Une maîtresse de San-Antonio meurt assassinée dans le lit conjugal où elle accueillait le commissaire séducteur.
Problème ; quand San-Antonio revient sur les lieux, toutes les traces ont disparues, ainsi que le corps de la dame adultère.
San-Antonio a t'il rêvé ?
"Le cri du morpion", est une cuvée honnête, surtout que ce roman date du début d'une période dont beaucoup (dont moi-même) considèrent qu'elle marque le déclin de la série..
Les blagues grivoises, les rebondissements "abracadabrantesques", les personnages truculents sont là, et si l'on est pas trop bégueule on peut passer un bon moment de détente.
Mais, je ne peux m'empêcher d'avoir une préférence, presque une tendresse pour "l'âge d'or" de la série, en gros les cent premiers titres, ce qui fait déjà une belle réserve de (re)lecture.
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Il revient sur les talons d'un homme courtaud, chauve et gras, affublé de grosses lunettes aux verres plus épais qu'un matelas, sauf que tu verrais mieux à travers un matelas qu'à travers ses bésicles.
*RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE* :
San-Antonio, _Réflexions définitives sur l'au-delà,_ morceaux choisis recueillis par Thierry Gautier, Paris, Fleuve noir, 1999, 120 p.
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