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Patrick Carr (Collaborateur)Emmanuel Dazin (Traducteur)
EAN : 9782859206130
356 pages
Le Castor Astral (25/11/2005)

Note moyenne : /5 (sur 0 notes)
Résumé :

Le chanteur raconte son parcours, ses premières années chez Sun, en compagnie d'Elvis Presley, de Carl Perkins, de Roy Orbison et de Jerry Lee Lewis, la gloire des années 1960-1970 puis la chute et enfin sa rencontre avec la scène alternative. Il évoque également, sur le plan personnel, sa dépendance aux amphétamines, sa violence, ses défaillances.
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
John Ray Cash, dit Johnny Cash (1932-2003)
Robert, dit "Bob" Wootton (1942-2017)
Tous deux nés dans l'Arkanzas et morts dans le Tennessee


La pomme ne tombe jamais loin du pommier

J'ai toujours pensé que John avait une dimension de christique américain contemporain. le grand regret de ma vie est de ne l'avoir point vu de son vivant. Je ne vois que des films de lui, il me manque d'avoir été dans l'ambiance de ce son country unique de Johnny Cash avec son trio magique le Tennessee three. Il y a comme un air frustrant, virtuel, dans ma démarche, au même titre que quand on revoit quelqu'un qu'on a aimé que par quelques photos qui nous restent de lui. La nostalgie s'empare de nous face à ça, mais j'examinerai cela plus loin en évoquant Bob Wootton ! Je ne suis pas Bob Wootton, on se remet finalement de ne pas avoir connu quelqu'un puisqu'on ne l'a pas connu !.. Autrement dit, je me demande s'il ne vaut mieux pas séduire que d'être séduit, la position de fan est très inconfortable finalement !..

Quand on ne sait ce qui porte notre engouement pour un auteur et pour ses oeuvres, c'est qu'on aime, point barre.

John christique : l'homme vêtu de noir, sa belle voix grave, ses tourments cruels -je pense notamment au sort de son jeune frère aîné au champ - qu'il a tout pris sur lui jusqu'à perdre haleine, sa haute lignée au sang de noble royal écossais, alors qu'on pensait qu'il avait une ascendance indienne, chose qu'il a laissée circuler en hommage à la cause. Ses tournées harassantes qu'il passe en chansons comme "Sunday morning coming down". L' accent qu'il met de toute son âme sur les prisonniers en disant qu'il aimerait savoir ce qui pousse un homme à tuer un autre homme. Folsom prison blues !

Ainsi, le tchiki tchika boum ve se révéler dans le monde entier et l'homme en noir sera le loup blanc de l'Amérique ! Les tournées étaient dures quand le dimanche, loin des siens, John se retrouvait dans un bled à récupérer de la veille de consommations pas très claires.
Then I walked across the street
And caught the sunday smell to someone's fryin' chicken
And lord, it took me back to somethin'
That l'd lost somewhere, somehow along the way ..

La maladie l'emporte dans les années 2000. Une page définitivement se tourne alors avec lui de la country music au son de Johnny Cash si insigne. Il avait arrêté sa carrière 3 ans plus tôt. Bob Wootton son premier Guitar légendaire pendant 30 ans est contraint de prendre un job de chauffeur de bus de tournées. Dans sa jeunesse, John fut son idole : il connaissait tout par coeur de lui, et un jour il a proposé ses services en assurant un remplacement après la mort de Luther Perking incendié dans sa propre maison. John l'embaucha parce que c'est le son de guitare qu'il voulait.

Bob fait désormais partie de la famille Cash, il a épousé une jeune soeur de June Carter la femme de John. Il va laisser ces tournées de bus qu'il a trop connues et reprendre sa guitare en formant un nouveau Tennessee three. Une voix grave juste placée plus le même son de guitare majeure qui resurgit après plus de trente ans de concerts et de télés et de gloire interrompus, reprenant tous les tubes de John. L'effet inoui comme un prodige, on peut parler de résurrection bien que Bob ne prenne pas le melon et le fait exclusivement pour la mémoire de John, va séduire évidemment tous les fans du grand disparu. Pendant trois ans, Bob va assurer une série de concerts, y compris à l'étranger. Je n'en saurai aucun car à l'époque, j'étais aux antipodes de ce qui me passionnait, j'avais affaire ailleurs !

Bob Wootton est mort en 2017, il est devenu fou !

Dans les films qui ont plus de 10 ans maintenant, les témoignages tv de Bob Wootton se rapportant à son maître, ses lives en concert sont très émouvants, bouleversants. Il raconte spontanément les épisodes qui ont marqué la vie de John, les grands moments qu'ils ont connus ensemble avec une franche humilité et un lien à la fois fraternel et déférent. Il était plus jeune de 10 ans, quel répit pouvait-il avoir après la mort de son idole et en même temps son musicien sinon jouer de la musique country comme du temps jadis puisqu'il en était partie prenante avec les riffs de sa guitare majeure et magique inspirés de la bonne école de Luther Perking des années nineteen fifty-five. Je pense qu'il n'y aura plus de témoin aussi capital de l'ère du grand John, sinon peut-être Marty Stuart qui était plus jeune encore et qui continue de porter le flambeau grâce à Dieu.

(Je précise que mon intervention n'est pas extraite du livre mais juste ma modeste version qui doit être je pense corroborée par le livre que j'ai du mal à me procurer d'ailleurs)
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Il faut savoir (ou pas d'ailleurs, mais je vous le dis) que Johnny Cash est littéralement un des chanteurs que j'aime le plus au monde. Sa vie me fascine, ses chansons aussi, son amour avec June Carter... Tout. J'admire tout simplement cet homme. Je me devais donc de lire son autobiographie !

Cette lecture fut pour moi assez inégale. Dans l'ensemble j'ai vraiment aimé. J'ai adoré certains passages où Cash nous raconte, avec simplicité et honnêteté, ses déboires avec la drogue, son rapport avec la religion, ses mésententes avec ses producteurs... le chanteur se dévoile réellement, sans une once de prétention et sans jamais oublier ses racines. J'aime beaucoup les valeurs qu'il transmet, celles de liens affectifs forts avec ses amis, sa famille et sa femme. C'est là pour lui l'essentiel.

Cependant certains autres passages sont vraiment longs et assez descriptifs. Il nous parle souvent pendant plusieurs pages de personnes dont on ne sait rien (ou dont je ne savais rien, en tout cas). Par exemple, il va nommer tous les différents musiciens qui ont joué avec lui, ou alors s'attarder sur chacun des membres de sa famille. On sent chez lui une vraie envie de rendre hommage à ces personnes qui l'ont porté tout au long de sa vie, et c'est bien louable. Cependant,pour moi qui ai une connaissance assez superficielle de la musique c'est parfois un peu pénible de lire pendant des pages et des pages pourquoi X ou Y était un guitariste formidable. Mais j'imagine que pour les connaisseurs, cela peut être très intéressant.

Malgré tout, je ne regrette absolument pas ma lecture qui m'a permis de mieux comprendre et connaître cet immense chanteur qu'est Johnny Cash.
Lien : http://lantredemesreves.blog..
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J'ai découvert Johnny Cash grâce à mon père qui était un mélomane de la musique américaine des années 40 à 60.
Johnny Cash est mort il y a 20 ans quelques mois seulement après le décès de sa seconde femme June. C'est une autobiographie plutôt complète car Johnny Cash revient sur son enfance et la perte de son frère aîné, sur sa famille élargie, sa première femme Vivian puis sa seconde femme June, son âme soeur. Il retrace son parcours professionnel auprès de grands noms de la musique traditionnelle américaine, le gospel, la country. Il évoque ses rencontres, les artistes qui l'ont accompagnés tout au long de sa carrière, les techniciens, ceux qu'il a croisé. Il raconte son addiction aux amphétamines, à l'alcool jusqu'à perdre le contrôle, sa violence destructrice, les effets sur son entourage, ses amis. Cela lui coûtera son premier mariage. Il s'exprime sur son rapport à l'argent. Il relate enfin son amour pour Dieu. Johnny Cash est un homme complexe. Il n'est pas épargné par des expériences extrêmes. le succès est dangereux lorsqu'il n'est pas contenu. C'est un mode de vie plutôt nomade avec les concerts, festivals, tournées. Les créatifs, comme tout artiste, sont des êtres absolus. Johnny Cash, au fil des années et de ses expériences s'est assagi. Ses problèmes de santé, ses accidents de voiture l'y ont un peu forcé. Mais aussi sa foi car Johnny Cash est très croyant. Il a étudié la bible et a même obtenu un diplôme de théologie.
Johnny Cash est une icone aux Etats-Unis. Il était toujours vêtu de noir, une sorte de marque de fabrique. Il a eu aussi sa propre émission de télévision.
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Une autobiographie émouvante, même si pas toujours très honnête, qui nous emmène dans presque un siècle de musique.
Notre guide, le grand Johnny Cash en personne, nous raconte sa vie comme on raconte une histoire devant la cheminée. Se mettant peut-être un trop souvent en valeur, la vie mouvementée de Cash est tout de même touchante, en grande partie à cause de son amour inconditionnel pour June Carter, et pour sa descente, puis sa remontée, des enfers.
Les fans de Cash se doivent de le posséder, tout comme les amateurs de musique country et de rock, mais ce livre vaut surtout comme porte d'entrée pour tout ceux qui découvrent ou veulent découvrir l'Homme en noir.
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J'avais fait une bio libre de Johnny Cash que j'admire et puis tout s'est volatilisé. Il est difficile de se remettre au travail après ça, exit tous les bons mots que j'avais trouvés. Pour l'instant c'est mort et ça m'a coupé la chique !
Rien d'autre à dire.

§$§ Folsom prison blues §$§

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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
... j'ai parlé à Carl (Perkins) de C.V. White et de ses blue suede shoes. C.V. White était un soldat de l'armée de l'air, un Noir originaire de Virginie, que j'avais connu à Landsberg (il nous avait raconté que ses initiales signifiaient "Champagne Velvet", mais nous n'avions jamais su la vérité). Une fois, il avait dit une phrase qui m'avait beaucoup frappé. Quand on partait trois jours en permission, on sortait nos plus beaux uniformes, avec les boutons bien astiqués, et les chaussures que l'on avait briquées en crachant dessus.
Généralement, C.V. s'amenait et il me faisait :
- Alors, mon vieux, je ressemble à quoi ?
- A 1 million de dollars, lui disais-je - ce qui était vrai. T'as fière allure, C.V. T'est vraiment superbe.
Un soir, il m'a carrément dit de faire attention :
- Hé, marche pas sur mes pompes de daim bleu !
- C'est pas du daim bleu, C.V. Elles sont noires, comme celle de tout le monde dans l'armée de l'air;
- Nan, mec. Ce soir elles sont en daim bleu. Marche pas dessus !

J'ai raconté cette histoire à Carl, lui disant qu'à mon avis, il y avait de quoi faire une chanson. Il s'en est emparé, et il a foncé. Il ne l'a pas enregistré comme je l'avais imaginé. Mon idée était d'adapter la mélodie d'une berceuse... Mais je dois dire que la version de Carl a joliment bien fonctionné. (Page 107-108)
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.. Je suis à table avec toi et tous mes ennemis
Je suis affamé et je suis seul comme un vieux corbeau en lambeaux
Ils pointent du doigt et ils regardent comme un spectable parallèle itinérant
Je porte ce sourire comme un masque d'imbéciles d' or
Bien que je marche seul à travers la vallée du fusil
Je ne crains aucun mal, je ne crains personne
Je veux laisser mon ancien moi derrière moi
Réchauffe-toi du feu qui brûle dans notre ciel
Le froid me couvre comme une couverture de neige
Seigneur aie pitié, montre-moi où aller ..

I am sitting at the table with you and all may foes
I am hungry and I'm lonely as a ragged and scare crow
They point and they stare like a travelling side show
I am wearing this smile like a mask of fools gold
Though I walk alone through the valley of the gun ..

Valley of the gun (Johnny Cash)
Il faut écouter cette voix + guitare sur youtube, c'est une merveille !..
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Johnny Cash un mélange de croyance en Dieu et aux hommes, et d'une tristesse fatale sur la limite des hommes et le sort des pauvres gens et des malchanceux sur terre qui revient souvent dans ses chansons et qui le fait se parer de noir. Si on ne veut pas trop se casser la tête, on va dire des contradictions de l'artiste, une sorte d'inclassable dès lors que cette grâce qui l'habite a des accents de génie. A qui croit-on que l'artiste s'adresse quand il double l'entame de ses chansons de complainte parlée, de sa sublime voix grave, qui le rend si sincère ; certains y verront qu'il puise dans un registre scénique pour lancer habilement ses chansons, moi j'y vois à ne pas douter un trop lourd à porter de ce monde qui ne fait pas que des cadeaux, il est bien placé pour le savoir, non pas qu'il ait envie de s'en délester mais pour bien qu'on le comprenne ; quand il fixe sa voix ainsi, il est clair qu'il craint ne pas tout dire dans ses chansons, il a toutes les raisons de se méfier de passer pour un incompris ou de ne point assez en dire, car il ne semble pas qu' ici-bas on s'inspire beaucoup des messages d'humanité qui sont plutôt teintés d'espoirs déçus, car l'artiste est tout simplement d'inspiration divine.

Sunday morning coming down

Well, I woke up Sunday morning
With no way to hold my head that didn't hurt
And the beer il had for breakfast wasn't bad
So I had one more for dessert
Then I fumbled in my closet through my clothes
And found my cleanest dirty shirt
Then I washed my face and combed my hair
And stumbled down the stairs to meet the day
I'd smoked my mind the nignt before
With cigarettes and songs I'd been picking
....................

Unforgetable !
Johnny Cash Live at beat club 1972
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Le son Johnny Cash, Big River 1958 : impérissable. Il y a tout là-dedans !

L'Homme en noir est connu aux States comme le loup blanc (toujours vêtu de noir, il faut remonter dans les années 50-60 pour le voir dépareillé avec veste claire), est né en 1932 dans l'Arkansas, en pleine Grande Dépression, les années Filzgerald, Steinbeck, génération perdue. Sa vie d'enfant pauvre, pauvre comme la Grande Dépression s'entend, travaillant dans les champs de coton, obligé par ses parents ..Les chants religieux, country lui donnent une oreille musicale..

Bon je vais me mettre en mode lyrique à la Henri Miller et obliquer avec le conformisme des bios.. le temps de changer de disque .. Déjà que ma première tentative avait échoué !

Ce christique de l'Ouest qui est allé vers les indiens, les prisonniers pour qui la vie s'est arrêtée un jour sur la connerie de leur vie qu'il ne fallait pas faire : sa vie évoque pour moi drames et souffrances, un père dur, voire maltraitant, la perte atroce de son frère aîné de deux ans dans des circonstances on ne peut plus tragiques à vous broyer le coeur pour l'éternité dans une colère sourde et qu'on aurait peine à décrire, d'une tristesse à faire verser de grosses larmes sans retenue- "je vois parfois mon frère en rêve" dira-t-il durant sa vie ; les tournées galère qui deviennent vite insupportables, qui vous éloignent chaque jour de votre bonheur auquel vous avez droit comme tout homme : le revers de la médaille ; avec ce cynisme quand on pense de vous que vous êtes adulé par la terre entière et donc que vous n'ayez aucune raison de vous plaindre. Oh d'ailleurs, il ne s'en plaindra pas, car c'était quelqu'un de bien notre ami "l'Homme en noir", un grand américain, fier et vivant son époque à pleines dents, d'une lignée d'écossais royaux, salué par les nombreux Présidents US qui se sont succédés ! Sa vie évoque pour moi aussi la perte de son guitariste incomparable Luther Perkins, créateur du style "boom-chicka-boom", qui a péri dans l'incendie de sa maison causé par sa propre cigarette sur laquelle il s'est endormi, alors qu'ils étaient au faîte de leur gloire, oui fauché en pleine gloire .. Je ne saurais ne pas faire faire mention de sa femme June Carter, grande spécialiste musique country, qui arriva dans sa vie alors qu'il était dans un drôle d'état, elle va le sauver, il vivront ensemble pendant plus de trente ans, auront un fils. Johnny verra partir son heureuse élue, il ne lui survivra que quatre mois ..

Oui il a tout pris sur lui et qui d'autre a mieux exprimé sa souffrance de vivre que lui par la chanson, sa guitare, tourné vers les autres . Quand on sait que l'artiste vous livre la meilleure part de soi, mais aussi celle non dite qu'on n'arrive pas à exprimer qui est peut-être plus importante encore ..

Le ton grave et mélodieux de sa voix vous prend aux tripes, ce son rock, introuvable, "douce violence", rebelle, qu'il aimait tant !..
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J'ai entendu dire qu'en fin de siècle nous avons chacun notre Elvis, et c'est une idée dont je peux apprécier la pertinence, même si mon Elvis à moi était un ami, un être de chair et de sang. Quoi qu'il en soit, cependant, mon Elvis, est celui des années 1950. A l'époque où l'on se côtoyait Chez Sun, il n'était encore qu'un gosse. Il avait 19 ans, et il aimait les cheeseburgers, les filles et sa mère, pas nécessairement dans cet ordre, d'ailleurs (c'était plutôt d'abord sa mère, ensuite les filles et, enfin, les cheeseburgers). Personnellement, j'aime les cheeseburgers, et je n'avais rien contre sa mère, mais le truc, pour moi, c'était les filles. Elles étaient si nombreuses à courir après Elvis, qu'il en restait toujours plein. On s'amusait énormément. On s'amusait énormément en général, pas seulement avec les filles. C'était vraiment agréable de pouvoir vivre de ça, mais on l'aurait tous fait pour rien. Et, vous savez, Elvis était tellement bon. Chaque fois qu'on avait l'occasion de partager l'affiche avec lui, on ne manquait pas de se tenir en coulisses, sur les côtés de la scène, pour le regarder. On le faisait tous, sans exception. Son charisme était à ce point.
(Page 106)
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Vidéo de Johnny Cash
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