A ce jour, c'est le récit que j'apprécie le plus de Cailleaux après avoir essayé à la lecture
le Café du Voyageur et
le Troisième thé.
J'ai la réelle impression de lire comme une espèce de synthèse de ces deux dernières oeuvres. En effet, la première partie se passe à New-York avec presque le même personnage qu'on dirait un clone. La seconde partie nous entraîne sur les traces d'un trésor dans l'Afrique Noire.
Les personnages sont sympathiques. La lisibilité semble parfaite puisqu'on comprend toute l'histoire. On se laissera porter par le vent en espérant ne pas croiser le Harmattan au risque de se retrouver dans un asile ou pire encore...