J'avais laissé Tove et ses rêves d'écriture à la fin de l'enfance.
Dans ce deuxième tome on la retrouve adolescente puis jeune adulte en quête de son indépendance. La nécessité d'écrire est toujours là. En toile de fond, la montée du nazisme et la guerre qui approche.
La vie est dure mais il y a les petites victoires du quotidien, une chambre à soi et les rencontres amoureuses pour l'éclairer.
Et puis surtout, son talent et sa ténacité vont payer : son premier livre est publié.
Un récit vif, attachant. J'ai hâte de découvrir le dernier tome de cette trilogie.
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Les premiers pas d'écrivain de Tove correspondent à ses débuts dans l'âge adulte. Consciente qu'"être jeune est temporaire, fragile et éphémère", elle avance à tâtons. Son écriture est d'ailleurs à ce titre très significative, mélange d'assurance et de candeur, de détermination et de résignation. Si Tove Ditlevsen a du métier quand elle rédige ces lignes, elle est parvenue à retrouver ses sensations, ses emportements, ses peines d'adolescente.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Elle me demande son âge et je lui dit qu'il a la cinquantaine. [...], comme ça il sera déssalé et fera un mari fidèle.
p. 175
#Extrait
«La Trilogie de Copenhague. T.2 – Jeunesse » de Tove Ditlevsen
Actuellement en librairie
https://editions-globe.com/la-trilogie-de-copenhague-t-2-jeunesse/