Utthitatrikonasana et parivrittatrikonasana peuvent s’aborder de deux grandes manières. Dans tous les cas, le contact des pieds avec le sol sera la première exploration à accomplir. Comme dans toutes les pauses debout, la sensibilité des pieds doit devenir essentielle. Les doigts s’allongent sur le sol, la voûte plantaire s’étale, amenant le lâcher prise du cou-de-pied, le talon glisse vers l’arrière, le poids des hanches est déposé, les cuisses glissent vers les genoux et un espace s’éveille dans la cheville. Le genou et les hanches libres seront la base pour aborder un bassin sans tension.
Le fractionnement du corps, symbole de celui de la pensée disparaît dans cette totalité où la notion même de corps n'est plus présente.