Dès la première année de la Grande Guerre, l’idée se répand chez les Français qu’une odeur nauséabonde accompagne l’ennemi. Présente dans le sillage des troupes, elle imprégnerait les lieux occupés par les Allemands bien au-delà des déjections par lesquelles ils semblent marquer leur présence. Pour certains, elle infesterait même leurs cadavres. Aberrante au pr... >Voir plus