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Le Vicomte de Bragelonne - 3 tomes tome 3 sur 3
EAN : 978B00JMFKSJM
L'Erable (30/11/-1)
4.25/5   301 notes
Résumé :
Aramis tente l’impossible, l’invraisemblable, et il est sur le point de réussir, dans une entreprise qui bouleverserait le cours de l’Histoire, mais celle-ci reprend ses droits… Il n’y a plus de place pour des surhommes dans la France de Louis XIV. Jamais ils ne sont si grands qu’au moment de quitter ce monde qui est devenu le cimetière de leurs illusions perdues. À chacun des trois, Athos, Porthos et d’Artagnan, est accordée la fin qui lui convient, en forme d’acco... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Alexandre Dumas a repris de la vigueur, dans ce tome III !
Si les duels sont interdits en 1661, il y a quand même plein d'actions. Finies les mignardises du roi ! Il doit faire des choix, et ce n'est pas facile. D'abord, Nicolas Fouquet a t-il oui ou non détourné 13 millions comme le prétend son rival Colbert ?
Il y a la dramatique altercation d'Athos et du roi : celui-ci n'avait pas à séduire Louise de la Vallière alors qu'elle était fiancée : le vicomte de Bragelonne, fils d'Athos, est au désespoir, et n'a plus confiance ; Athos, comte de la Fère casse son épée devant le roi et veut se retirer dans ses terres, mais ordre est donné à d'Artagnan d'arrêter Athos, son ami ! Alors ?
Dans une discussion tragique, D Artagnan convainc le roi, étant donnés les services fidèles effectués par Athos, de le laisser repartir dans ses terres, à Blois.
Mais il y a pire.
Aramis, l'évêque de Vannes, manipule Fouquet et le gouverneur de la Bastille après avoir eu vent de la naissance secrète du jumeau de Louis XIV. A Vaux-le-vicomte, ils remplacent, la nuit Louis XIV par son frère, qui est, bien sûr, beaucoup plus favorable aux deux compères !
Le roi, sous le nom de Marchiali, hurle dans sa prison de la Bastille !
Que va t-il se passer ensuite ? Vous le saurez en lisant... etc...
.
Je suis doublement heureux d'avoir lu ces presque 4000 pages de d'Artagnan ! Les trois mousquetaires, Vingt ans après, le vicomte de Bragelonne I, II, III. D'abord parce que l'histoire est agréable, et qu'à la fin Porthos ( un peu moi, lent à la comprenette ), plus Obélix que jamais, se débat avec des menhirs en Bretagne ! Ensuite, parcequ'il y a des duels physiques serrés au début, des duels verbaux intenses à la fin !
Ensuite, parce que ça alimente mon uchronie du XVIIè siècle que je construis avec les mêmes personnages historiques, et comme je sais qu'Alexandre Dumas serre L Histoire au plus près, je prends des notes :)

Je remarque quelques petites incohérences pas trop graves, mais le suspens l'emporte largement, car ... On se pose plein de questions :
le roi est-il vraiment un salopard avec Raoul ?
On sait, dans L Histoire, que le roi va faire arrêter Fouquet par D Artagnan, alors que ce dernier le trouve sympthique : comment cela va t-il se passer ? Vous le saurez en lisant cette course folle...
Autre question : D'Artagnan a ordre d'attaquer Belle-Ile avec force soldats, alors qu'il sait qu'Aramis et Porthos y sont ! Que va t-il faire ?
Colbert, dont je vais lire la biographie, est décrit dans L Histoire comme un homme brillant ; pourquoi Dumas lui forge t-il un caractère sombre, ombrageux, vengeur ?
Le livre répond à ces questions ; pas moi :)
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Le malheureux Raoul a quitté l'Angleterre et Madame se fait un malin plaisir de lui apprendre l'infidélité de Louise, que le roi n'a jamais tant aimée. Fouquet reçoit le roi à Vaux pour une fête spectaculaire. Aramis a monté le complot du siècle et va presque réussir. Après les intrigues de cour du deuxième tome, c'est avec plaisir que nous retrouvons l'action.
C'est également ici que se doit clôturer la série. Nous enterrerons successivement Porthos, Athos et Raoul. D'Artagnan expire à la dernière page, tenant à peine son bâton de maréchal de France.

J'avais neuf ans lorsque mon père m'offrit Les trois mousquetaires, dont la lecture m'avait passionnée. Treize ans plus tard, après n'avoir fait qu'une bouchée de Vingt ans après l'été dernier, j'en termine avec le vicomte de Bragelonne. Mon aventure avec le grand Dumas prend fin et, il faut le dire, j'ai un pincement au coeur. J'ai dit adieu à Athos, Porthos, Aramis et D Artagnan ; leur histoire m'aura tenue en haleine jusqu'à la toute fin !
Adieu, donc, messieurs les mousquetaires ! Vous rencontrer fut un plaisir. Des ferrets de diamants d'Anne d'Autriche au mystérieux prisonnier de la deuxième Bertaudière, de jolie Constance à la triste Louise, du siège de Saint-Gervais à la résistance de Belle-Île, on espère, on s'effraie, on s'enthousiasme et jamais on ne s'ennuie !
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Dans ce troisième tome, le jeune Louis s'exerce au pouvoir, il essaie tant bien que mal d'étourdir Fouquet, l' surintendant,à qui repose valablement une bonne partie des caisses de l'état, le roi essaie avec malignité de soutirer à Fouquet ce qu'il doit à l'état. Ici, le temps est à beaucoup d'explication, à la découverte de la bourgeoisie de l'époque, comment l'homme se divertissait-il, aussi on voit Louis XIV offrir un spectacle de Ballet avec sa belle soeur Henriette, l'heure est aussi à la découverte de jeunes amours mêlés dans la plus grande confusion. Dumas nous fait vivre les commérages de la cour du jeune roi Louis XIV, la cour où chacun connait l'autre, tout se sait en une poignée de seconde, femme comme homme, chacun ne respire que pour implorer la grâce du sire le roi, il est en même temps à fleur des jeunes amours, aussi on est surpris de voir éclater son amour pour Mlle de la Vallière, une jeune fille à qui il avait refusé la main du Vicomte de Bragelonne sous prétexte qu'elle n'est pas de son rang...
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Ce n'est pas une critique, mais un ressenti...
J'ai longtemps repoussé le moment de lire le Vicomte de Bragelonne, et plus encore ce tome. Aujourd'hui encore, dans mes relectures successives, je marque toujours un temps d'arrêt avant de l'aborder, sachant très bien que je vais être bouleversée, redoutant et anticipant à la fin mes larmes. Car je ne veux pas que ce soit la fin... Je sais ce qui arrive mais je ne le supporte pas émotionnellement.
Il faut dire que les Trois Mousquetaires - et très vite Vingt Ans Après - m'ont accompagnée dès ma jeunesse, c'est un des premiers romans "adultes" que j'ai pu lire. Je me suis donc attachée très fortement aux personnages, et je refusais d'aborder leur fin tragique.
Certes, cette fin se mérite. le Vicomte de Bragelonne est long, parfois trop long, dans le tome 2 notamment. Ici, les longueurs se font moins sentir, puisqu'en arrivant au dénouement, les différents fils d'intrigues se resserrent, et se résolvent - pour certains.
Le plan n'ayant pas été déterminé dès le départ, Dumas, assisté de Macquet, se sont laissés déborder par le sujet. Cela donne lieu à un mélange des genres, des styles, des tons aussi, du burlesque digne de Molière, au tragique du personnage de Philippe, des complots des jésuites à tendance hermétique voire méphistophélique avec le personnage d'Aramis qui a donné son âme au diable, à l'épopée avec la chevauchée de d'Artagnan poursuivant...
Ce tombe est aussi un tombeau, au sens littéraire de l'hommage au mort. Car si les exploits des quatre amis sont partout célébrés, qu'eux-mêmes sont héroïsés par tous, ils ne se rencontrent jamais tous ensemble, et ce tome est celui de leur disparition. Porthos meurt en Hercule, Titan trahi par sa force mais à la grandeur d'âme exemplaire. Athos meurt en martyr, un ange qui rejoint son fils au ciel. Et d'Artagnan meurt en héros, le héros grec qui rejoint l'Olympe au terme de ses exploits. le roman devait s'arrêter plus tôt, pour ne pas raconter la fin de d'Artagnan. Mais les trois dernières phrases sont une forme de consolation, pour D Artagnan qui reverra ses amis dans la mort, pour moi, lectrice, qui peut recommencer à lire, pour faire revivre les personnages.
"Athos, Porthos, au revoir ! Aramis, à jamais adieu !"
Des quatre vaillants hommes dont nous avons conté l'histoire, il ne restait plus qu'un seul corps. Dieu avait repris les âmes".
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"Il y avait d'abord ce génie narratif qui osait tout, jusqu"aux scènes d'aventures les plus échevelées, les plus excessives.Chaque chapitre relevait d'un enjeu, d'un affrontement dramatiques, avec ces dialogues qui claquaient, qui étaient encore du théâtre. Dumas n'oubliait rien du grand auteur dramatique qu'il avait été. Mieux encore avec cette peinture si délicate du temps qui passait avec ces héros dont les traits se creusent, dont les caractères se durcissent ou deviennent plus indulgents, se dessinait ce grand mouvement de l'Histoire qui basculait, elle aussi, entre le temps d'une noblesse turbulente, héroïque ou intrigante qui jetait ses derniers feux dans la Fronde, et la prise du pouvoir par Louis XIV, le sujet même ou l'arrière-plan du "Vicomte de Bragelonne": les nobles frondeurs réduits désormais au rôle de courtisans.
Les héros de Dumas avaient vieilli et étaient devenus étrangers à ces temps nouveaux."
Frédéric Vitoux ("Jours inquiets dans l'île Saint-Louis")
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Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
Monsieur entra brusquement comme les gens qui ont une bonne intention et qui croient faire plaisir, ou comme ceux qui espèrent surprendre quelque secret, triste aubaine des jaloux.

Madame, enivrée par les premières mesures de la musique, dansait comme une folle, laissant là son dîner commencé.

Son danseur était M. de Guiche, les bras en l’air, les yeux à demi fermés, le genou en terre, comme ces danseurs espagnols aux regards voluptueux, au geste caressant.

La princesse tournait autour de lui avec le même sourire et la même séduction provocante.

Montalais admirait. La Vallière, assise dans un coin, regardait toute rêveuse.

Il est impossible d’exprimer l’effet que produisit sur ces gens heureux la présence de Monsieur. Il serait tout aussi impossible d’exprimer l’effet que produisit sur Philippe la vue de ces gens heureux.

Le comte de Guiche n’eut pas la force de se relever ; Madame demeura au milieu de son pas et de son attitude, sans pouvoir articuler un mot.

Le chevalier de Lorraine, adossé au chambranle de la porte, souriait comme un homme plongé dans la plus naïve admiration.

La pâleur du prince, le tremblement convulsif de ses mains et de ses jambes furent les premiers symptômes qui frappèrent les assistants. Un profond silence succéda au bruit de la danse.
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D'ARTAGAN
Le capitaine était de service ; il faisait sa huitaine enseveli dans le fauteuil de cuir, l'éperon fiché dans le parquet, l'épée entre les jambes, et lisait force lettres en tortillant sa moustache.
(p114)
ATHOS
-- Majesté, Dieu sait que pour l'intégrité, pour l'honneur de votre couronne, je verserais encore à présent tout ce que m'ont laissé de sang vingt années de guerre civile et étrangère. Je puis donc vous assurer que je ne menace pas le roi, plus que je ne menace l'homme ; mais je vous dis à vous : Vous perdez deux serviteurs, pour avoir tué la foi dans le coeur du père, et l'amour dans le coeur du fils. L'un ne croit plus à la parole royale, l'autre ne croit plus à la loyauté des hommes, ni à la pureté des femmes. Adieu !
Cela dit, Athos brisa son épée sur son genou, en déposa lentement les deux morceaux sur le parquet, et saluant le roi qui étouffait de honte et de rage, il sortit du cabinet.
(p177)
ARAMIS ( au Masque de Fer ?)
-- La reine donna donc le jour à un fils. Mais quand toute la cour eut poussé des cris de joie à cette nouvelle, quand le roi eut montré le nouveau-né à son peuple et à sa noblesse, quand il se fut gaiement mis à table pour fêter cette heureuse naissance, alors la reine, restée seule dans sa chambre, fut prise pour la seconde fois des douleurs de l'enfantement, et donna le jour à un second fils.
(page 264)
PORTHOS
Raoul, le pistolet au poing, fondit sur le premier cheval du carosse en commandant au cocher d'arrêter.
Porthos saisit le cocher, et l'enleva de dessus son siège.
(p229)
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L'histoire d'un homme est donc l'histoire de tous les hommes : une épreuve plus ou moins longue, plus ou moins douloureuse ! La voix de l'humanité tout entière n'est qu'un long cri.
Mais qu'importe la douleur des autres à celui qui souffre? La plaie ouverte dans une autre poitrine adoucit-elle la plaie béante sur la nôtre? Le sang qui coule à côté de nous tarit-il notre sang? Cette angoisse universelle diminue-t-elle l'angoisse particulière? Non, chacun souffre pour soi, chacun lutte avec sa douleur, chacun pleure ses propres larmes.
Et d'ailleurs, qu'a été la vie pour moi jusqu'à présent? Une arène froide et stérile où j'ai combattu pour les autres toujours, pour moi jamais.
Tantôt pour un roi, tantôt pour une femme. Le roi m'a trahi, la femme m'a dédaigné.
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- Oh ! ne craignez rien, on vous aime, on vous aime, Guiche ; sentez-vous tout le prix de ces deux mots? Ils signifient que vous pouvez lever le front, que vous pouvez dormir tranquille, que vous pouvez remercier Dieu à chaque minute de votre vie ; on vous aime ; cela signifie que vous pouvez tout entendre, même le conseil d'un ami qui veut vous ménager votre bonheur. On vous aime, Guiche, on vous aime ! Vous ne passerez point ces nuits atroces, ces nuits sans fin que traversent, l'oeil aride et le coeur dévoré, d'autres gens destinés à mourir. Vous vivrez longtemps, si vous faîtes comme l'avare qui, brin à brin, miette à miette, caresse et entasse diamants et or. On vous aime !
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Alors le procureur, qui était ému, commença la lecture.
Porthos, après une profession de foi des plus chrétiennes, demandait pardon à ses ennemis du tort qu'il avait pu leur causer. [...]
Venait alors l'énumération suivante :
"Je possède à l'heure qu'il est, par la grâce de Dieu : [...]
7° Ma bibliothèque composée de six mille volumes tout neufs et qu'on n'a jamais ouverts.
8° Ma vaisselle d'argent qui s'est peut-être un peu usée, mais qui doit peser de mille à douze cents livres, car je pouvais à grand-peine soulever le coffre qui la renferme, et ne faisais que six fois le tour de ma chambre en le portant."
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Vidéo de Alexandre Dumas
CHAPITRES : 0:00 - Titre
R : 0:06 - RÉFLEXION - Jean Cocteau 0:14 - REMARIAGE - Armand Salacrou 0:28 - REMORDS - Pierre Reverdy 0:39 - REPOS - André Prévost 0:50 - RÉVOLUTION - Maurice Chapelan 1:06 - RICHESSE - Félicité de Lamennais 1:18 - RIDICULE - Jules Noriac 1:32 - RIRE - Jean de la Bruyère
S : 1:42 - S'AIMER - Henri Duvernois 1:52 - SAGESSE - Frédéric II 2:04 - SAVOIR-VIVRE - Saint-Évremond 2:15 - SCEPTICISME - Louis-Désiré Véron 2:24 - SE COMPRENDRE - Romain Coolus 2:34 - SE TAIRE - Comte de Voisenon 2:45 - SE TUER - Théophile Gautier 2:56 - SINGE - Jean-Baptiste Say 3:08 - SOLITUDE - Maurice Toesca 3:18 - SUICIDE - Alexandre Dumas fils
T : 3:29 - TEMPS - Jean Martet 3:41 - TÊTE - Yves Constantin 3:54 - TOMBE - Xavier Forneret 4:04 - TRAVAIL - Jules Renard 4:19 - TROMPERIE - Sainte-Beuve
V : 4:30 - VALEUR - Marivaux 4:40 - VÉRITÉ - Louise d'Épinay 4:51 - VERTU DES FEMMES - Ninon de Lenclos 4:59 - VIE - Louis Aragon 5:10 - VIE ET MORT - Rastignac 5:22 - VIEILLE FEMME - Charles de Talleyrand-Périgord
5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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