Il ne faut pas dénaturer l'homme dans une nature soumise à nos techniques, l'héberger dans d'étouffantes résidences, réaménager ses propres désirs afin qu'il ne cède plus jamais à ses étonnements comme à ses échappées. (...) que soit contrariée la logique d'une construction dont les mobiles bien que raisonnables peuvent fixer dans une subordination peu à peu intolérable des générations à venir.
Il ne faut pas dénaturer l'homme dans une nature soumise à nos techniques, l'héberger dans d'étouffantes résidences, réaménager ses propres désirs afin qu'il ne cède plus jamais à ses étonnements comme à ses échappées
Mais pourquoi, en dehors bien sûr de toute provocation, ne pouvons nous pas espérer un "gaspillage" bienfaisant de notre espace, une liberté dans nos engagements
la logique d'une construction dont les mobiles bien que raisonnables peuvent fixer dans une subordinnation peu à peu intolérable des générations à venir
alors on oubli de se faire une vie inoubliable
Jean Frémon de quelques rencontres (Paul Otchakovsky-Laurens, Pierre Morhange, Jacques Dupin, etc.) - : où Jean Frémon, -à l'occasion de la parution de son livre " le Miroir magique"-, se souvient notamment de sa rencontre avec Paul Otchakovsky-Laurens et de ses deux mères, de la revue Strophes et de Pierre Morhange, de Bernard Noël et de Jean Cayrol, de Jacques Dupin et d'Aimé Maeght, de Samuel Beckett et de Maurice Blanchot et où il est question d'édition, de poésie et de prose.