Nouvelles, enfin si l'on veut ; textes courts dirons nous, qui n'ont pas grand chose d'intéressant, enfin je parle pour les 2 premiers, je n'ai pas été plus loin ;-)
Le thème du premier est loin d'être original, un des personnages crée par son auteur se retourne contre celui-ci et lui parle. Long monologue...sans effet de surprise, et sans beauté poétique qui donnerait l'envie de le chanter (le texte).
Le deuxième, c'est sur l'impossibilité de compter, de noter, les instants où on a été "le plus" le plus heureux, le plus triste, la fois où on a touché la perfection en préparant son café...etc
Alors soyons clair : il écrit pas mal, hein, le olivier cadiot... ça m'a pas plu, c'est tout, je voulais pas d'un truc où il ne se passe rien, j'ai pris ce livre au mauvais moment!!!
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L’œuvre de Cadiot est d’une inventivité et d’une poésie folles.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Providence serait alors un livre de déflation, ou de downgrading, lo-fi, plein et agité de faibles intensités, voire de déperditions. Au bout du dernier «chapitre», le personnage a perdu le langage, il ne comprend plus rien et tant mieux.
Lire la critique sur le site : Liberation
Depuis près de trente ans qu'Olivier Cadiot s'exerce en littérature, passe situations et phrases au fouet de son imaginaire, navigue de théâtre en poésie, ses histoires, souvent hilarantes, n'ont, elles, rien de « provincial ». Ce sont des « folies », à l'image de ces pavillons sans véritable emploi que les aristocrates aimaient à faire bâtir dans leurs parcs, au xviiie siècle. Pas nécessaires ni essentielles, et vitales quand même.
Lire la critique sur le site : Telerama
Je flotte au loin dans ta mémoire. Et si tes neurones forment des archipels,
je suis logé dans un repli rocheux de l'un d'eux. Tu ne me retrouveras pas.
Lecture – entretien avec Olivier Cadiot. Modéré par Guénaël Boutouillet
38e édition Comédie du Livre - 10 jours en mai
Dimanche 14 mai 2023. 16h - Théâtre du Hangar