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![]() | Danieljean 13 avril 2020
Le corps est vu chez nous sous un angle étroit, comme un instrument qui permet d'exister dans le monde, d'y faire sa place et de se rendre utile. Il est entraîné et utilisé comme un objet qui doit être en bon état, solide, élastique et bien huilé, apte au travail et capable de fonctionner sans accrocs. C'est ainsi que l'on traite le corps que l'on a, celui dont le fonctionnement – les canons du sport le montrent bien – a très peu à faire avec la maturité intérieure, sans même parler de la voie initiatique. Tout change quand, au lieu de garder le corps en bon état et de l'entraîner en vue de performances visibles, on le met au service de la transformation intérieure. Cette fois il ne s'agit plus du "corps que l'on a" mais du "corps que l'on est", et c'est là une différence essentielle pour la thérapie de la personne.
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![]() | Danieljean 13 avril 2020
Une nouvelle vie commence pour celui qui prend conscience de la chance et de la tâche qui lui sont imparties, car transformer nos corps en conformité avec l'Être est une œuvre qui l'accompagne dans toutes les situations de la vie.
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![]() | Une_aurore 20 novembre 2019
Aujourd'hui je sais qu'il y a, par la voie initiatique, un moyen d'abolir consciemment les limites du moi et de les dépasser : supporter l’insuportable. S'arrêter à la frontière du concept et le supporter. Alors naît la chance d'être accueilli par quelque chose de Tout Autre. Plus encore : quelque chose de supranaturel s'éveille en notre conscience et efface toutes les limites. Un instant avant on était « dehors » et tout à coup on est « dedans » et en même temps curieusement « chez soi ».
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Jésus était-il vraiment Juif ?