Franchement j'ai absolument pas accroché a ce livre les nouvelles sont sans histoire il n'y a pas de fil conducteur. Je me suis ennuyer
Commenter  J’apprécie         00
Les rues portaient toujours les stigmates des combats des jours précédents. Des bâches, des morceaux de tôle ondulée, des feuilles de contreplaqué occultaient les devantures détruites; des ouvriers de la voirie débitaient à la scie les platanes, les ormes, les palmiers que les hordes d'insurgés avaient abattus sur la chaussée pour interdire le passage des blindés légers.
Dans le 170e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le parcours de Missak Manouchian, récemment entré au Panthéon, à travers deux bandes dessinées sorties récemment chez Les Arènes BD et Dupuis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Copenhague que l’on doit au duo Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Rijsberg, publié aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Le champ des possibles que l’on doit au scénario de Véro Cazot, au dessin d’Anaïs Bernabé et c’est édité chez Dupuis
- La sortie de l’album L’homme miroir que l’on doit à Simon Lamouret et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album The Velvet underground, dans l’effervescence de la Warhol factory que l’on doit à Koren Shadmi et aux éditions La boite à bulles
- La sortie de l’album Sept vies à vivre que l’on doit à Charles Masson et aux éditions Delcourt dans la collection Mirages
- La réédition de l’album Mauvaises herbes que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
+ Lire la suite