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Dirk Pitt tome 17 sur 25
EAN : 9782253113942
508 pages
Le Livre de Poche (03/04/2006)
3.52/5   82 notes
Résumé :
Au large des Caraïbes, une étrange boue rouge s'étale au fond de l'océan, décimant la faune et la flore. Dans un laboratoire sous-marin, la fille et le fils de Dirk Pitt, Summer et Dirk Jr, étudient ce phénomène inquiétant. Au cours d'une exploration, Summer tombe sur un objet insolite : un authentique vase celte, remontant à quelque 3000 ans. En poursuivant leurs recherches dans les profondeurs marines, les deux jeunes gens découvrent ce qui semble être un palais c... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Odyssée de Clive Cussler est un bon roman d'aventure traçant les péripéties souvent sous-marines de chercheurs de trésors, s'ils n'étaient pas les héros je pourrais les qualifier de "pilleurs d'épaves", mais enfin comme ils vont sauver le monde et qu'ils défendent l'environnement, je passe l'éponge (et dans l'eau ce n'est pas facile^^).

Où vont-ils m'emmener ces membres de la NUMA ? Eh bien un peu partout, sur l'eau, sous l'eau, dans les airs et évidemment sur terre, mais aussi sous terre et cela est beaucoup plus inattendu. Il faut l'avouer. Pas un thriller, de l'aventure où l'on sait de suite qui sont les bons et qui sont les mauvais. Et il n'y a pas de doute les bons viendront à bout des méchants malgré toutes leurs ruses et noirs desseins, il sera mis fin du moins temporairement à leurs sinistres agissements.

Alors Ulysse et son voyage dans cette histoire voici probablement le plus intéressant. Une hypothèse audacieuse sur cette grande épopée.
"- Les Egyptiens, les Grecs et les Romains, expliquait Boyd, ont monopolisé l'intérêt de la plupart des historiens et ce au détriment des Celtes qui, pourtant, avaient constitué le pivot de la civilisation occidentale. La majeur partie de nos traditions - religieuses, politiques, sociales et littéraires - est issue de la culture celte. L'industrie également, puisqu'ils ont été les premiers à produire du bronze puis du fer." p.262

Lecture facile et très agréable pour passer le temps
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Lectrice assidue des aventures de Dirk Pitt que mon mari m'avait fait découvrir, j'en avais lu une bonne partie. Une petite pause dans les lectures de Cussler pour partie vers d'autres voyages littéraires s'est transformé en arrêt complet. Jusqu'à ce que je tombe sur ce livre chez Emmaüs, dont le résumé ne me disait rien et qui parlait du jeune Dirk Pitt et de sa soeur.
Et j'ai plongé. Plongé dans cette aventure qui rassemble la famille Pitt, ses amis et quelques connaissances. L'histoire est assez classique, des méchants et la NUMA qui gère le problème. Et ça se lit tranquillement sans prise de tête.
Vous avez l'impression de vivre les aventures d'un Indiana Jones ou d'une Lara Croft. On est dépaysé, on suit les aventures successives, on voyage dans le temps...
Je me demande si je ne vais pas me refaire la série 😁
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2006, au large des Caraïbes, une étrange marée brune infestant l'océan s'étale au fond de l'océan, decimant la faune et la flore.
Une nouvelle aventure du clan Pitt, qui se trouve aux prises avec un gigantesque ouragan rabattant sur les côtes une pollution venue du Nicaragua. L'origine de ces bouleversements semble être un projet de tunnel reliant l'Atlantique au Pacifique, susceptible de modifier pour toujours le monde connu.
Dans un laboratoire sous-marin, les enfants de Dick Pitt, défenseur charismatique du monde océanique, étudient ce phénomène inquiétant. Au cours d'une exploration, Summer sa fille met au jour un objet insolite, un authentique vase celte de 3000 ans. Confrontés à une double énigme, les deux chercheurs doivent déterminer l'origine de la pollution qui tue peu à peu la barrière de corail et expliquer la présence au large des Caraïbes d'un un artefact Celtes.
Comme souvent dans les bouquins de Clive Clussler on retrouve une double intrigue. Ici il associe une enquête archéologique à la traque d'un ennemi sans scrupules tout en faisant face à une tempête furieuse.
Agréable à lire comme un roman d'aventure, ce titre n'est toutefois pas dépourvu d'un certain manichéisme.
La folie des hommes face à la furie de la nature. Pour renouveler la trame du récit, notre auteur n'hésite pas à l'user de procéder un peu énorme. Comme ici par exemple, inventer deux enfants à son héros récurrent. Mais ne boudant pas notre plaisir, cette lecture nous emporte malgré tout.

Lien : https://collectifpolar.com
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Une histoire passionante pleine de rebondissements, le seul problème c'est de lacher ce livre ... a lire le plus rapidement possible, sans réveiller Giordino bien sur !
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J'ai dû lire je pense à peu près tous les livres de Clive Cussler avec Dirk Pitt en héros, et chacun a été un très bon divertissement. Ne pas chercher de la grande littérature ici, mais on est certain de passer un bon moment à chaque fois, avec des rebondissements inattendus, et souvent dans des contrées méconnues.
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
- Puis-je vous aider ? s'informa Pitt.
- Oui, je vous ai contacté il y a quelque temps parce que je souhaitais admirer votre collection de voitures. Nous étions voisins à une exposition il y a quelques années.
- Bien sûr, j'exposais la Stutz et vous une Hispano Suiza.
- Exactement. (L'homme regarda derrière Pitt la foule des invités.) On dirait que j'ai mal choisi mon jour.
- Mais non, protesta Pitt. Aujourd'hui je me marie. Soyez le bienvenu.
- C'est très aimable à vous.
- Pardonnez-moi, j'ai oublié votre nom.
Le vieil homme le regarda en souriant.
- Cussler, Clive Cussler.
Pitt regarda un long moment Cussler d'un air pensif.
- C'est drôle, murmura-t-il, j'ai l'impression de vous connaître depuis longtemps.
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Ils étaient passés maîtres dans le maniement de la lance, leur arme préférée ; s’ils la brisaient ou la perdaient ils se rabattaient alors sur leur courte épée. Les combattants de l’âge du bronze faisaient rarement usage de l’arc et de la flèche qu’ils considéraient comme une arme de lâche. Ils se battaient derrière de grands boucliers – ronds ou quelquefois ovales – constitués par six à huit peaux de vache superposées et cousues par des lanières de cuir à un cadre d’osier aux bords renforcés de bronze.

Fait curieux, les Grecs, contrairement aux guerriers des autres cultures, n’avaient pas constitué d’unités de cavalerie et n’utilisaient pas non plus de chars ; les chariots leur servaient principalement à acheminer hommes et matériel jusqu’aux champs de bataille. Les Grecs, de même que les Troyens, préféraient combattre à pied. Ils ne cherchaient pas à conquérir un territoire ou à se livrer au pillage ; ils voulaient s’assurer la possession d’un métal presque aussi précieux que l’or.
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La belle Cassandre se réfugia à l’intérieur du temple, persuadée que, protégée par les gardes, elle ne risquerait rien. Mais il en fallait bien plus pour arrêter le guerrier Ajax. Il viola Cassandre aux pieds de la statue votive du temple. Plus tard, hanté par le remords, il se donna la mort en se jetant sur son épée.

Les guerriers troyens, quittant leur lit d’un pas mal assuré, l’esprit encore embrouillé par les vapeurs du vin, n’opposèrent qu’une faible résistance : leurs ennemis assoiffés de vengeance les massacrèrent sur place ; la plupart n’eurent le temps ni de voir leur maison incendiée, leur famille entraînée par les vainqueurs, ni d’entendre les hurlements des femmes, les pleurs des enfants, les plaintes des chiens de la ville. Le sang coulait dans les rues.
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— Peu après mon départ d’Ilion, commença-t-il, se sont levés des vents contraires ; ma flotte a dérivé une dizaine de jours loin au large, dans des eaux agitées. Nous accostâmes enfin sur une terre inconnue dont les habitants – nous les baptisâmes Lotophages à cause du fruit d’un arbre inconnu qu’ils croquaient et qui les maintenait dans un état d’euphorie constante – nous traitèrent mes hommes et moi, fort amicalement. Quelques-uns de mes compagnons se mirent à consommer le fruit du lotus ; ils sombrèrent rapidement dans la léthargie et perdirent toute envie de rentrer chez eux. Comprenant que le voyage de retour risquait de s’achever là, j’ordonnai qu’on les traînât à bord des navires. Nous hissâmes immédiatement les voiles et prîmes le large.
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Ainsi chacun exultait-il, le vin courant dans ses veines, le prince en son palais, le riche dans sa vaste demeure ou le pauvre dans son taudis tapi au pied des murailles pour échapper au vent et à la pluie ; mais tous festoyaient, buvant et dévorant les précieuses provisions amassées au cours du siège. Vers minuit, les débordements s’apaisèrent et les sujets du vieux roi Priam, l’esprit embrumé par l’alcool, sombrèrent dans un profond sommeil, sous les auspices de la paix pour la première fois depuis que les Grecs exécrés avaient commencé le siège de leur ville.

Ils étaient nombreux à vouloir laisser la grande porte ouverte comme symbole de victoire, mais la sagesse l’emporta et on referma les lourds battants.
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