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EAN : 9782490163168
348 pages
Beta Publisher (17/06/2019)
3.89/5   31 notes
Résumé :
Je m’appelle Damien Hachett : 34 ans, légiste et, à peine sorti de ses diplômes, catapulté médecin chef à l’Institut Medico-Judiciaire. Tard le soir, entre deux macchabées carbonisés ou livrés coupés en morceaux dans un joli paquet cadeau, j’écris aussi des bouquins.
Jusqu’à ce qu’une nuit, mon plus vieux lecteur, à qui j’ai dédicacé le 77ème exemplaire de mon 1er roman, m’attende sagement sur ma table d’autopsie.
Bien… et maintenant, que les ennuis ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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77 assassins… quel joli titre. Encore plus pour les Belges, car septante-sept assassins sonne mieux que soixante-dix-sept assassins ! 😊


Henri Duboc
est médecin, chercheur à l'INSERM (Institut de recherche médicale), maitre de conférence et il a aussi fait les sciences po. En plus, il a une imagination débordante et un sens de l'humour qui ne le lâchent jamais. Il est donc l'homme idéal pour nous avoir écrit ce roman inhabituel.
Quand on sait que cet auteur médecin-sciences po a mis quatre ans pour écrire 77 assassins, on se rend compte que le texte a été bien travaillé, il a eu le temps de décanter et de devenir meilleur avec l'âge.
Le résultat est un petit bijou malséant.

Pour moi, ce bijou est avant tout le reste un livre d'humour. Il y a de l'horreur humoristique, du fantastique humoristique, de l'impertinence humoristique et même de l'humour tellement déjanté qu'il en devient humoristique.


Dynamisme, suspense, intrigue géniale
Quel style dynamique ! Henri Duboc nous entraine d''une scène loufoque vers l'autre, d'un évènement horrible vers l'autre, l'humour déborde des pages, le style est tellement dynamique qu'on en devient tout énergique soi-même, le suspense et le mystère de l'intrigue sont si grands qu'on veut savoir, et lire, lire… mais sans terminer le livre, pour autant.
L'auteur a aussi très bien équilibré les scènes d'horreur. Juste au moment où je croyais en avoir assez vu… l'approche a fondamentalement changé. J'ai adoré la première moitié, mais comme j'ai joui de la deuxième moitié du livre (tout aussi horrible et amusante, n'ayez crainte... enfin... ) aussi ! Y inclus la résolution, qui est géniale. L'imagination d'Henri Duboc déborde vraiment d'idées, il nous livre des surprises de la première jusqu'à la toute dernière page, à chaque paragraphe.
Dans tout cela il ne faut pas oublier de mentionner que le style, les mots choisis, gores mais aussi pas gores, malgré l'intrigue étonnante, sont très beaux. C'est de la littérature, de la vraie !


L'intrigue
77 assassins se déroule souvent dans les milieux de la médecine (médecins légistes et médecine viscérale… ). L'auteur a imaginé un mystère plein de suspense. Il s'est complètement laissé aller pour la forme, il s'est permis toutes les libertés, des exagérations loufoques, des scènes pas possibles mais pourtant vraies (dans le livre), des impertinences, des jeux de mots. En faisant cela, il nous délivre de toutes idées bien pensantes et ça fait du bien.
A part le monde de la médecine, il y a aussi plein d'autres mondes et de personnages : la police, le monde de l'édition, les médias, les journalistes, les téléspectateurs, un petit village rural, un curé et, au fond, tous les gens.


L'humour
Une des formes d'humour utilisées est la satire. Comme l'auteur se fout de tout le monde, c'est, comme il dit, « l'égalité dans la satire ».
Il y a d'autres formes d'humour. L'humour de l'effroyable, du plus qu'impensable qui devient vrai, l'humour « normal », celui de la chance ou de la malchance, des choses de la vie qui se mêlent à ces situations terribles et terriblement amusantes, les jeux de mots, qui aident les personnages à faire face dans ces circonstances effroyables, inimaginables.


Frissons chaleureux
Je suis une lectrice sensible. Pas de thrillers ou romans d'horreur pour moi, sinon, cauchemars. Pourtant, dans ce livre, le mot horreur est à sa place. Mais ici, je n'ai eu ni peur ni cauchemar.
D'abord, l'humour et l'intrigue étaient irrésistibles. Mais en plus, le personnage principal et certaines personnes qui l'entourent sont de bonne foi. Ils sont gentils, honnêtes, humains, ils font tout leur possible pour tâcher de résoudre cette horrible et fantastique affaire mystérieuse. Je pouvais rire, car il y avait de l'humour, et j'aimais le personnage principal (Damien Hachett) et quelques personnages secondaires.


Post face, post farce ?
J'étais arrivée à la postface du livre quand je devais me rendre à l'hôpital pour un examen de routine. Quelle était ma surprise lorsque j'ai découvert qu'à cet étage, il y avait uniquement le service où je devais me rendre et… la médecine viscérale, consultations et chirurgie… et c'est bien là que j'ai dévoré le livre jusqu'à la dernière page.


(Merci à Babelio Masse Critique et aux éditions Beta Publisher de m'avoir envoyé un exemplaire du livre en échange d'une critique.)
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Amis de l'humour potache, 77 assassins, ce livre qu'Henri Duboc nous propose, est pour vous.
Adeptes des univers littéraires déjantés, ce livre est également pour vous.
Cependant, si vous n'êtes ni l'un ni l'autre, mais que vous souhaitiez sortir de votre zone de confort et souhaitiez découvrir de nouveaux horizons, alors je vous invite à vous plonger dans la lecture de ce polar foutraquement loufoque et délicieusement iconoclaste.


Dans cette histoire, Damien Hachett, légiste de son état, récemment nommé médecin-chef de l'Institut médico-judiciaire (IMJ), se trouve confronté à des morts (jusque-là rien que de bizarre, compte tenu de son métier), mais une nuit, il va voir arriver sur sa table d'autopsie, M. le Maire de Fougères, à qui il avait dédicacé le 77ème exemplaire de son premier roman « Octet noir ».
Il faut savoir qu'à ses heures perdues, le Dr Hachett (alter ego de l'auteur) écrit des romans.

La mort de M. le Maire de Fougères sera la première d'une longue série de décès tous plus bizarres les uns que les autres, leur point commun résidant dans le fait que les victimes auraient toutes, dans leur estomac ou dans leur vomi (c'est selon), de la bouillie blanchâtre, bouillie qui se révèlerait être…après moultes conjectures et vérifications au microscope…du papier…issu des pages d'un livre !

Mais comment est-ce possible ?
Un conseil… A partir de là, laissez de côté votre esprit cartésien et laissez-vous porter par la déferlante de courses-poursuites endiablées, de jeux de mots bon enfant, de noms d'oiseaux en tous genres…jusqu'à l'épilogue et la postface.
Sachez juste que l'enquête est menée tambour battant par le sympathique Dr Hachett.

Comme dans tout bon polar qui se respecte, dans ce roman, on y trouve les ingrédients de suspense (on suit la piste d'un unique tueur et pourtant il y aurait 77 assassins ? Dans quel but tuerai(en)t-il(s) ? Comment sont choisies les victimes ?), de frisson (les descriptions sont quelque peu sanguinolentes), de drames (Madame Tapabien, confidente de maman Hachett, est morte trépanée ; Sarah, la collègue, devient une créature zombiesque…).

Pour bien apprécier ce roman, il faudrait deux lectures : une première pour le plaisir de lire un polar noir, déjanté, joyeusement effrayant, et une deuxième pour lire entre les lignes, car mine de rien, Henri Duboc donne quelques coups de griffe…de chat (les matous sont importants dans l'histoire) et égratigne au passage l'entre-soi des grandes maisons d'édition, le manque de moyens des hôpitaux publics (voir le passage sur les nappes jaunes !), le système très hiérarchisé dans le milieu médical, la compétition qui sévit entre l'INSP et l'IMJ, l'information-spectacle orchestrée par certains media, l'emprise exercée par les ordinateurs et les sociétés hyper-connectées…

Et puis, Henri Duboc rend hommage à l'un des fleurons de l'architecture française. En effet, la forteresse de Fougères, plus grande forteresse médiévale d'Europe, belle construction aux marches de la Bretagne, vieille de 400 ans d'histoire, sera le théâtre de l'acmé de ce roman.


Pour finir, je vous livre le secret de fabrication de ce polar : dans ses remerciements faisant office d'avant-propos, l'auteur a tenu à remercier son colon et sa vessie qui l'ont cloué sur un lit d'hôpital, à un moment de sa vie. Ainsi, pour tuer le temps, Henri Duboc a donc eu le loisir de coucher sur papier le fruit de son imagination, fruit fantastico-loufoque mûri à l'aune de sa médication aux effets apparemment hallucinogènes.

Et un dernier petit mot sur le joli travail de graphisme de la couverture et le clin d'oeil sur la signature Henri Duboc/Damien Hachett.

Nota bene :
INSP : Institut National des Sciences Policières
IMJ : Insitut Médico-Judiciaire
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C'est une livre qui me laisse perplexe.
J'ai beaucoup aimé l'histoire, même si la fin est très inattendue, sort des sentiers battus et n'a pas été à mon goût (mais cela est très très subjectif). Les personnages sont hauts en couleurs, les scènes noires et sanglantes et le récit très bien construits (même si certains flash-back sont un peu déroutants).
Cependant, j'ai trouvé l'écriture difficile. Je n'aime pas du tout les écriture style ordinateur où on écrit en majuscule lorsqu'on parle fort, ou encore écrire les accents vocaux (comme l'accent marseillais) ou les tics de langage (allonger certaines voyelles etc...). je trouve que ça rend la lecture compliquée et ne sert pas au récit. de plus, j'ai trouvé que le nom des personnages étaient ridicules même si j'ai bien compris que cela faisait partie du "style". Enfin, j'ai trouvé que le discours des personnages n'était pas du tout réaliste, des insultes à tout va sans grande crédibilité, à croire que les gens passent leur temps à mal se parler.
Bref, je pense qu'il plairait aux fans du style, mais n'est pas pour tout public.
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Damien Hatchett, jeune légiste à l’Institut Médico-Judiciaire à peine sorti du moule et encore pas tout à fait cuit sur les bords (tout ça pour dire qu’il n’a que 34 ans), a déjà vu passer du macchabé. Du grand, du petit, du entier, du en morceaux. Mais rien ne le préparait à ça. Ça, c'est un de ses clients allongé sur sa table froide qui a eu la délicieuse idée de manger ce qui semble être un des 77 exemplaires d’un de ses bouquins. Un exemplaire dédicacé.
Ah, au fait, Damien est aussi écrivain à ses heures perdues.
Médecin, écrivain, ça me rappelle quelqu’un ! Mais j’ai comme un doute affreux.
Le livre ! Revenons-y. Et quel livre.
77 Assassins, se révèle dangereusement drôle. Après avoir joué dans la cours de l’anticipation avec une sacrée trilogie, et un ouvrage digne d'intérêt sur la médecine du futur, Henri se vautre dans l’hilarité mortelle avec une poilade insolente.
Caché derrière Hatchett, je suis parti dans une descente politiquement très incorrecte mais jouissive. J’ai mis les deux pieds dans un univers barré et saturé d’irrespect. Que ça fait du bien en cette période morose et trop sérieuse. Ce bouquin vaut tous les opiacés du monde. C’est en une grande gerbe foutraque, que j’ai suivie entre deux éclats de rire, les frasques de M. Yanopeku Kanyakaka ou de Marc Du Bonbouquain mais surtout la longue litanie de victimes, dépouilles, cadavres et autres défunts.
Quand la littérature se venge et qu’elle s’allie à une imagination féconde, ça éparpille de la substance organique à tout va…
C’est avec une excitation non contenue, que j’ai bouffé les pages de ce livre. Au sens figuré. L’autre est risqué. Ils sont plusieurs à avoir bavé une bouillie blanche avant de voir leur avenir se raccourcir comme Marie Antoinette en arrivant Place de la Concorde le 16 octobre 1793. L’aliénation du lecteur va de pair avec la divagation, que dis-je, le délire, la douce folie d’un auteur qui a décidé de faire fi des limites, de se jouer d’une absence totale de raison pour aller au bout de ses envies. Je glousse, tu te bidonnes, il se marre.
Alors oui, 77 Assassins ne se sera sans doute pas sur la liste des nominés lors des prix de la rentrée. Je le regrette, cela aurait soufflé une bouffée d’oxygène saturée d’opioïdes dans quelques cercles visqueux. Car c’est bien la première fois qu’une ingestion de substances psychotropes se fait par voie littéraire.
Oui, bon Dieu, ce doux déséquilibre manié avec frénésie, nous égare dans un monde absurde, une histoire de vengeance truffée de bons mots.
A quand le remboursement par la sécu d’une pharmacologie éditoriale ? Car cela embaume le quotidien d'un humour sans borne.
Rien ne nous est épargné. Pas même les jolis petits mammifères carnivores de la famille des Félidés qui truffent nos pages de réseaux sociaux et que certains aimeraient voir broyés à grands coups de moissonneuse-batteuse. De l’irrespect vous-dis-je ! Enfin, un brin de liberté pour certains d’entre nous.
Les personnages d’Henri, pardon de Damien, sont cruellement burlesques. Personne n’aimerait être à leur place. Toutefois, s’ils ont chacun un pet au casque à moins que cela ne soit l’auteur, ces individus partagent un point commun. On ne s’y attache pas des masses car ils ont la fâcheuse tendance à devenir des victimes à leurs corps défendant. Personne ne semble vivre très longtemps au gré des pages. Et les raisons de mourir, sont… à mourir de rire.
D’un point de vue scientifique, cet opus est psychostimulant. Chaque chapitre agit sur le système nerveux. Il provoque une humeur positive. Si cela ne fonctionne pas, c’est que le sujet est d’ores et déjà perdu pour la faculté. Je dénie toutefois, toute irresponsabilité à une potentielle dépendance psychique et psychologique ainsi que la moindre céphalée.
Enfin, j'avoue, j'admets, je concède, je confesse, Henri Duboc est un ami. Qui oserait dire que je ne suis pas impartial ? Oui, je suis débordant d’une affection ruisselante pour ce garçon talentueux, car en plus, il sait me surprendre et raviver mes souvenirs en évoquant la rue de la Pinterie à Fougères.
Bref, MMMEEUUURHHHA !

Lien : https://nigrafolia.fr
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77 Assassins est ce qu'on pourrait qualifier de texte hors-norme. Je serais incapable de vous le classer. Il y a du thriller, du fantastique, des mélanges d'autres genres de textes comme la science-fiction, de l'humour, BEAUCOUP d'humour, du politiquement très incorrect et du gore très gore. Voilà, mélangez tout ça très, très fort et vous obtenez un roman totalement déjanté, provoquant, et qui va vous faire passer un moment hors de la réalité auprès de personnages tous plus incroyables les uns que les autres et une intrigue qui dévore votre cerveau jusqu'au point de non-retour.

Ce livre est un énorme coup de coeur. Je me suis écroulée de rire devant certains passages (une pensée au fantastique destin de monsieur Boubouquain qui m'a absolument achevée), alors que d'autres sont au contraire très, très flippants. C'est ça le truc avec ce livre, vous ne savez absolument pas où vous allez et donc tout ce qui se passe peut être interprété comme extrêmement flippant ou au contraire extrêmement drôle. Je me suis pas ennuyée une seconde, j'ai dévoré ce livre (je vous jure, il en reste plus une page !) en quelques jours et il m'a totalement fait oublié l'échec de ma candidature de Master, donc je ne peux que remercier l'auteur.

L'intrigue est parmi l'une des plus originales que j'ai jamais lu. Déjà, le cadre de la morgue, c'est un milieu pas très courant pour une histoire, mais rajoutez à ça une enquête en compagnie de chefs de services prêts à se sauter à la tronche et des policiers pas très compétents, vous obtenez une histoire abracadabrante qui part dans tous les sens où pour reconstruire tous les morceaux du puzzle, il va vous falloir être très attentif. Passé la révélation de qui est l'assassin, l'histoire est loin de s'arrêter avec de plus en plus de péripéties, vous n'êtes pas au bout de vos surprises. Je ne peux malheureusement pas vous en dire plus sans spoiler le livre, mais je vous invite grandement à aller le lire.

Ce que j'ai adoré dans le style de l'auteur, c'est les petites piques lancées à droite à gauche contre différents types de personnes. Les critiques sur le milieu de l'édition, et en particulier les grandes maisons d'édition, celles qui publient de la « haute littérature », entre autres, sont absolument géniales. L'auteur s'attaque à tout le monde, vous êtes prévenus, et il le fait sans aucune pincette. Par exemple, ceux qui aiment les animaux, et en particulier les chats, je vous souhaite bon courage en lisant le livre. Il y a également des passages très profonds qui vous surprennent de temps à autre, comme les critiques sur les médias (que je rejoins totalement pour le coup ahah) et d'à quel point la « neutralité d'opinion », c'est bien de la merde. Bref, c'est un livre avec de multiples lectures, libre à vous d'en rester au niveau « oh lol, il a des grosses couilles » (vous comprendrez en lisant) ou d'aller beaucoup plus loin en lisant entre les lignes.

Et je n'ai pas encore mentionné le potentiel de jeux de mots de l'auteur qui a largement dépassé le mien. Chapeau bas. Ça fait plaisir de voir que je suis pas la seule à m'amuser avec les noms des personnages dans mes romans, je commençais à me sentir seule xD J'ai trouvé mon maître.

Les personnages, également, sont tous extraordinaires. Mis à part Damien qui a beaucoup de profondeur et de retournements dans le développement du personnage, les autres sont porteurs de gros stéréotypes, exacerbés au maximum, pour vous faire mourir de rire. Même si trois personnages sont vraiment importants pour l'intrigue, Damien, Husse et Zackarie, tous les autres sont remarquables et sont là pour vous faire pleurer de rire. Je n'en dirais pas plus pour ne pas gâcher votre plaisir de découverte, franchement, allez juste voir. le livre vaut le coup juste pour ça.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Damien que l'on voit vraiment évoluer tout au long de l'intrigue jusqu'à nous surprendre en devenant plus ou moins bien plus mature que le reste des personnages alors que c'était (vraiment) pas gagné au début. J'ai aussi eu un gros coups de coeur pour Husse et son retournement de situation vers les trois quarts de l'intrigue qui est juste magique. J'ai toujours eu un faible pour les personnages colériques, mais celui-ci, il est juste exceptionnel.

En bref, ce roman est un énorme coup de coeur, j'ai passé un excellent moment devant à me tordre de rire dans mon lit. Je vous conseille vraiment de le découvrir et de le dévorer (sens propre ou figuré, ça, c'est vous qui voyez) sans tarder ! C'est une lecture estivale qui fait du bien !
Lien : https://lantredemyfanwi.word..
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
L'ouragan assassin et mortifère qui a retourné la salle de réveil, c'est elle. Cela jette un drôle de froid de regarder une obèse, le crâne ouvert des deux côtés, la cervelle à l'air et la tête en sang, courir comme un lapin. Avec encore collés autour du crâne les champs opératoires : un énorme corps nu qui bouge comme une danseuse étoile, surmonté d'un grand torchon de papier vert qui balance dans le vent.
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