« Depuis sa première apparition en 1995, on savait
Melchior en proie à son mal de vivre, à ses démons intérieurs et à ses fantômes, égaré entre sa misanthropie et son besoin de vérité et de justice, mais dans cette nouvelle aventure, il est plus rembruni encore, plus bilieux, comme s'il était arrivé au bout de tous ses cafards. Il est vrai que sa double enquête va petit à petit le conduire vers son propre passé et vers celui de sa famille, au terme d'une déambulation presque sépulcrale. Difficile, décidément, d'écrire plus noir qu'
Alain Demouzon ! »
Alexandre Lous, le Magazine littéraire, mai 2006.