Quatrième tome de la saga "Les Damnés de la Route" encore une fois moins bien que le précédent, qui était déjà moins bien que le précédent.
En bref, les runnings gags sur la Deuche pourrie du père de famille et le conducteur du dimanche avec sa sportive, qui perd son permis est un peu répétitif à la fin...
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- Et si justement, on avait une rentrée d'argent surprise, du genre héritage, est-ce que tu changerais de Titine?
- Ben... Je ne dis pas non.. Ce serait même envisageable!!
- Paaarfait! On file à l'hôpital, voir ta mère qui vient d'être hospitalisée - on passera chez le concessionnaire ensuite!!!
- S'habiller en mannequin de crash-test, on est peut-être allées un peu fort avec lui maman, non?!
- Rien n'est trop fort pour éviter de rouler dans cette fichue voiture!!
- Mais à l'arrière les sièges sont encore pires! Pourquoi?...
- Parce que c'est la banquette où ta mère et moi t'avons conçue!! On était jeunes... On était fous!
- Ben vous alors... Bravo! Vous avez du coeur vous au moins!
- Boah! C'est normal! J'me sens fautif devant lui... C'était mon assureur avant l'accident!
Porto, Buenos Aires, Guatemala! J'ai pas de chance avec les auto-stoppeuses! Pas une pour Dunkerque!!