 2 des aventures de Spirou et Fantasio.
Ils ont repris les fondamentaux de Spirou: Zorglub, Champignac, SPIP, et surtout Zantafio (ce qui est un bon point en ce qui me concerne) et tout secoué. Mais le cocktail est indigeste. Ils créent un monde, qui pourrait être très attirant, fascinant, mais trop rapidement pour être digeste car ils essaient de tout faire rentrer en 66 planches. Cela semble fonctionner car ils intègrent des idées connues via l'Horologiom, remettent une couche de rébellion à la Star Wars par-dessus tout en insérant des personnages de la série originale. Pas convaincant au final.
Je suis un très grand fan d'Horologiom. Et de Spirou... Mais je n'ai réellement pas pu accrocher à cet hommage. Autant le dire. Et pourtant tout au long des 66 planches, j'ai combattu avec mon cerveau ce que les tripes me hurlaient à chaque case... Ce n'est pas et ne peut être une aventure de Spirou et Fantasio.
Qui dit hommage, dit appropriation, bien sûr. Les auteurs ont le droit de s'approprier Spirou et d'en faire le héros qu'ils rêverait de voir. OK. Qu'est-ce qui cloche alors...? le lecteur a énormément de mal à se positionner par rapport à ce Spirou de SF, entre rébellion et obéissance. Et il faut une pirouette "avec mouvement rentrant par Sedan" à Filippi et Lebeault pour réintégrer leur création dans la saga du Spirou que nous connaissons. C'est sans doute là l'erreur la plus flagrante des auteurs. Car cela induit un manque de cohérence entre ce récit et ceux de la série originale.
Au terme d'un album doté d'une intrigue complexe, mal menée et malmenée, et rendue inutilement obscure par les auteurs, j'ai été fort surpris (et pas trop content) de les voir replacer leur création dans l'univers de Franquin. Comme si ce Fondation Z qui n'explique pas grand chose était un prélude au Chapeaux Noirs, tome 2 des aventures de Spirou et Fantasio.
Ils ont repris les fondamentaux de Spirou: Zorglub, Champignac, SPIP, et surtout Zantafio (ce qui est un bon point en ce qui me concerne) et tout secoué. Mais le cocktail est indigeste. Ils créent un monde, qui pourrait être très attirant, fascinant, mais trop rapidement pour être digeste car ils essaient de tout faire rentrer en 66 planches. Cela semble fonctionner car ils intègrent des idées connues via l'Horologiom, remettent une couche de rébellion à la Star Wars par-dessus tout en insérant des personnages de la série originale. Pas convaincant au final.
critiques presse (6)
Une histoire moderne servi par un dessin moderne, les personnages semi-réalistes de Fabrice Lebeault, les lieux très détaillés et élancés pour donner une vision de grandeur et d’espace ajoutent une fascination certaine à la lecture de l’album.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Très, voire trop extrême et passablement embrouillé, Fondation Z désarçonne au premier regard et déçoit sur la longueur.
Lire la critique sur le site : BDGest
Fondation Z divisera immanquablement les fans de Spirou. L'album pose pour nous la question de la limite entre interpréter et dénaturer, avec la sensation désagréable qu'il fait pencher la balance de ce côté. Mais chacun pourra se faire sa propre opinion... Une curiosité !
Lire la critique sur le site : Auracan
Un essai qui avait tout pour nous émerveiller sur le papier et qui malheureusement restera une déception.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
L’histoire, palpitante, multiplie les clins d’oeil aux vieilles aventures de Spirou, mais s’en détache suffisamment pour montrer que les auteurs en ont digéré l’héritage. Une réussite sur tous les plans, terriblement enthousiasmante.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Contre toute attente, cet étonnant album est une excellente surprise assez dépaysante qui propose une lecture captivante !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (2)
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"_Alors, c'est ici que tu comptes nous interroger ?
Je préfère te prévenir, on nous a entraînés à résister à toute forme de pression, tu n'obtiendras rien de moi.
_On dirait que chacun a une vision toute relative du silence.
_En fait je crois que c'est un blocage depuis toute petite."
Je préfère te prévenir, on nous a entraînés à résister à toute forme de pression, tu n'obtiendras rien de moi.
_On dirait que chacun a une vision toute relative du silence.
_En fait je crois que c'est un blocage depuis toute petite."
Ma femme a la passion des articles de défense. Pourtant je ne cesse de lui répéter que ses charmes suffisent à désarmer n'importe qui.
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Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.
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