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sur 6166 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je me suis laissé prendre par l'histoire de cette horde d'aventuriers qui tente de remonter les vents parfois extrêmement violents qui balaient leur planète d'est en ouest pour en déterminer l'origine. Je me suis laissé prendre… et pourtant, j'ai trouvé l'écriture d'Alain Damasio chargée de superlatifs et d'accents dramatiques qui nuisent à la crédibilité et au rythme de son récit. En outre, comme dans Les furtifs (que j'avais lu à sa sortie), la science et la technologie sont discréditées au bénéfice d'un savoir qui trouve son origine dans un rapport magique à la nature. Se dessine alors une société constituée d'une majorité d'individus ignorants, d'une oligarchie qui assoit son pouvoir sur la maîtrise de la science et de la technologie et, enfin, d'une petite élite qui, ayant réussi à déchiffrer les énigmes du monde, serait en mesure de le gouverner de manière éclairée. Est-ce l'analyse que Damasio fait du monde dans lequel on vit ?
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Le style d'écriture de Damasio est très poétique et lyrique, avec des descriptions très détaillées de l'environnement et des personnages. Il utilise souvent des jeux de mots et des néologismes pour créer un vocabulaire unique pour son univers de science-fiction. Il est également connu pour ses longues phrases qui s'étirent sur plusieurs pages et qui demandent une certaine attention et une immersion profonde dans l'univers du livre.

En ce qui concerne les personnages, chaque membre de la Horde a une personnalité très différente et un rôle bien défini dans le groupe. Leurs interactions sont souvent complexes et leur relation évolue tout au long de leur voyage, ce qui rend leur évolution très intéressante à suivre.

Le livre explore également des théories sur le vent et la façon dont il influence l'environnement et la vie des personnages. le vent est présenté comme un élément puissant et mystérieux, qui a une influence sur les émotions et les actions des personnages. Cela ajoute une dimension poétique et philosophique au livre, qui invite le lecteur à réfléchir sur le monde qui les entoure.

En résumé, "La Horde du Contrevent" est un livre qui invite à la réflexion et à l'immersion profonde dans un univers de science-fiction unique. le style d'écriture poétique et lyrique d'Alain Damasio, les personnages complexes et les théories sur le vent en font un livre captivant et enrichissant.

Un livre assez déroutant. Difficile de s'y immerger en fait. Il faut une certaine volonté pour arriver au bout. Je l'ai terminé par curiosité, espérant à nouvelle page, obtenir des explications qui ne viennent finalement pas. On reste dans l'expectative sur bien des choses et il reste à la fin de l'ouvrage bien des mystères non résolus.
Ce livre invite donc à réfléchir, et il faut comprendre que finalement, c'est le voyage qui importe et pas tant l'arrivée.
J'ai aimé ce livre autant que je l'ai détesté. Un ovni.
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Le talent excuse-t-il tout?
Damasio sait écrire et il en joue, quitte à surjouer. Je sors en effet de cette lecture partagée.

Il y a d'un côté cette magnifique proposition, une expédition pour remonter aux origines du vent, une riche brochette de personnages confrontés à un environnement hostile, une épreuve dantesque, des descriptions poétiques, un "world building" impressionnant de maîtrise.

De l'autre côté, on trouve une ribambelle de références philosophique, comme un étalage de savoir ; des formulations léchées jusqu'à l'exagération, comme une auto-célébration de l'auteur qui m'a un peu mise mal à l'aise. J'ai trouvé ça souvent boursouflé et clairement prétentieux.

Bref, une impression plus que mitigée : une histoire forte, gâchée par le maniérisme d'un style trop ouvertement élitiste.
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J'ai tellement trainé à lire la Horde! Trop d'avis contraires autour de moi, complètement opposés! Hier, je l'ai terminé (enfin) malheureusement en diagonale, parce qu'il fallait quand même que j'arrive au bout. Je ne dirais pas que je n'ai pas aimé, parce que j'ai beaucoup apprécié la farandole de narrateurs, avec leurs manières de s'exprimer reflétant leur personnalité, et aussi leur complicité. Par contre, cela m'a paru terriblement long, et la fin décevante.
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Certes, il faut entrer dans cet univers une une horde doit parcourir pendant toute l'espace d'une vie un point géographique éloigné pour lutter contre le vent. Je n'y suis pas parvenu malgré mes efforts de concentration.

Certes, il y aura bien une ou deux péripéties mais cela reste assez morne. L'intérêt se situe dans ce paysage apocalyptique victime des souffles du vent. En effet, ce dernier est presque un personnage à part entière avec sa capacité à devenir mortel pour les humains.

Il y a également la thématique du groupe ou de la horde où l'on se débarrasse des plus faibles pour toujours avancer vers l'inconnu. Je n'adhère guère à ces valeurs de la loi du plus fort et du plus chanceux. Pour le reste, je reconnais que l'imaginaire est bien présent et que cela peut plaire au public.
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Ce livre est largement salué sur le site, ma déception fut donc à l'aune de mes attentes et si je suis allé au bout, ce fut entre douleur et ennui.
Sur quelques pages, l'exercice m'aurait amusé, délayées sur plus de 700 ces variations sur le vent ont fini par m'asphyxier.

J'ai bien évidemment admiré la virtuosité de l'auteur... tout en la déplorant stérile.
Car au bout du bout, à quoi aboutit-on?
Hormis ce foisonnement lexical autour du vent, que reste-t-il?
Une sorte de quête philosophique très proche de ce que Robert Silverberg avait parfaitement illustré avec son "Les Royaumes du mur" de façon un rien plus concise et beaucoup moins absconse.

Souffler n'est pas jouer.



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Un peu surévalué, j'ai vu venir la fin dès la moitié du livre. L'idée d'un univers fondé sur les vents est tirée d'Anaximandre. Pour le style, l'auteur tente d'adapter son style pour chaque personnage (il y a des narrateurs multiples), mais certains sont un peu ridicules, car le trait principal du personnage est trop accentué, presque caricatural.
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2021, l'année où je retrouve du temps pour lire, affamée des contrées décalées, ou si peu,toujours dépaysantes, oniriques ou absurdes, parfois loufoques, souvent clairvoyantes sur notre société, et d'autant plus percutantes, des littératures de l'imaginaire, s'il faut les classer dans un genre...Je découvre Babelio et Damasio, file à la médiathèque sans me souvenir d'un titre en particuliers; me retrouve main droite "les furtifs", main gauche "La horde du contrevent" (ou inversement!: les furtifs penchent plutôt main gauche à vrai dire!!). La couverture orange des éditions la Volte, le format, le confort de l'objet m'attire davantage que le petit folio bien corné couverture et premières pages et pour cause s'y loge l'index des personnages, de la horde. Je fais une expérience de lecture qui classe ce livre dans mon top 3 (sur pas énormément :p) de mes lectures depuis mars 2021.  Bien m'en a pris, en ce qui me concerne, de découvrir cet auteur en commençant par Les furtifs.
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Sans doute par rapport à cette belle découverte, je contre, avant tout, l'envie d'abandonner ma lecture de la horde du contrevent pendant une bonne première moitié de livre, soit 350 pages tout de même. Et puis il est très rare que j'abandonne un livre, on en retire toujours quelque chose, alors qu'un livre abandonné c'est du temps perdu! Et puis, j'avais envie d'apporter mon retour argumenté ici, même en demie-teinte.
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  J'ai cessé de contrer, à partir de la deuxième moitié du livre, emportée par un souffle épique, dans un univers grandiose. Ma lecture fastidieuse et chaotique a pris de la fluidité et du plaisir. Je me suis sentie davantage portée par la première phrase du livre, si forte et poétique:   "A l'origine fut la vitesse, le pur mouvement furtif, le "vent-foudre". Puis le cosmos décèlera, prit consistance et forme, jusqu'aux lenteurs habitables, jusqu'au vivant, jusqu'à vous."..."Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents".
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  La première partie du livre m'a semblé une succession de péripéties que mon imaginaire avait quelque mal à illustrer, et qui laissaient froids mes affects; j'ai eu vraiment du mal à m'attacher à cette quête et à ses protagonistes. Un fréole devait s'être posé sur mon épaule et me chuchoter à quel point tout cela semblait absurde et buté, pourquoi ne pas s'abriter même un peu, qui est ce tordu de Golgoth? Lassée de ce vent omniprésent entrecoupé de scènes avec des ennemis encore plus puissants qui s'en prenaient à cette pauvre Horde, mais pourquoi? Oui, pourquoi sont-ils aussi méchants? Ennemis et combats dignes de ceux de Dragon Ball et Satan Petit-Coeur (avec des majuscules bien entendu, toute ma prime jeunesse:-) ), à chaque fois annoncés dantesques (Silène, le corroyeur) et qui l'étaient en effet...Sauf qu'à ce jour les rouages de tant de hargne à contrer les contreurs restent flous, et moi je ne suis pas touchée par un spectaculaire de surface. Pause oniriques et bienvenues avec les descriptions de majestueux et mystérieux chrones, et avec le vaisseau fréole. Mais je trouve très longue la présentation de la Horde par Caracole à ce moment-là, je trouve des longueurs à de nombreux moments à vrai dire. Je suis finalement soulagée de quitter ce vaisseau, où là encore les enjeux entre les personnages sont, et resteront flous. Et je pars patauger dans une sacrée flaque, venteuse et morne à souhait, avec de très très gros dangers...J'ai jeté un oeil à la BD, plutôt curieuse, car , -est-ce moi qui lisais en diagonale? ou est-ce les descriptions qui manquent de précision?-  j'ai eu vraiment du mal à me représenter le siphon, la tour pétrifiée...(la BD est très convaincante je n'y attarderai peut-être bien!).  
Sinon, les hordiers sont humains, pourtant au sein de la horde, il ne se passe pas grand chose, dans cette première partie. Ils ont des petites histoires de coeur, de fesse, ou les deux à la fois qui m'ont parues bien anecdotiques auxquelles je suis restée parfaitement hermétique. Je ne m'en souvenais pas d'un chapitre à l'autre. Aucun ne se détachait du lot, Sov ou Pietro, Aoi ou Callirhoé, qui parle? Il faut se référer au symbole de chacun, sauf que je n'en avais toujours retenu quasiment aucun p 230, sauf peut-être les principaux, et que je trouvais très inconfortable de devoir toujours regarder l'index du début du livre. Et quelle importance que ce soit Sov ou Pietro qui parle? Ils narrent le même récit. Je n'ai pas du tout eu l'impression extraordinaire de voir les choses de différents angles et avec différentes sensibilités, un effet qui m'avait conquise lors de la lecture des furtifs où Damasio utilise pourtant le même mode narratif, mais avec davantage de richesse. 
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   Malgré tout, je suis arrivée à Alticcio ! A partir de là j'ai cessé de lire à la verticale (vous voyez quand on lit les premières lignes d'un paragraphe, puis qu'on dégringole jusqu'à la fin en lisant un mot de temps en temps, en yamakasi du paragraphe, se disant qu'on a déjà compris l'ensemble et que sinon c'est pas si grave, qu'on passe à la suite! Next!). Je me suis même mise à relire plusieurs fois des passages que j'avais mal compris ou visualisés (récurrent avec Damasio). J'ai souris de ce combat sous forme de joute rhétorique entre Caracole et son concurrent où l'auteur s'est manifestement fait un petit plaisir avec ses compères de jeux préférés c'est-à dire les mots. Sortis de combats à gros coup de pogne et de blaast dans la face, à moi aussi ça me fit du bien, un peu de variété, même (surtout!) incongrue!   Emballée, pesée en un rien de temps cette deuxième partie. Des images dingues en tête, dans ces espaces illimités, l'imaginaire qui turbine enfin, c'est bon, je suis montée dans le navire, et me demande jusqu'où il ira...se fracasser puisque cette quête revêt plus que jamais un goût de vaine absurdité. J'ai moins de mal à identifier des personnages moins nombreux il faut bien le dire, par contre, je ne m'y attache toujours pas du tout, et leur destinée quoique pour le moins extraordinaire, fait naître des images esthétiques, inattendues, un beau spectacle en somme, mais qui ne m'émeut pas un instant. Ces personnages, je ne les comprends pas toujours, et du coup j'ai du mal à les identifier comme familiers, même dans une scène de retrouvailles qui se veut émouvante, que je ne peux expliciter sans spoiler, pour moi les réactions sonnent faux, ou alors c'est là que m'a manqué un supplément d'âme pour vraiment apprécier cette lecture.    
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Damasio nous amène au final sans surprise. "Et oui." J'aurais préféré un "Naaan!!!" bien entendu. Toujours difficile de s'enfoncer dans un récit aussi dense et de trouver la conclusion qui surpasse l'ensemble. Ici la fin a plus fait tinter en moi un appel à un tome 2 qu'allumer la lanterne éclairante d'une compréhension aboutie de cette grande quête. J'ai énormément pensé, dès le début du livre, au livre de Christopher Priest "le monde inverti" lu quelques mois avant. Même contexte spatio-temporel non défini, où une corporation formée dans ce but part en quête, envers et contre tout (avec l'excuse dans le monde inverti, d'une urgence, vitale, tout de même...D'ailleurs quelle est l'excuse dans ce livre là?) d'un bout de terre inexploré, l'Etrême-Amont ici, l'Optimum dans le monde inverti. La horde pour moi, pâlit de la comparaison...La fin du monde inverti m'ayant décroché le "Naan!!!" et toutes mes questions (ou presque) ayant trouvé une réponse, j'ai été repue. 
  Je crois aussi que j'ai trouvé que Damasio s'était un peu éparpillé, trop de générosité peut-être, trop d'impétuosité créative mal canalisée? le vent, le vif, les glyphes des théories un peu fumeuses  qui s'entremêlent (mais je me tais j'ai pas tout lu, je me trompe c'est peut-être plus clair quand on s'y plonge réellement). Dans "les Furtifs" l'ensemble des théories, de l'esthétique, la politique, est soudée autour de ces êtres, forme de vie qui dépasse l'entendement, une vie qui ne sait être qu'en mouvement.
 Je ne voulais pas monter une chronique qui ne ferait que mettre les furtifs en regard de la horde, n'empêche il y a tant de prémices dans la horde à un livre écrit pourtant 15 ans après, il suffit de citer cet extrait p 349 pour comprendre à quel point l'auteur a déjà la graine de son futur roman sous la plume: "_Et comment on les reconnait tes animaux tactiques, ils ont quelle gueule? A plumes, à bec, à poils ? Ils sont faits en peau de vent, avec  des écailles de blabla et des griffes en roseau? _[Ils sont faits] en glyphe comme sur le cocon des chrones. Ce sont de petits segments de vent, furtifs en diable, qui scintillent dans l'espace et s'effacent aussitôt..."
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  Je n'emporterais sans doute pas La horde du contrevent sur une île déserte mais je serais contente de le trouver caché dans le sable, je prendrais le temps de le relire avec plaisir, j'ai imprimé l'index des personnages dans ma ptite tête maintenant. J'aurais alors la patience (que faire d'autre, sur mon île?) de relire tout ce que la yamakasi de paragraphe en moi a impitoyablement coupé court. Et je serai conquise, qui sait? Je gratterai désespérément le sable en quête du tome 2.
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J'ai bien vu ce qui pouvait plaire dans ce roman de SF réputé. L'histoire nous entraîne dans un tourbillon dès le début, avec un groupe d'élite (la horde) très puissant, qui affronte le vent et cherche son origine.
La construction narrative est maline : les paragraphes alternent entre les 23 points de vue des personnages, représentés par de simples symboles.
Et la langue ! On est un peu perdu•e•s, les mots fusent, détonnent, frappent fort et roulent comme des cailloux dans un torrent déchaîné. On bute sur des termes techniques, argotiques, inventés, tarabiscotés, puis on est nourri•e•s de tirades plus philosophiques, qui donnent de la hauteur à l'enchaînement d'actions (combats, défense, festivités...). Cette lecture est une plongée incroyable dans une langue vraiment atypique, rugueuse et poétique.
Malgré tout, quand on a une culture féministe, on ne peut pas faire comme l'air de rien. On a bien affaire à un point de vue masculin méprisant pour les femmes, présentées majoritairement comme des boulets pour le groupe, ou des objets sexuels. C'est une virilité triomphale qui se déverse dans ces pages, une ode à la lutte, à la force... une oeuvre viriliste donc, qui m'est tombée des mains. Dommage.
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Pfff, c'est bon, je suis arrivé au bout.

Si j'en avais eu l'opportunité, j'aurais publié deux critiques, une à une étoile et l'autre à cinq. On a certes un chef d'oeuvre mais que l'auteur a chargé de colifichets supplémentaires pour tenter de le magnifier encore plus, et c'est dommage. Ça lui a donné un côté un peu surfait qui l'empêche de briller comme une pépite.

J'ai découvert le livre via les chroniques de "La brigade du Livre" sur youtube où il était présenté comme l'oeuvre majeure de la fantasy française (je cite de mémoire).

Il m'a fallu quatre ans pour finir ce bouquin. Cinq ou six abandons mais j'ai toujours fini par y revenir (ce qui est bien un signe que ce livre est à part).

Si je pouvais faire un parallèle vidéoludique, je le comparerais à un jeu de Miyazaki. Long, exigeant, pénible, frustrant et libérateur.

L'univers dépeint par Damasio est immense, dense, profond et cohérent, tellement cohérent que les personnages ne se fatiguent pas à l'expliquer ( ils y vivent, c'est tout).

Ce qui m'a déplu, voire profondément irrité, ce sont toutes les fioritures qui accompagnent ce bouquin : la numérotation à l'envers ? Inutile (qui n'a jamais regardé le nombre de pages restant à parcourir dans un ouvrage) voire même contreproductif puisqu'elle nous indique le chemin qui reste à parcourir quand les protagonistes, eux, l'ignorent.

Les symboles en tête de paragraphe : Laborieux même si au final sur les 23 membres de la horde, peu ont leur voix propre et sont récurrents.

La poésie, les mots inventés (ou le verbiage selon l'humeur) : difficile à comprendre par moment (mais c'est peut-être juste moi qui y suit hermétique...j'avais parfois envie de crier Kamoulox, quand même).

Malgré cela, je suis toujours revenu à ce parcours, à cette "trace" alors que j'aurais pu abandonner le livre quelque part avec un doigt d'honneur en guise d'adieu. Parce que clairement, c'est un livre majeur, avec un sens philosophique indéniable ( cela me faisait penser à La Panthère des Neiges de Sylvain Tesson, me demandez pas pourquoi).

Un chef d'oeuvre qui n'a pas su me toucher comme il en a touché tellement d'autres, mais un chef d'oeuvre quand même.
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