Sélectionné pour pioche dans ma PAL du mois de janvier 2018.
Sean King, agent des Services Secrets accompagne un candidat à l'investiture présidentielle dans une petite ville qui signera la fin de sa carrière et la mort du politicien Ritter. Des années après, Michelle Maxwell, également agent des Services Secrets est chargée d'une mission similaire et voit son candidat, John Bruno, kidnappé, la mettant sur le banc de touche pendant l'enquête. Elle se plonge alors dans l'assassinat de Ritter et finit par aller voir King pour enquêter sur l'enlèvement de Bruno. Cela déclenche alors une série d'évènements impossibles à arrêter.
Ce livre est le premier de la série consacrée à King et Maxwell. le côté politique et le fonctionnement des Services Secrets m'a beaucoup intéressé. Je n'ai pas trouvé de temps mort dans l'écriture, dynamique et agréable à lire. Baldacci sait comment nous pousser à tourner les pages pour savoir la suite. D'ailleurs, je n'ai pas pu le poser avant de l'avoir terminé entièrement à 3h du matin... L'auteur enchaîne les fausses pistes et laisse une traînée de cadavres derrière King et je me suis laissée prendre au piège. Des derniers rebondissements ponctuent le livre jusqu'à la fin, dans ce jeu de piste avec des criminels qui jouent au chat et à la souris avec le duo et leurs alliés. Je le conseille fortement ! Il s'agissait de mon premier Baldacci et je pense lui donner une autre chance, soit avec la suite de cette série, soit pour un polar indépendant. Il se distingue agréablement des polars que j'ai l'habitude de lire avec des tueurs en série ou des agents du FBI qui enquêtent sur des meurtres lambda, j'ai vraiment apprécié l'éclairage politico-juridique donné à ce polar.
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Je ne l'ai pas lu et j'aimerais m'en procurer dans les brefs délais. J'adore les intrigues politiques surtout les rouages politiques américain. Les campagnes présidentielle puisqu'elles cristallisent beaucoup d'attention, peuvent susciter chez leur candidat objet de convoitise voir de complot aussi obsessionnel et cupide les uns des autres. Il est vrai les manoeuvres, les intrigues ou machination pour parvenir aux fins des marionnistes est un moteur dans les thriller politique. La question est toujours de ce dire qu'elles sont leurs motivations et quels enjeux ils poursuivent. La plupart veulent accéder au bureau oval peut importe les moyens, la façon d'y parvenir n'est pas très important, tandis que d'autre contrôlant des lobby ou des multinationale très puissante n'ont besoin k de pions dont ils financent les campagnes et qu'ils peuvent s'assurer l'assise politique que ceux-ci peuvent les obtenir pour faire prospérer leur affaires.
Dans ce livre, il est clair qu'il y'a un complot contre certains hommes de la classe politique, ceux qui aspirent à de très haute fonction dans l'échiquier politique américaine, mais pourquoi ? pourquoi s'en prendre à eux, quels sont les motivations et les enjeux poursuivis par les commanditaires? Qui sont ces ennemis invisible qui manoeuvrent dans l'ombre pour orchestrer ces intrigues? Je veux me procurer ce bouquin. J'ai hâte de le lire./..
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Deux personnages principaux sympathiques mais un roman qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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Ce qui plaît aux hommes, trésor, c’est un repas et une bonne bière à des heures régulières, surtout qu’on ne leur pose pas de questions sur ce qu’ils font de leur temps libre, un corps chaud pour la bagatelle quand ils en ont envie, et, après, dormir et surtout ne pas se fatiguer à faire la conversation.
L’Amérique avait beau aimer les « durs », elle ne votait pas pour des dirigeants qui ne manifestaient aucune compassion pour les miséreux et les laissés-pour-compte, car ces derniers pouvaient à tout moment constituer la majorité.
— Je viens d’avoir quarante-quatre ans.
— Ce n’est pas la fin du monde.
— Tu parles comme un homme. Pour une femme célibataire de cet âge, l’avenir n’est pas rose.
la politique est un terrain dangereux. Ses ramifications dépassent l'entendement humaine, tellement elle flirte avec les ténèbres.
Une bonne image sociale ne signifie pas grand-chose. Je n’aime pas trop les types sympas. Je trouve qu’ils manquent de virilité.
David Baldacci | 2017 National Book Festival