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Jean-Claude Dunyach (Autre)
EAN : 9791036000669
191 pages
L’Atalante (25/02/2021)
4.17/5   9 notes
Résumé :
Cette fois, le Troll est vraiment dans de sales draps.
Entre les idées de grandeur de sa chère et tendre qui lui valent d’être expulsée de son salon de coiffure, les nains de la mine qui ont subitement décidé de ne plus assez creuser et son stagiaire qui tente de se reconvertir dans la protection rapprochée, sa vie est devenue un cauchemar.
Il lui faut d’urgence trouver de l’or en quantité suffisante pour sauver ce qui peut l’être. Une seule solution :... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Après avoir bien apprécié ma découverte du troll de Jean-Claude Dunyach (L'instinct du troll), j'avais raté le deuxième rendez-vous, sans doute trop proche du premier (L'enfer du troll). Il me fallait me rattraper. C'est chose faite avec cette dernière aventure de notre troll préféré. L'empire du troll mélange avec brio l'humour et le sombre, le profond et le léger.

Le troll s'inquiète. Il a retrouvé sa place, sa grotte, son bureau avec son nom en lettres dorées à l'or fin. Ses collaborateurs se font un plaisir de laisser sur son bureau des dizaines de pierres précieuses à grignoter. Presque trop. C'est ça : tout va trop bien, tout le monde en ait un peu trop. Quelque chose doit se cacher là-dessous. Mais quoi ? Et mener une enquête quand votre principal suspect s'enfuit au fond d'une série de boyaux inextricables, ce n'est pas facile.

Quand, en plus, on apprend que sa douce a des problèmes financiers catastrophiques, on sait que décidément, « quand on touche le fond, il faut se mettre à creuser » (un des nombreux aphorismes qui émaillent ce roman). Car la trollesse a eu des envies de grandeur. Habilement (ou pas) conseillée, elle a voulu s'agrandir. Résultat : les banques vont saisir son salon. le troll doit lui venir en aide. Mais comment ? Peut-être en réalisant le plus grand casse du monde : braquer le plus vieux et le plus riche des dragons.

Pour réaliser ce plan, rien de tel qu'une équipe qui se connaît bien. On a donc droit aux retrouvailles, tout sauf enthousiastes, de ceux qui ont appris à se connaître et ont fini par se supporter. La plupart du temps. Et les voilà partis pour un braquage avec plan et anicroches. À la sauce Dunyach, bien évidemment. Par exemple, savez-vous que dans son monde, trouver les dragons et leurs trésors est facile ? Les syndicats d'initiative proposent une carte avec itinéraires et conseils. Par contre, on n'est pas certain de la qualité du matériel, car peu d'aventuriers reviennent afin de clamer leur satisfaction. C'est fou comme un dragon peut se montrer méfiant.

Mais le plus grand danger vient… des avocats. Décidément, l'auteur a une dent contre eux. Et, à le lire, on ne se demande pas pourquoi. Ils ont réponse à tout dans un seul but : leur propre profit. le monde doit se plier à leur magie. Et tout le monde est à leur merci. Même le troll. Sauf s'il parvient à utiliser son intelligence (celle qu'il est censé ne pas posséder) pour se montrer plus rusé que son ennemi rusé. Pas évident.

La tonalité de L'empire du troll est joyeusement foutraque et les plaisanteries et jeux de mots s'enchainent. J'ai retrouvé ce que j'avais aimé dans le premier roman et ce que j'apprécie chez Pratchett : l'auteur propose une histoire qui tient la route, tout en me faisant sourire. Voire rire. Quelques petits exemples : « Tout problème qui ne se résout pas en tapant sur quelqu'un doit être considéré comme grave. ». Ou « Et je rêve du jour où je ne m'agenouillerai plus devant quiconque. – Ça t'arrivera plus tôt que tu le crois. À cause de l'arthrose. ». Ou encore « Il incarnait l'essence même de ces créatures. On l'appelait Elfe Aquitaine. », voire « les Faes alternatifs ». Ou enfin « Les dragons et les avocats sont des choses sérieuses. »

Cette dernière citation nous amène au côté plus sombre, plus sérieux de ce roman. Car la dénonciation de certains travers de la société, déjà présente dans les précédents récits, culmine dans celui-ci. Sans se montrer lugubre ni donneur de leçon, Jean-Claude Dunyach dresse un portrait désabusé d'une société guidée par l'argent, lui-même symbole de vide absolu : « le trou est une richesse inépuisable, qu'on a sous-exploitée pendant des siècles ». Tout le monde court vers le néant, persuadé que c'est le but ultime. Message toujours d'actualité dans notre société d'hyper-consommation. Et qui donne une force supplémentaire à L'empire du troll, distrayant et en même temps source de réflexion.

Je suis soulagé. Je quitte le troll sur une note positive. Malgré son humeur maussade, il a su me faire sourire et m'entraîner dans ses aventures. J'ai adoré retrouver la petite bande. Et le personnage de l'avocat m'a été détestable à souhait. Une superbe note sucrée, légèrement douce amère pour terminer un cycle. Parfait !
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Six ans après sa première apparition dans les différentes nouvelles rassemblées dans « L'instinct du troll », l'heure est venue de dire au revoir au célèbre troll mis en scène par Jean-Claude Dunyach qui nous livre ici un dernier baroud d'honneur. le cadre est le même que celui des deux précédents tomes et repose sur le contraste assez cocasse entre un monde d'inspiration « medieval-fantastique » mêlant dragons, chevaliers, nains et elfes, et des références très actuelles, avec un usage immodéré (et hilarant) du vocabulaire propre au néo-libéralisme. Ne vous étonnez donc pas d'entendre un chevalier de la table ronde parler d'étude de marché ou d'objectif chiffré, ni d'apprendre que les dragons sont désormais considérés comme des espèces protégées et que le chemin jusqu'à leur antre peut être trouvé dans n'importe quel bon syndicat d'initiative. Notre troll, lui, travaille dans une mine et est responsable d'une équipe de nains plutôt zélés mais qui ont tendance à l'esquiver depuis quelque temps. le contremaître a toutefois d'autres affaires plus urgentes à régler puisque le salon de coiffure de sa trollesse de compagne est en passe d'être saisi. Leur seul espoir ? Mettre la main sur un trésor suffisamment gros pour satisfaire les appétits du cabinet d'avocats chargé de récupérer le bien. Or, il existe une créature de fantasy bien connu pour raffoler de tout ce qui brille : les dragons ! Et comme il faut plus qu'un cracheur de feu pour effrayer un troll, voilà notre couple lancé sur la piste du plus gros d'entre eux, censé reposer sur une fortune énorme. « -Les autres grottes sont trop petites pour lui », précisera le protagoniste. « Il est tellement énorme qu'il ne sort plus chasser. Ce sont les autres dragons qui le nourrissent et qui lui apportent une part de tout le butin dont ils parviennent à s'emparer. » « -Ah bon, c'est un actionnaire ? », demandera ingénument Cédric, compagnon humain du troll dans le premier tome aujourd'hui en passe d'enfin valider son stage. Car pour venir à bout de leur quête, troll et trollesse vont réunir une petite équipe de bras-cassés parmi lesquels on retrouve avec plaisir le duo Sheldon/Brisène, ainsi qu'un petit nouveau, un bleu chétif recruté parmi les apprentis chevaliers de la Table ronde. Ensemble, ils vont devoir déjouer les embûches pour atteindre la tanière du dragon, affronter des avocats déterminés, ne pas se laisser déstabiliser par des Faes alternatifs, et sauver leur mine de la fermeture !

La lecture du pitch à elle seule suffit pour se rendre compte que Jean-Claude Dunyach n'a rien perdu de son humour et que le décalage entre la fantasy et les aspects les plus absurdes de notre société continue de faire rire. L'auteur n'est également pas avare en jeux de mots plus ou moins subtiles (je n'en suis pas fière mais j'ai ri pour « le piment des squelettes »…) ce qui permet au lecteur de faire régulièrement fonctionner ses zygomatiques. En dépit de son appartenance à la « light fantasy », l'oeuvre du Dunyach ne se contente pas d'enchaîner vannes sur vannes pour le simple plaisir de faire rire le lecteur (ce qui serait tout à fait louable). le récit cache en effet une dimension plus politique et aborde de nombreux sujets de société qui font échos aujourd'hui comme la montée du complotisme, le mouvement Metoo ou encore les ravages du capitalisme (évasion fiscale, marchandisation de tous les secteurs de l'économie, usage immodéré d'éléments de langage qui finissent par ne plus avoir aucun sens...). L'auteur n'hésite également pas à se moquer gentiment de la fantasy dont il brasse aussi pas mal de références, à commencer par Tolkien. Si le récit conserve tout son humour, on sent néanmoins poindre de temps à autre une légère tristesse que je n'avais pas ressenti lors de mes précédentes lectures. Bien que fidèle à lui-même dans les grandes lignes, notre troll semble avoir perdu une partie de son entrain, ce dernier se montrant bien plus grave que dans « L'instinct » ou « L'enfer », voir même franchement mélancolique à plusieurs occasions. Il est vrai que, si le mélange entre fantasy et libéralisme prête la plupart du temps à sourire, l'auteur n'oublie pas de rappeler ici que ce système économique a des conséquences sur la vie de beaucoup de travailleurs, et que celles-ci sont loin d'être anodines. L'intrigue reflète ce désenchantement qui semble avoir gagné le protagoniste puisque, d'une quête somme toute assez classique mais promettant d'être grandiose, on passe à des manigances et des transferts d'argent louches menaçant l'outil de travail qui est au centre de la vie des deux trolls. Loin de gâcher le plaisir, cette touche de gravité renforce au contraire l'intérêt qu'on porte au récit de même que l'affection qu'on éprouve pour ces personnages dont la maladresse amuse autant qu'elle émeut.

Pari réussi pour Jean-Claude Dunyach qui nous propose de repartir à l'aventure avec son fameux troll-contremaître qui a toutefois perdu une partie de ses illusions. En dépit d'un ton un peu moins léger que d'habitude, le roman reste particulièrement drôle, l'auteur accumulant jeux de mots et blagues plus ou moins potaches tout en continuant d'exploiter le contraste entre un monde inspiré de la fantasy médiévale classique et des problématiques propres à la société libérale actuelle.
Lien : https://lebibliocosme.fr/202..
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Il est temps. Temps pour une nouvelle théorie du ruissellement à base d'or mais surtout de dragon et de chevalier en armure.
Je venais de lire avec bonheur L'enfer du troll et je découvre que “L'empire du troll” sort le 25 février !
Je me suis jeté dessus.

Note : On peut lire l'empire sans avoir lu l'enfer. Mais ce serait dommage, vraiment dommage.

Si je prenais les transports publics alors ces romans auraient décroché deux titres prestigieux :

- le titre du “Qui me fait louper mon arrêt” tant on est pris dans les aventures picaresques d'un couple de trolls.
- le titre du “Qui me fait rigoler tout seul en lisant dans les transports” avec le genre d'humour qui va très bien avec la période actuelle. Qui va bien avec toutes les périodes…

Mais quelle est l'histoire ?

Un couple de trolls coincés par d'ignobles avocats se met en quête du trésor d'un dragon pour renflouer ses dettes. Ils réunissent une fine équipe.

On retrouve peu ou prou la même équipe que précédemment et plus

Cédric qui doit valider son stage
Un couple qui a sa forme d'équilibre
Les nains de la mine qui ont déserté la taverne. C'est louche.
Les redoutables Faes alternatifs …
des dragons

On retrouve le même humour qui tourne en dérision les concepts les plus absurdes de notre société.
Amis sincères des avocats, du management, des creuses responsabilités passez votre chemin !
Quant aux autres, quelques citations pour la route :

le jour où il sera capable de faire porter le blâme pour ses erreurs sur quelqu'un d'autre, je considérerai son stage comme terminé et je le recommanderai pour une carrière de management.

On ne peut pas s'enrichir avec la vérité, elle appartient à tout le monde. Au moins, les mensonges sont protégés par le droit d'auteur.

Les humains ont une surface. Certains ont même une épaisseur. Mais la véritable densité ne se trouve que chez les trolls. Quand j'observe ma compagne, je mesure la chance que j'ai et ma gorge se serre. Elle est solide, compacte, belle comme une aiguille de pierre au sommet d'une montagne. Il me vient des idées d'escalade, vite réprimées. Ce n'est pas le moment.

C'est beau non ?
Lien : https://post-tenebras-lire.n..
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Dans L'Empire du Troll, le Troll connaît quelques revers. Tout commence lorsqu'il découvre que sa chère et tendre trollesse a eu les yeux plus gros que le ventre en empruntant beaucoup d'argent pour agrandir son salon de coiffure. Ne pouvant plus payer ses mensualités, elle est maintenant menacée d'expulsion. Quant aux nains de la mine, ils ont cessé subitement de creuser et jouent à cache-cache avec le Troll quand celui-ci souhaite en connaître la raison. Il lui faut de l'or et vite ! Et pour ça, il a un plan. Or, je vous l'accorde, ce n'est pas sans risque mais aux grands maux, les grands remèdes. C'est comme cela qu'on le retrouve en train de monter une expédition pour aller cambrioler l'antre d'un dragon. Cela pourrait fonctionner à condition que les avocats ne s'en mêlent pas !

Quand Jean-Claude Dunyach écrit de la fantasy, il aime bien jouer avec les archétypes du genre. Dans ses récits, on croise trolls, gobelins, dragons et faes. le merveilleux répond présent mais il est détourné de sa posture habituelle. Ainsi, le Troll est ici un contremaître, chargé de superviser l'extraction des filons de métaux et de pierres précieuses par les nains. Sa compagne, elle, tient un salon de coiffure tout en se rêvant tatoueuse et esthéticienne dans la foulée. le chevalier Cédric est toujours en apprentissage et doit même rendre son rapport pour finaliser son stage. le dragon peut autant veiller sur son trésor qu'alimenter le feu de la forge de la mine pour fondre le minerai. Quant aux nains, on les retrouve souvent à travailler dans la mine mais parfois l'un d'eux se réoriente pour devenir un impitoyable directeur d'une société de crédit.

En lisant la prose de Jean-Claude Dunyach, on comprend très vite qu'il s'amuse à tordre les stéréotypes pour mettre les créatures fantastiques dans des situations inattendues et finalement très humanisées. Il faut bien reconnaître que les héros de cet auteur sont tous très attachants et même si certains proviennent directement du bestiaire merveilleux, ils n'en demeurent pas moins très humains. En effet, sous ses dehors de créature bourrue, le Troll a finalement le coeur sur la main, ce qui le pousse à aider les autres même si ses choix ne sont pas toujours judicieux. Quant à sa moitié, elle se montre d'une grande perspicacité pour percer à jour les gens, moins pour évaluer une situation et modérer ses ambitions. Quant à Cédric, c'est un piètre chevalier mais il est tellement humain du point de vue de sa gaucherie. Dans ce nouveau roman, on retrouve une belle brochette de héros hauts-en-couleurs qui égaillent avec une certaine insouciance cette aventure.

De même que Jean-Claude Dunyach apprécie aussi de revisiter certains motifs du genre comme la quête d'un trésor gardé par un dragon. Ainsi, dans L'Empire du Troll, l'auteur nous colle aux basque d'une drôle d'équipée, bien décidée à s'improviser cambrioleurs. Et comme on peut s'y attendre, rien ne va se passer comme prévu, pas même l'emplacement exact du fameux trésor.

J'avoue que le style de ce cycle est très rafraîchissant. L'auteur n'est pas avare en situations cocasses surtout quand il s'agit de malmener quelque peu ses personnages. On se retrouve au coeur d'une aventure rocambolesque, bourrée d'humour, mais qui n'est pas exempt de sens.

En effet, L'Empire du Troll est une satire loufoque du capitalisme. Jean-Claude Dunyach profite de son récit pour s'interroger et nous interpeller sur les dérives de notre modèle économique. Il soulève le problème des crédits à la consommation galopants, de la dévaluation de la monnaie ou encore des crises financières qui n'ont finalement de conséquences que sur les classes sociales les plus pauvres.

Par le biais d'un humour mordant et d'un merveilleux omniprésent, Jean-Claude Dunyach tient un propos très intelligent et fait une analyse fine de notre société... suite sur Fantasy à la Carte.
Lien : https://fantasyalacarte.blog..
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Dans ce dernier tome des aventures du Troll, Jean-Claude Dunyach place son personnage fétiche face aux déboires économiques de sa chère et tendre, qui risque de perdre son salon de coiffure suite à un investissement plus qu'hasardeux. Il va donc de nouveau être question de profits et de management, le tout à la sauce Fantasy, et il ne faut pas y regarder de très près pour y voir une critique acerbe - et justifiée - de notre société de consommation. L'humour est bien sûr toujours présent et certaines scènes sont de jolis clin d'oeil à des films célèbres. Un joli dépaysement !

La suite sur mon blog :
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Au lieu de se faire bêtement la guerre avec des épées coupantes et des cottes mal taillées, les humains devraient régler leurs conflits par des concours de défilés. Il y aurait des uniformes chamarrés, ajustés pour mettre en valeur leurs muscles ou leurs reliefs, de la musique rythmée, un char ou deux. Ou douze. On pourrait y aller en famille ; le soir, tout le monde rentrerait chez soi. Mais c’est une idée trop compliquée pour eux, visiblement. Avec le bruit que font leurs armes, ils ne s’entendent plus penser.
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La flatterie est une technique de management comme les autres, qui a l’avantage de ne pas nécessiter de budget.
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Le ciel et l’enfer n’ont qu’une durée de vie limitée. Ils meurent en même temps que ceux qui croient en eux. Comme les dieux ou les plantes d’intérieur.
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Les humains ont une surface. Certains ont même une épaisseur. Mais la véritable densité ne se trouve que chez les trolls. Quand j’observe ma compagne, je mesure la chance que j’ai et ma gorge se serre. Elle est solide, compacte, belle comme une aiguille de pierre au sommet d’une montagne. Il me vient des idées d’escalade, vite réprimées. Ce n’est pas le moment.
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On ne peut pas s’enrichir avec la vérité, elle appartient à tout le monde. Au moins, les mensonges sont protégés par le droit d’auteur.
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Videos de Jean-Claude Dunyach (31) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Claude Dunyach
Silène Edgar nous parle de ses deux derniers romans, de ses découvertes littéraires du moment, de Jean-Claude Dunyach, son parrain d'écriture, et bien évidemment des Imaginales.
L'autrice assure chaque année la coordination du speed dating auteurs - éditeurs des Imaginales avec Élise Dattin.
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