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Paul Bona (Autre) Giacometti (Autre)Irène Frachon (Autre)
EAN : 9782413039396
200 pages
Delcourt (04/01/2023)
4.53/5   188 notes
Résumé :
En 2007, au CHU de Brest, de nombreux cas d'atteintes cardiaques inexpliquées attirent l'attention de la pneumologue Irène Frachon. Ses recherches mettent en cause le Mediator, coupe-faim des laboratoires Servier, dont le principe actif avait conduit au retrait de l'Isoméride en 1997. Celui du Mediator sera effectif en 2009. Depuis, elle poursuit son combat pour l'indemnisation des milliers de victimes..
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Critiques, Analyses et Avis (37) Voir plus Ajouter une critique
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J'avais entendu parler de cette affaire car j'ai été également un utilisateur de médicament coupe-faim proposé par l'entreprise pharmaceutique Servier. Il y a eu le scandale de l'isoméride puis celui du médiator proposé par la même firme.

Il y a eu beaucoup de morts pour enrichir les caisses du chef d'entreprise et milliardaire Jacques Servier. Ce dernier est décédé avant son procès ce qui lui a permit d'échapper aux foudres de la justice. Il a eu une belle vie jusqu'à ses 92 ans.

Il a même été décoré de la croix de la légion d'honneur par le président Sarkozy lui-même qui le tenait en grande estime. A noter qu'on ne peut plus lui retirer à titre posthume cette dignité en raison de la réglementation. Tant pis s'il a provoqué la mort de milliers de personnes. C'est à se demander si cette haute distinction conserve son caractère d'intégrité.

A noter que son patron d'entreprise fichait ses salariés en ne gardant que ceux qui le louaient dans ses idées politiques. La CNIL a bien tenté de dénoncer ses pratiques au parquet mais l'affaire a encore une fois été déclaré sans suite. Pourtant, c'était extrêmement grave.

Les Laboratoires Servier ont tout de même été condamné à 2,7 millions d'euros d'amende pour tromperie aggravée et homicides involontaires ce qui est dérisoire face à leur chiffre d'affaire. Inutile de dire qu'ils ont fait appel de la décision et que l'affaire est toujours en cours. Ce scandale de santé publique a quand même touché des milliers de victimes. Aux USA, à titre de comparaison, pour trois fois moins, on obtient assez souvent des milliards d'indemnisation.

Cette BD est là pour nous rappeler dans le détail ce qui s'est passé au juste. La scène d'ouverture a provoqué chez moi un grand effroi. On ne se rend pas compte que c'est un crime chimiquement pur presque parfait. Cela a atteint les valves du coeur de 300.000 français avec des conséquences parfois mortelles.

J'éprouve beaucoup d'admiration pour Irène Frachon, cette courageuse pneumologue brestoise, qui a mené le combat d'une vie contre ce puissant groupe pharmaceutique qui a attaqué l'ensemble des ses détracteurs en justice. Il n'y a pas plus procédurier afin de faire taire toute velléité et surtout la vérité. C'est vraiment infâme comme procédé sachant qu'il avait les pouvoirs politiques à sa botte ainsi que la puissante agence du médicament qui joue normalement le rôle d'un régulateur indépendant.

J'ai retenu que le corps des femmes constituent un puissant enjeu commercial avec toutes ces publicités qui incitent à maigrir. Il faut dire que la plupart des victimes étaient des femmes qui étaient majoritairement en bonne santé et qui voulaient juste perdre quelques kilos de trop.

J'ai également vu qu'il y a véritablement des conflits d'intérêts entre les médecins généralistes qui prescrivent ces médicament suite aux visites médicales de belles jeunes femmes blondes de préférence envoyées par les puissants laboratoires. Evidemment, cette situation peut nuire aux patients. Pas les blondes, le lobbying !

Enfin, il s'agirait d'en finir avec l'impunité qui touchent les gens les plus riches et qui sont vus comme d'honorables entrepreneurs par les pouvoirs publics en s'abreuvant de leurs subventions. le dealer de cannabis risquera plus gros qu'un puissant laboratoire pharmaceutique qui a causé certainement la mort de milliers de gens. C'est la fameuse justice à deux vitesses qu'on voit encore à l'oeuvre aujourd'hui.

Je pense que cette BD m'a marqué au point où j'ai jeté tout mes coupes-faim à la poubelle. En même temps, j'ai apprécié que l'auteure Irène Frachon n'a pas fait d'amalgame avec la vaccination anti-COVID prise à tort selon elle pour un médiator bis. On n'est pas dans la conspiration. Elle s'attache à des faits et des cas concrets qui seront exposés pour soutenir sa démonstration.

J'ai rarement lu une BD aussi engagée et aussi bien construite pour nous décortiquer ce scandale. J'avoue qu'après lecture, je comprends beaucoup mieux. Je ne peux que vous inciter à la lire avant qu'elle ne soit interdit par la justice aux mains de ces prestigieux laboratoires pharmaceutiques qui font la pluie et le beau temps sur notre santé collective. A méditer sur le médiator !
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On a tous entendu parler du scandale du Mediator dans le domaine de la santé, mais qui sait exactement de quoi il s'agit ?
Irène Frachon, médecin à l'hôpital de Brest, a été la principale lanceuse d'alerte et elle a choisi de raconter son combat en s'associant à un journaliste, un dessinateur et un coloriste, un moyen de toucher le grand public de manière pédagogique.
Si je vous dis que je l'ai lu d'une traite comme un polar... sauf que quand même je connaissais la fin...;-)

En 2007 Irène Frachon est intriguée par la mort d'une de ses patientes par hypertension artérielle pulmonaire, un cas rare.
Elle apprend que d'autres patients meurent avec les mêmes symptômes, et avec le même point commun, avoir pris du Médiator.
Mais en s'informant elle se rend compte qu'un médicament similaire, toujours du laboratoire Servier, avait déjà été interdit à cause de symptômes ressemblants.
Va suivre une folle enquête qu'Irène Frachon va prendre à coeur afin de comprendre et d'empêcher d'autres morts.
Mais elle s'attaque à très gros, le lobby pharmaceutique d'abord, et surtout le laboratoire Servier qui a fait fortune notamment grâce au Médiator, ce médicament contre le diabète prescrit à des millions de femmes dans le monde comme coupe-faim et et qui emploiera tous les moyens pour que personne ne se mette en travers de sa route !

Le sujet est passionnant et il est particulièrement bien raconté et dessiné!
L'album a beaucoup de rythme, l'enquête est entrecoupée par les témoignages des victimes, par la présentation de Servier et de son laboratoire, et par un petit personnage, Hippocrate, qui rappelle les données médicales et éthiques...
Les dessins sont très expressifs et les couleurs pastel restituent bien les différentes atmosphères de l'histoire.
Saluons l'incroyable courage d'Irène Frachon qui, si elle a été soutenue par sa famille et sa hiérarchie, a été abandonnée et même menacée par la plupart de ses autres interlocuteurs.
Voilà une très belle bande dessinée à découvrir et à offrir !
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Hôpital de la cavale blanche, Brest, février 2007. Ce jour-là, le docteur Irène Frachon, pneumologue, visite l'une de ses patientes « HT AP », c'est à dire souffrant d'hypertension artérielle pulmonaire (une maladie rare), qui, parmi d'autres médicaments, prend du Mediator. Aussitôt, cela lui rappelle l'affaire de l'Isoméride, ce fameux coupe-faim, qui a abouti, des années auparavant, à son interdiction de par sa dangerosité. Deux médicaments fabriqués par le même laboratoire Servier et issus de la même recherche et de la même famille. Pour autant, Servier décide de le vendre pour traiter le diabète et prétend qu'il n'a aucun effet coupe-faim, permettant ainsi son remboursement par la Sécurité Sociale. Les médecins prescrivent à tout-va. Aussi, Irène est-elle effarée de voir que 10 millions de personnes en prennent. Lorsque plusieurs cas de valvulopathie (dysfonctionnement des valves du coeur) sont détectés, la pneumologue s'en étonne d'autant que la plupart des personnes prenaient du Mediator. Dès lors, elle va se lancer, corps et âme, dans un combat qu'elle sait inégal...

Tout le monde connaît l'affaire du Mediator et la firme pharmaceutique Servier, du nom de son président, Jacques Servier. de même qu'Irène Frachon, l'une des premières lanceuses d'alertes concernant cette entreprise, même si, on le découvre dans cet album, des alertes et des mises en garde avaient déjà été formulées des années auparavant, sans que personne ne s'en inquiète. Cette pneumologue, à force de pugnacité et de courage aussi, va effectuer un long travail de recherche afin de prouver que le Mediator est bien responsable des cas de valvulopathie. Si certaines patientes en garderont des séquelles, d'autres en mourront. Cet album, dense, richement documenté et particulièrement instructif, est le fruit de la collaboration d'Irène Frachon et d'Éric Giacometti qui, lui, avait déjà enquêté sur l'Isoméride quand il était journaliste au Parisien, avec l'aide cruciale de scientifiques, collègues, hommes politiques et journaliste. Autant dire qu'ils maîtrisent leur sujet sur le bout des doigts. Outre cette enquête passionnante mais terrifiante, les auteurs ne manquent pas de donner la parole aux victimes et de révéler les dessous et les manipulations machiavéliques de la firme Servier. Des pratiques que la firme conteste encore aujourd'hui.
Un album aussi prenant qu'effroyable sur un scandale sanitaire qui dure... depuis plus de 60 ans !
En France, l'on estime, aujourd'hui, le nombre de décès entre 1300 et 1800, voire 2200.
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Grâce au groupe Delcourt, que je remercie, j'ai lu le roman graphique : Mediator, un crime chimiquement pur.
En 2007, au CHU de Brest, de nombreux cas d'atteintes cardiaques inexpliquées attirent l'attention de la pneumologue Irène Frachon.
Ses recherches mettent en cause le Mediator, coupe-faim des laboratoires Servier, dont le principe actif avait conduit au retrait de l'Isoméride en 1997. Celui du Mediator sera effectif en 2009.
Depuis, elle poursuit son combat pour l'indemnisation des milliers de victimes..
Mediator, un crime chimiquement pur est un roman graphique qui m'a captivé et aussi, je l'avoue, révolté !
Je ne comprend pas comment un tel scandale a pu atteindre une telle ampleur alors qu'il y a eu des alertes, bien avant 2009.
Beaucoup savaient, d'autres se doutaient, mais il a été tellement plus facile de faire comme si tout allait bien.
Heureusement que les lanceurs d'alerte n'ont pas lâché l'affaire, sans eux le Médiator serait peut-être toujours commercialisé.
J'ai apprécié les illustrations, la colorisation.
Le fond est très intéressant, j'ai appris énormément de choses sur cette affaire dont j'ai évidemment entendu parler. Mais j'avoue ne jamais m'y être intéressé plus que ça auparavant.
J'ai aimé cet ouvrage pour son coté instructif.
Mediator, un crime chimiquement pur est un très bon roman graphique que je vous invite à découvrir et note cinq étoiles.

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Je connaissais déjà un peu l'affaire du médiator mais cette BD m'a attiré car elle reprenait l'ensemble de l'affaire et que Irène Frachon, fidèle à elle-même, reversait ses droits à l'association qui édite la revue Prescrire, la seule indépendante des publicités des labos.
J'ai tout de même découvert beaucoup de choses que les articles que j'avais lus ou le film »la fille de Brest » ne précisaient pas. Cette BD m'a permis de voir le sujet un peu plus largement (avec de nombreuses références citées) et çà me semble aller très au-delà du « crime en col blanc » décrit en 4° de couverture.

Il y a bien sûr l'attitude du laboratoire Servier (et de son patron, figure indissociable) qui préfère vendre son médicament plutôt que d'admettre ses effets dangereux et qui n'hésite pas à utiliser tous les moyens de pression. A l'autre bout, il y a bien sûr les victimes qui pensaient prendre un médicament inoffensif réglant juste un problème de surpoids pour beaucoup d'entre elles (souvent doublement manipulée par Servier pour le médicament et par tous ceux qui propagent des canons de beauté voire de santé poussant à la maigreur).
Mais beaucoup d'autres choses me semblent gênantes, à commencer par la faiblesse de peines prononcées pour les gens qui savaient ce qui se passaient. Bien sûr il ne faut pas généraliser mais on finit par se poser des questions sur à qui peut-on faire confiance : pas les labos, pas l'agence du médicament (à laquelle on peut au moins reprocher sa lenteur et sa prudence plus forte vis-à-vis des risques économiques et juridiques que de santé), pas les journalistes (les premières décisions n'ont pas vraiment été médiatisées et pourtant l'information des utilisateurs était essentielle), pas les politiques (avec l'exception notable du député Gérard Bapt … hommage à mon député-maire de l'époque), pas les chercheurs (dont certains ont préféré témoigner favorablement au Mediator pour garder les financements de Servier) mais surtout … pas les pharmaciens et les médecins ….

Car il ne s'agit pas d'un médicament vendu en grande surface … il fallait une ordonnance et passer par une pharmacie … il fallait un médecin qui détourne un médicament de son objectif et un pharmacien qui le délivre … bien sûr, on dira qu'ils ont été trompés par Servier … mais combien de médecins prescripteurs parties civiles dans le procès ? et surtout que faisait le conseil de l'ordre des médecins dans cette affaire … dans ce livre il n'est cité qu'en tant que menace de sanction du Dr Frachon … Pourtant sa mission est de «défendre l'indépendance et l'honneur de la profession médicale auprès de l'ensemble de la société française » (site de l'ordre). « le respect de l'éthique et de la déontologie médicale est l'un des principaux champs de compétence de l'Ordre des médecins. » (idem), « rôle de veiller au maintien de la compétence et de la probité du corps médical » (idem)…et je passe sur l'appui aux médecins en difficulté notamment sur le plan juridique dont je doute que le Dr Frachon ait pu bénéficier … Alors bien sûr le conseil de l'ordre est intervenu après coup auprès des médecins pour identifier les patients qui en avaient consommé en rappelant dans son courrier à chaque médecin que « le collège d'experts a décidé d'écarter la responsabilité des médecins quand bien même ils auraient prescrit le médicament hors AMM » tant il devait craindre que certains préfèrent cacher que certains de leurs patients en avaient consommé quitte à les mettre en danger. Mais n'avait-il pas un rôle en amont ? A minima en favorisant la lecture de la revue indépendante « Prescrire » (abonnement = coût de la cotisation à l'ordre) ou peut-être en sanctionnant les médecins qui ont soutenus les thèses de Servier (des professeurs en santé publique qui enseignent donc aux étudiants….) … mais il est vrai que déjà par le passé le conseil de l'ordre a permis à un chirurgien condamné à 3 ans de prison pour des interventions chirurgicales injustifiées mais lucratives (Dr Rossignol) de continuer à exercer, infligeant juste un blâme…l'impunité relative dans la santé n'est pas réservée aux laboratoires.

Vous l'avez compris ce livre vous scandalise mais fait naître le doute sur de nombreuses entreprises, professions, institutions. La dernière page refermée, il faut retrouver un peu d'optimisme et se convaincre que nous sommes entourés de médecins et pharmaciens consciencieux, de journalistes sérieux, de chefs d'entreprises remarquables, de femmes et d'hommes politiques soucieux des citoyens, d'institutions efficaces, … Je suis sûr qu'il y en a puisque j'en ai rencontré plus que des infréquentables !
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critiques presse (4)
Bedeo
23 janvier 2023
Une enquête qui dévoile le cynisme et l’immobilisme face à l’argent de l’industrie pharmaceutique.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Telerama
16 janvier 2023
À travers la bande dessinée, elle voulait toucher le grand public, faire comprendre aux citoyens un dossier complexe en s’appuyant sur des techniques narratives différentes. Avec son livre sur le Mediator, les 2 400 pages du premier procès et mes enquêtes sur l’Isoméride, nous avions toutes les pièces du puzzle, restait à les assembler.
Lire la critique sur le site : Telerama
LeMonde
10 janvier 2023
Tout au long du récit, un personnage, toge sur l’épaule et sandales aux pieds, se promène de page en page : c’est Hippo – Hippocrate, symbole de l’éthique médicale.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LigneClaire
06 janvier 2023
Un album de combat dessiné par François Duprat. Des morts inexpliquées comme celle de Pascale, elle prenait du Mediator.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Le verdict du procès du Mediator n'a pas abouti à une peine de prison ferme. Pas de fermeture ou de mise sous tutelle du labo délinquant, seulement une amende symbolique.
On parle de milliers de morts et de dix fois plus de handicapés à vie.
Un labo qui vend à des milliers de personnes des amphétamines maquillées en médicaments prend moins cher qu'un dealer de cannabis.
(p. 187)
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Prochain objectif : imposer le triple hamburger king size et la frite mayonnaise dans toutes les écoles du pays.
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Dans le cerveau d'un lanceur d'alerte :
- Servier savait que c'était un poison !
- Isomédrine, médiator...des récidivistes, ça suffit.
- Je dois dénoncer ce crime. J'ai toutes les preuves.
- L'AFSSAPS fait n'importe quoi, c'est honteux.
- J'arrive pas à y croire, je dois raconter ce que j'ai vu et entendu.
- Si je ne le fais pas, personne ne le fera jamais.
Commenter  J’apprécie          50
Irène lit Prescrire, la principale revue médicale qui refuse la publicité des laboratoires pharmaceutiques.
En France, la presse professionnelle médicale est florissante. Elle traite de l'actualité reglementaire de la profession, des découvertes sur les maladies...
... Mais aussi et surtout des médicaments. Et là c'est le hic...
... Ces revues vivent de la manne publicitaires des laboratoires.
Résultat? Tout n'est que progres et promesse de bonheur dans le monde merveilleux du comprimé.
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En France, la presse professionnelle médicale est florissante. Elle traite de l'actualité réglementaire de la profession, des découvertes sur les maladies...
Mais aussi et surtout des médicaments. Et là c'est le hic...
Ces revues vivent de la manne publicitaire des laboratoires.
Résultat ? Tout n'est que progrès et promesse de bonheur dans le monde merveilleux du comprimé.
Par contre, on traite à dose homéopathique les effets secondaires des médicaments.

"Cachez cet effet indésirable que je ne saurais voir !!!"
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Videos de Irène Frachon (23) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Irène Frachon
avec Rony BRAUMAN, essayiste, médecin, Guerres humanitaires ? mensonges et intox (Textuel), Irène FRACHON, pneumologue, Mediator, un crime chimiquement pur (Delcourt) animée par Jean LEBRUN, journaliste
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