Grâce à la masse critique d'un mois de septembre, j'ai reçu ce livre.
En lisant la 4ème de couverture, cela m'a déjà laissé pantoise : un cahier notes.
Le titre, Astéroïdes, m'a egalement interpellé.
J'ai commencé, j'ai lu, et la... j'étais perdue... le style, haché par des virgules, des phrases incomplètes, je n'ai pas aimé et surtout, je n'ai rien compris !
J'ai eu l'impression que l'auteur a collé des mots, des morceaux de phrases les uns à côté des autres...
Peut être n'ai je pas encore la maturité pour ce genre de lecture, en tous cas l'auteur m'a perdu à la page 4 et chose extrêmement rare, je ne suis pas allée au bout....
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C'est vraiment dommage. J'ai reçu ce livre grâce à la masse critique. Son titre stipulait "Astéroïdes". Pourquoi pas ! La description était, il est vrai, un peu complexe à comprendre si on la lit trop vite mais je voulais vraiment essayer la "Poésie expérimentale". J'ai été très déçu. Les phrases sont beaucoup trop longues pour être comprises et même avec beaucoup de volonté, j'en oublie le début avant d'arriver à la fin. On a l'impression qu'il n'y a aucune cohérence, aucune logique et que les mots sont mis là presque au hasard. Je suis désolé pour l'auteur si il lit ce message mais c'est ce que je pense.
Cette première expérience de la poésie moderne ne m'as pas plus et risque malheureusement d'être la dernière...
[Je ne conseille pas de lire ce livre] sauf si vous voulez vraiment vous prendre la tête à essayer de trouver le sens des phrases.
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J'ai reçu ce carnet suite à ma participation à la masse critique du mois de septembre et j'avoue avoir été intriguée en lisant le résumé. Je m'y suis donc plongée avec curiosité, n'étant pas, il est vrai, coutumière de ce genre de littérature.
Et là, cela a été très déstabilisant, malgré plusieurs essais, je n'ai pas dépassé les premières pages. Je n'ai pas su percevoir la cohérence de l'ensemble. je pense que cet ouvrage est à réserver à des initiés dont je ne fais malheureusement pas partie.
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Dans la cours, attablement depuis tout un temps indéchiffrable, littéralement, on n'y connaît pas les chiffres [Et il les lui faudrait connaître, ces chiffres, à la lettre près], faute d'une horloge ou de tout autre instrument donnant l'heure, et depuis un instant, celui où vient s'inscrire le nom d'instrument, tel un piano mécanique partiellement dissimulé dans le feuillage de l’hortensia [abondant jusque dans les hauteurs des murs en présence] exécute la partition que donnent les cartes perforées en son coffre.
Mais une note, est ce qui survient, quant au commencement du volume, comme s’il n’y avait pas volume du volume, les cinq cahiers ne se-raient rien, rien encore, l’on redoute le roman fleuve, quoiqu’il en soit des interruptions succes-sives, et à cet égard, un survol en est-il possible ?