En un mot, quelle boucherie ! cette lecture n'est pas conseillée à certaines de mes copines. Dès le début, je me suis dit, tu ne peux pas lire ça, mais j'ai été accrochée, je voulais savoir qui pouvait scénariser, des meurtres aussi horribles. Ou alors, tapie au fond de nous, une part très sombre se cache, et selon les circonstances, elle peut surgir, c'est un peu ce que
Marie Capron instille petit à petit avec
Priya : La fille du boucher.
Des cadavres dans un état épouvantable, sont retrouvés, le premier, un bébé, dont la baby-sitter a disparu, donc supposée coupable, deuxième point en sa défaveur, elle milite au sein d'une association, en faveur de la cause animale. le petit corps, ou ce qu'il en reste a été retrouvé dans une usine d'élevage de poussins.
La commissaire Priya ainsi que son lieutenant, Ziad, mettent tout en oeuvre pour essayer d'arrêter la tueuse présumée, mais un autre assassinat, vient tout chambouler. Ils ne sont plus surs de rien, un manque d'effectif et de moyens n'arrangent pas les choses.
Sur une lumineuse idée de leur patron, un écrivain à court d'idées, Marc Odel, va se joindre à eux, contre un chèque conséquent.
Un policier, très sombre, féroce, barbare.
Merci à Kirzy, pour cette découverte, malgré la noirceur, je lirais très certainement la suite, en plus l'auteure est une compatriote.