Texte labyrinthique. Ecriture torturée. Style aux multiples formes. Beaucoup de fautes techniques (avec des mots tronçonnés et même une phrase incomplète, en page 195, 1er paragraphe )... et une erreur (?) historique : le 20 août 1955 s'est déroulé à Skikda et non à Constantine.
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Le seul intérêt de ce live réside dans les éléments biographiques du peintre Marquet.
Sinon bof...Je n'ai absolument pas accroché.
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Que dire? raté quelques heures de ma vie à lire ça... Dommage!
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«L'homme est voué à la guerre... Il aime ça... Mais, on ne parle que des grandes : les deux guerres mondiales. On ne parle pas des guerres anticoloniales (Vietnam, Madagascar, Algérie), les guerres d'Irak, de Libye, et de Syrie aujourd'hui !» (p 29)
«Le visage humain est un palimpseste qui s'efface et se réécrit, éternellement, avec l'acuité et la lucidité de la conscience, impitoyablement, crue et cruelle que nous impose la réalité du monde où nous sommes en représentation» (p193)
«Quelle différence entre un cimetière musulman ou chrétien et un autre juif ? Tout cela se vaut : de la terre et des vers et des racines et du silence» (p 188
«Quelle différence entre un cimetière musulman ou chrétien et un autre juif ? Tout cela se vaut : de la terre et des vers et des racines et du silence» (p 188
Interview de l'auteur au moment de la sortie de son livre 'Printemps'