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Mike Allred (Autre)
EAN : 9782364807303
160 pages
Huginn & Muninn (23/10/2020)
3.97/5   18 notes
Résumé :
La vie de David Bowie en BD
« C'est la vie de Bowie sous forme de paraboles et d'histoires imaginaires, une reconstitution magnifiquement documentée, sans doute meilleure que d'authentiques reportages d'époque. C'est la rétrospective fantasmée de la vie d'une personnalité fantasmatique, inspirée par la vie de son interprète, un certain David Jones, qui vécut jadis à Bromley et naquit à Brixton. » Neil Gailman
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Quand on est fan de Bowie, difficile de résister à l'envie d'en connaitre plus sur sa vie, son univers et découvrir sa biographie en bande-dessinée (américaine) de Mike Allred et Steve Horton. Difficile aussi de résister à l'envie d'écrire une petite bafouille pour lui rendre hommage.
Le 8 janvier, David Bowie aurait eu 77 ans et le 10 janvier cela fera 8 ans qu'il nous a quitté.

Les auteurs de cette bande-dessinée nous immergent dans sa vie tourbillonnante à ses débuts et surtout l'époque la plus mythique, la plus féconde, celle des années 70 avec son personnage Ziggy stardust et la période glam rock (celle où, pour ma part, je pioche les morceaux de Bowie que je préfère).
Après des débuts difficiles et plusieurs créations de groupe, David Robert Jones, alias David Bowie, va commencer à se faire un nom avec la chanson « Space oddity » … On voit ensuite défiler les nombreux concerts, bien sûr en Angleterre, en France, en Allemagne et aux Etats-Unis (…) et sa notoriété grandir... Une vie faite de concerts, de routes, de créations, de rencontres avec les artistes les plus fameux de l'époque (Freddy Mercury, Andy Warhol, son ami…).

Il faut être assez initié pour comprendre toutes les références musicales de cette biographie (cela va des références de chansons, de périodes, de musiciens et compères avec qui Bowie a travaillé).
Mais les lecteurs qui apprécient le chanteur (et je suppose que ceux sont les plus nombreux) réussissent facilement à s'imprégner dans l'ambiance des concerts, de toutes ces salles de grande renommée en passant par les émissions musicales de l'époque. D'ailleurs, son passage dans ‘'Top of the pops'' en 1972 où il va interpréter ‘'Starman'' de manière aussi ébouriffante que ses cheveux va révolutionner et changer l'histoire de la musique (en tant que fan de Bowie je peux me permettre d'énoncer une telle évidence :) ). Il suffit de revoir ces incroyables tenues et transformations (costumes, coiffures, maquillages), en studio lors des enregistrements, les vidéo-clips et plus encore ces concerts formidablement retranscrits dans les bulles.

Les bulles sont construites dans la même ambiance de l'époque, énergiques, colorées, presque psychédéliques, comme une succession de scènes, de concerts, de rencontres. Comme si cela ne s'arrêtait presque jamais jusqu'à la tombée du rideau.
Sont évoqués également les périodes de travail sur des chansons avec les musiciens, et bien sûr les quelques clashs entre musiciens, départs de membres, certaines séparations de groupes. L'univers musical est baigné de soirées entre potes, mais aussi de jalousies et pics entre rivaux.

J'avoue qu'il m'a manqué dans cet ouvrage une immersion un peu plus en profondeur de cet incroyable artiste, en commençant peut-être par son enfance, par la relation avec ses parents, par ses ambitions artistiques, son processus de création surtout et quelques références des films dans lesquels il a tourné (le cultissime Furyo).
Je me suis également demandée pour quelles raisons sa bisexualité n'était que peu effleurée dans cette bande-dessinée : s'agissait-il uniquement d'explorer l'artiste en tant que tel ou était-ce dans le but de ne pas heurter l'Amérique puritaine ?
Au fil des pages, on ressent un petit quelque chose en croisant tous les artistes qui ont croisé ou côtoyé le chanteur : de M. Faithfull à Elton John, de T. Rex à Lou Reed, de Bob Dylan à Elvis Presley (né le même jour, et de 12 ans son ainé). Des Beatles, aux Rolling-Stones en passant par le jeune Bruce Springsteen.
Que ce soient les portraits croqués des rock stars ou encore de Bowie lors de ses différents et incroyables styles scéniques, lors de ses concerts les plus grandioses et qu'il interprète ses chansons les plus émouvantes, cultissimes (‘'The man who sold a world'', ‘'Life on Mars'', ‘'Heroes'', la liste est longue), un sourire nait, mêlé à ce petit sentiment de nostalgie, ou serait-ce de la mélancolie (que les plus de 20 ans peuvent connaître) ?

L'évocation de tous ces chansons tout au long de cette BD nous amène, forcément aussi, à fredonner et on finit par avoir une furieuse envie de réécouter ses albums.
Alors, pour finir en beauté, pour finir sur une belle note, je crois bien que je vais me faire un petit medley en commençant par « Under pressure », duo Bowie et Queen, of course, en montant un peu le son.

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Ce tome constitue une biographie partielle de David Bowie, se suffisant à elle-même et accessible à tous les lecteurs, néophytes comme fans confirmés. Il s'agit d'une bande dessinée d'environ 150 pages, en couleurs, coécrite par Michael Allred & Steve Horton, dessinée et encrée par Michael Allred, et mise en couleurs par Laura Allred. L'ouvrage s'ouvre avec une page d'introduction écrite par Neil Gaiman, évoquant sa découverte de l'univers de Bowie ayant été accroché par les récits de science-fiction racontés par les paroles de ses chansons, depuis The man who sold the world (1970) à Ziggy Stardust (1972). Puis il évoque sa rencontre avec Michael Allred en 1983 lors d'une séance de dédicace à Forbidden Planet (Londres), et leur collaboration pour l'épisode 54 de la série Sandman en 1993. En fin de tome se trouve une postface de 2 pages de Michael Allred évoquant la genèse et le développement de cette bande dessinée et sa collaboration avec Horton, ainsi qu'une page de remerciements, et une demi-douzaine d'illustrations en pleine page.

3 juillet 1973, David Jones se produit à l'Hammersmith Odeon à Londres, en Angleterre, avec les Spiders from Mars, pour le dernier concert de leur tournée, et la fin de Ziggy Stardust. En 1962, David Bowie s'est disputé avec George Underwood à propos d'une fille et la bagarre occasionne un dommage à sa pupille gauche qui restera dilatée toute sa vie. Au cours des années 1960, il fait partie d'une douzaine de groupes différents, et il apprend l'art du mime avec Lindsay Kemp, ce qui lui sert également d'introduction à l'avant-garde et la Commedia Dell'Arte. Assis à une terrasse de café, il écoute avec Marc Bolan, Steve Marriott annoncer la formation d'un groupe appelé Small Faces. Un peu plus tard, Ken Pitt, le manager de David, lui conseille de changer de nom pour ne pas être confondu avec un personnage de la série télé The Monkees. David se décide pour le patronyme Bowie, non pas comme le couteau, mais comme un autre personnage télé. En 1967, il est allé voir Cream en concert avec Eric Clapton, accompagné par son demi-frère Terry Burns. Ce dernier a une crise de démence en pleine rue, ce qui inquiète David quant au risque que lui-même finisse par en souffrir.

Un peu plus tard, Ken Pitt fait écouter un pressage test de l'album The Velet Underground & Nico, cadeau que lui a fait Andy Warhol lors de sa visite de son atelier The Factory à New York. En 1967, sortent de nombreux albums pop et rock, de Bob Dylan aux Beatles, en passant par Pink Floyd, autant d'influences et de sources d'inspiration. le premier album e Bowie sort en même temps que Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band, mais il ne connaît pas le même succès. Kenneth Pitt lui présente un nouveau producteur : Tony Visconti. Ils sympathisent au cours de la journée. Bowie emménage dans la maison de Pitt, et entame une petite carrière d'acteur, dont un tournage de publicité avec un jeune Ridley Scott. le 4 septembre 1963, The Tortoise, le groupe dont il fait partie, se produit au Roundhouse à Londres : parmi les spectateurs se trouve Mary Angela Barnett, sa future épouse. Régulièrement, il se rend dans les échoppes de Kensington Market où travaille, entre autres, un dénommé Farrokh Bulsara. Ken Pitt a réussi à réunir un budget pour tourner un film promotionnel pour l'album de Bowie. Lors du tournage, il fait la connaissance de Hermione Farthingale avec qui il fait plus que sympathiser, mais elle finit par tomber dans les bras d'un autre acteur. Dans ce film, il joue les rôles des personnages Ground Control et Major Tom. Ce film rend hommage à 2001 l'odyssée de l'espace (1968) de Stanley Kubrick, et à Barbarella (1968) de Roger Vadim.

Rien qu'en lisant le sous-titre (Stardust, rayguns & Moonage dayrdreams), le lecteur sait que les auteurs s'adressent au moins aux connaisseurs : Stardust comme Ziggy, Rayguns et Moonage Daydreams, constituant une expression et le titre d'une chanson de l'album Ziggy Stardust. Effectivement, les références sont pointues et précises, nombreuses et pertinentes, à la fois relatives à la biographie de David Bowie, à la fois relatives aux artistes de l'époque. du coup, cet ouvrage parle forcément plus à des lecteurs un peu familiers de l'univers de la musique pop & rock de l'époque, qu'à des néophytes qui pourraient être rebutés par ces noms de célébrités, parfois confinées à cette époque, parfois à la notoriété ayant survécu au passage des décennies. D'un autre côté, ces mêmes lecteurs peuvent aussi apprécier cette forme de découverte, d'ouverture sur toute une époque. Celle-ci est clairement définie : de 1962, en avançant rapidement jusqu'en 1970, jusqu'en 1974 pour la sortie de Diamond Dogs en 1974, c'est-à-dire la retraite définitive du Personnage de Ziggy Stardust. de même le ton de la biographie est clair dès le début : un croisement entre une hagiographie et la mise en oeuvre d'un destin déjà avéré, c'est-à-dire presque une justification à rebours, le passé étant revu à l'aune de la carrière à venir de l'artiste. Là encore, le ressenti du lecteur peut varier entre agacement d'une admiration sans critique, ou plaisir de cet enthousiasme communicatif.

En outre, le ton de la narration s'apparente plus à une forme de respect et même d'admiration pour David Bowie, au travers de ses accomplissements, qu'à une adoration idolâtre. À l'évidence, il s'agit d'un chanteur pop dont la carrière s'est étendue sur plus de quatre décennies, avec un succès impressionnant, des prises de risque, une vie qui force l'admiration quelle que soit son appréciation pour sa musique. En fait, le lecteur peut aussi prendre le ton de l'ouvrage pour du respect tout simplement, sans y voir une sorte de révérence aveugle. Sous réserve qu'il soit curieux de la vie de l'artiste ou qu'il ait un peu d'appétence pour la scène musicale de l'époque, le lecteur se retrouve vite emporté dans cette biographie. Il se sent à la fois en terrain connu avec les références qu'il identifie comme les pochettes d'albums de l'époque, à la fois comme guidé par un passeur attentionné vers des détails, des correspondances qu'il ne connaissait pas, qu'il ne soupçonnait pas. Il peut aussi s'interroger sur la volonté des auteurs de rapprocher des événements qui ne présentent pas de lien de causalité, pour donner un sens à leur association sur la page. Par exemple, le fait que David Bowie achetait des vêtements à Kensington Market alors que le futur Freddie Mercury y travaillait peut paraître forcer la dose juste pour établir un lien qui n'existe que dans la tête des auteurs. D'un autre côté, cette mise en avant d'une synchronicité peut aussi se lire juste comme une façon de faire ressortir la concomitance de l'émergence de plusieurs talents remarquables, l'esprit d'une époque favorable à ces artistes aventureux.

Sous réserve qu'il ne se formalise pas de ces 2 particularités de la narration, le lecteur ressent tout l'amour que les auteurs portent à David Bowie, et se sent lui aussi vite gagné par une partie de cet enthousiasme, et de ce respect. Il découvre la vie singulière d'un artiste allant de l'avant, aimant la vie, la popularité, créateur original et infatigable. Il se rend compte que Horton & Allred ont pris le parti de mettre en avant les éléments positifs de la vie de David Bowie, n'occultant pas les scandales et les turpitudes, mais préférant se montrer constructifs, ce qui offre une vision très inhabituelle par comparaison avec les biographes préférant utiliser les éléments négatifs pour être sûrs de retenir l'attention du lecteur. Par voie de conséquence, cette approche ne permet pas de prise de recul, et ne contient pas d'analyse critique constructive ou non sur l'oeuvre de l'artiste. Il y a la mise en avant de quelques liens de cause à effet sur telle ou telle évolution de la carrière, telle idée créatrice. Pour autant, la lecture s'avère passionnante de bout en bout, même pour un amateur superficiel de David Bowie. Michael Allred est avant tout connu pour sa carrière d'artiste de comics comme Madman, X-Statix (avec Peter Milligan), iZombie (avec Chris Roberson), FF (avec Matt Fraction), Silver Surfer (avec Dan Slott) et beaucoup d'autres. Ses dessins sont souvent qualifiés de pop un peu naïfs, avec des couleurs acidulées, et une sensibilité rétro, autant de qualité parfaitement en phase avec une évocation d'un géant de la pop du début des années 1970.

À la lecture, la première chose qui saute aux yeux est la capacité de l'artiste de capturer la ressemblance avec les personnes ayant vraiment existé : David Bowie bien sûr, Iggy Pop, Lou Reed, Elvis Presley, Elton John et tant d'autres. D'ailleurs, ça se transforme vite en jeu pour le connaisseur d'identifier tel ou tel visage d'un artiste qui n'est pas nommé dans les bulles ou les cartouches. En outre, il ne se contente pas de visages ressemblants, il sait aussi reproduire les postures, les attitudes avec fidélité et justesse. de la même manière, les pochettes d'album, les costumes de scène sont reproduits avec fidélité et exactitude, Allred réalisant des dessins dans un registre plus descriptif qu'à son habitude. Ses représentations des instruments de musique, des scènes, des bâtiments sont tout aussi consistantes et précises, offrant une reconstitution historique de cette époque, de ces modes, très consistante et précise. Très vite, qu'il en soit familier ou non, le lecteur se projette dans ces lieux, aux côtés de ces personnes très vivantes, très justes. Il est impressionné par la densité de détails, attestant de recherches extensives, et d'un grand amour pour leur sujet.

Dans les faits, les bandes dessinées sur un musicien pop ou rock buttent vite sur la difficulté de transcrire les vibrations de la musique sur une page de papier. Au fur et à mesure des séquences, le lecteur se retrouve à fredonner les chansons des albums évoqués, s'il les connaît, tellement les auteurs parviennent à restituer avec justesse la personnalité publique de David Bowie, au travers de son parcours personnel et de sa vie privée. Les dessins sont d'une justesse surnaturelle, fidèle et vivante, sans être figée. Une bande dessinée qui réussit le pari de donner l'impression d'être en train d'écouter les albums en lisant simplement les pages.
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Dans son avant-propos, Neil Gaiman résume parfaitement l'ouvrage. « C'est la vie de Bowie sous forme de paraboles et d'histoires imaginaires, une reconstitution magnifiquement documentée, sans doute meilleure que d'authentiques reportages d'époque. C'est la rétrospective fantasmée de la vie d'une personnalité fantasmatique, inspirée par la vie de son interprète, un certain David Jones, qui vécut jadis à Bromley et naquit à Brixton. »

J'ai lu plusieurs biographies de David Bowie, notamment celles de Jérôme Soligny qui a connu intimement l'artiste et sait parfaitement parler de lui. Je vous conseille donc vivement David Bowie et Rainbow Man 1967-1980.

Pour en revenir à ce comics, il ne m'a rien appris de nouveau, mais il a une façon très originale de présenter la vie de l'artiste caméléon, sous forme de reportage ou revue de presse. Et pour me faire lire un comics, il fallait vraiment David Bowie, car je ne suis vraiment pas à l'aise avec ces pages saturées d'images et de couleurs, qui ne laissent à l'oeil aucun espace vierge pour se reposer un instant. Mais ce format colle plutôt bien à l'artiste protéiforme et extravagant qu'était Bowie. « À chaque étape, il ne considère rien comme requis, et sème les graines d'une future carrière florissante, tout en se gavant de culture pop américaine. »

Toujours en bande dessinée, j'avais beaucoup aimé Haddon Hall de Nejib, dans un radicalement différent ! de toute façon, toute production littéraire ou artistique qui parle de Bowie a droit à mon attention la plus soutenue.
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Des dessins fabuleux pour nous raconter, nous parler encore et toujours de David Bowie que nous aimions tant! Encore une fois nous l'entendons et découvrons un détail ou deux non encore connus de nous. Les couleurs explosent et vibrent pour rendre hommage à ce chanteur plus grand que nature!
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critiques presse (1)
Actualitte
30 décembre 2020
Réalisé par Mike Allred, auteur reconnu dans le milieu du comics, l'album est accompagné d'une préface de Neil Gaiman.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
« C’est la vie de Bowie sous forme de paraboles et d’histoires imaginaires, une reconstitution magnifiquement documentée, sans doute meilleure que d’authentiques reportages d’époque. C’est la rétrospective fantasmée de la vie d’une personnalité fantasmatique, inspirée par la vie de son interprète, un certain David Jones, qui vécut jadis à Bromley et naquit à Brixton. »
Extrait de l'avant-propos de Neil Gaiman
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« À chaque étape, il ne considère rien comme requis, et sème les graines d’une future carrière florissante, tout en se gavant de culture pop américaine. »
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Vidéo de Mike Allred
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Top rééditions Aurélien :
Silver Surfer (Marvel Omnibus) de Dan Slott et Mike Allred Silver Surfer Parabole (Marvel Must-have) de Stan Lee et Moebius Collection anniversaire Avengers (Marvel Hors collection)
Top rééditions Emile :
Miracleman (Marvel Omnibus) du Scénariste Originel, Garry Leach et Alan Davis Génération X : L'intégrale 1994-1995 (Marvel Classic) de Scott Lobdell et Chris Bachalo X-Statix (Marvel Omnibus) de Peter Milligan et Mike Allred
Top nouveautés Aurélien :
Punisher (100% Marvel) de Jason Aaron, Jesus Saiz & Paul Azaceta Les Eternels + A.X.E Judgement Day (100% Marvel) de Kieron Gillen et... beaucoup de monde ! Made in Korea (Panini Graphic)
Top nouveautés Emile :
King Conan Colossal de Timothy Truman et Tomas Giorello Fantastic Four : Les Nouveaux Fantastiques (Marvel Epic Collection) de Walt Simonson, Tom DeFalco, Arthur Adams & Paul Ryan Fantastic Four (100% Marvel) de Dan Slott et... beaucoup de monde !
Tous nos remerciements à Emmanuel Peudon pour le montage et à ClemB pour le générique. Plus d'infos sur notre site internet : https://www.panini.fr/
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