Depuis ta paralysie et ton silence, je te sens libéré de ce malaise, de ce vieux chien noir qui t'apportait le spleen autrefois, un luxe inutile, minuscule. A cause de toi je m'efforce de m'interdire ce qui est minuscule. En rentrant de chez Leonor, je feuillette mes agendas : rien qui vaille, des dates. Toi, tu veux que je raconte ce qui s'est passé depuis ce matin de juillet où Mina a annoncé la Fin du Monde.
Nous l'aimons à deux, elle morte, nous l'aimons ... >Voir plus
Rentrée Littéraire 2009 : le choix d'Alexandre Fillon Livres Hebdo présente la Rentrée littéraire 2009. Alexandre Fillon a aimé Trois femmes puissantes de Marie NDiaye et le rêve entouré d'eau de Bernard Chapuis