Tout ce qu’on dit, pense ou fait a un impact sur l’inconscient collectif. Il n’y a pas de séparation possible puisque tout est relié et que nous ne sommes qu’une seule cellule. Ainsi, lorsque tu travailles sur toi, tu travailles à alléger l’inconscient collectif. Plus les gens commencent à accepter cette loi de l’Univers comme une réalité, plus les gens se rendent compte qu’avant même d’avoir désiré quelque chose, c’est déjà là.
Dès lors que l’on est conscient de quelque chose, on en est responsable. Responsable au sens où l’on y a contribué volontairement ou involontairement, consciemment ou inconsciemment, par un comportement qui n’était ni en conscience ni en présence. Les deux mots essentiels à retenir sont présence et conscience : c’est ce que veut dire être responsable. Attention, ne va pas confondre avec coupable – tu es responsable mais pas coupable si ce qui se produit est d’ordre inconscient.
Dans les cultures des îles, on ne connaissait pas les concepts de péché et de culpabilité. L’unicité et la non-séparation faisaient partie du quotidien.
Si un acte était commis, par exemple, un vol, un viol, un mensonge, un meurtre, qu’importe, tous prenaient la responsabilité de ce geste. Je dis bien responsabilité et non culpabilité…
Dans plusieurs approches des dernières décennies, on encourageait la personne à adopter la pensée positive, ce qui conduisait parfois à nier le fait qu’elle ressentait de la douleur. On encourageait la personne à dire le contraire de ce qu’elle sentait.
La beauté est souvent que la personne trouve sur son chemin la maison ou l’appartement parfait pour y œuvrer selon ce qu’est sa mission sur terre.