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4,25

sur 4439 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Mon premier livre de l'auteure, je ne l'a connaissait pas du tout je me.demande bien pourquoi
L'histoire...notre personnage principal se dit suivie dans la rue elle ne se sent plus en sécurité jusqu'à dans son appartement, un flic la croit et surveille son habitation, mais rien ne va se passer comme prévu...
je vous laisse lire le livre pour savoir le reste de l'histoire
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J'ai adoré ce thriller. On plonge dans la folie avec Cloé, et on n'a envie que d'une chose : connaître la fin. La plume de Giebel est d'une précision désarmante. Elle décrit parfaitement les émotions de chaque personnage, et encore plus celle de Cloé, on a l'impression de rentrer dans la peau du personnage. La fin a été époustouflante.
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Espoir, lumière, optimisme, joie et allégresse ne font décidément pas beaucoup parti du vocabulaire de Karine Giebel, mais on ne va pas s'en plaindre...des l'instant où on aime le genre.
Elle a l'art et la manière de nous plonger dans son univers et sa plume est d'une telle facilité à lire et on s'implique tellement dans sa lecture qu'il est difficile de lâcher le morceau.
Ses acteurs dans son livre sont aussi attachants que détestables pour certains et on ne sait plus trop à quel sein se vouer pour définir les victimes de celles qui ne le sont pas, c'est très déroutant et tellement prenant. le personnage clé, dit la victime, ne merite-t'elle pas un peu ce qui lui tombe dessus? Son caractère et son attitude font qu'on se pose sincèrement la question à plusieurs moments et ce n'est pas l'envie de rentrer dans le bouquin pour lui foutre un baffe qui m'a manqué 😉
Bref, je ne vais pas épiloguer trop longtemps sur l'histoire ou les personnages, je risquerai des spoiler et de gâcher la surprise à certains et je m'en voudrais.
Il n'empêche que pour celles et ceux qui connaissent le style Giebel, sachez qu'elle ne déçoit pas et qu'elle reste fidèle à ses habitudes : torturer ses personnages jusqu'au bout ( à se demander si elle ne prend pas ses lecteurs pour des personnages car elle ne nous ménage pas et nous torture tout autant qu'eux 😨)
Note à moi-même : ne plus jamais, JAMAIS, s'attacher au moindre personnage dans un futur livre de Karine Giebel....😉
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Juste une ombre est un polar captivant ! Dès les premières pages, le lecteur est plongé dans l'histoire pour ne la lâcher qu'à la dernière phrase ! Même si le postulat de départ est assez classique ( une femme se pensant traquer par un psychopate mais que ses proches croient folles), Karine Giebel réussit à ce que l'on ait des ressentis contraires. En effet, parfois on se dit que Cloé est vraiment persécutée puis quelques pages après, on en doute comme ses amis et quelques fois elle-même. L'incertitude et le suspense tiennent le lecteur en haleine jusqu'au bout. le récit est très bien construit, l'atmosphère pesante allant crescendo et les différents personnages gravitant autour de Cloé pouvant être des suspects potentiels s'il est avéré que cette dernière est vraiment la proie d'un être machiavélique. En même temps, on assiste à la « déchéance » de Cloé qui décide de ne pas se laisser faire mais qui voit sa vie amoureuse et sociale partir en lambeaux alors que cette femme était un roc que tout laissait de marbre. A vous de découvrir si la descente aux enfers de Cloé est le fruit de son imagination ou une machination orchestrée de main de maître….

Je vous conseille fortement Juste une ombre de Karine Giebel !

Lien : http://mapetitebibliotheque...
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Je crois bien la première fois que je suis tant bouleversée après une lecture !
Ce roman est... difficile de le décrire en un mot... bouleversant ça oui...

Nous suivons ici Cloé Beauchamp, 37 ans, une femme sûre d'elle, égocentrique, hautaine, prête à tout pour être parfaite, arrogante.
Elle a tout, une belle carrière, un amoureux, une meilleure amie fidèle...
Il est difficile d'avoir de la sympathie pour elle, mais peu à peu son mur armé s'abaisse et on la voit bien plus docile, plus fragile, même si son tempérament revient vite au galop.
Cela commence le jour où elle a l'impression d'être suivie dans la rue, elle se retrouve nez à nez avec « une ombre ».
Après cet événement, la vie de Cloé bascule, elle a l'impression de voir cet ombre partout, que les objets dans sa maison sont déplacés, que son garage, pourtant fermé, est d'un coup ouvert, elle sombre.
Elle a l'impression de devenir folle, ou du moins que tout le monde la prend pour une folle à lier.
Sa carrière professionnelle s'en ressent, ainsi que dans sa vie personnelle, amitié ou amour, elle s'isole.

En parallèle, nous suivons également le Commandant Alexandre Gomez, un homme de 42 ans, marié à une femme gravement malade, paraissant sûr de lui également, avec des pratiques assez violentes moralement comme physiquement pour appréhender ses « victimes », ses collègues aussi, son entourage.
Mais ce qu'il parait être, ne l'est pas du tout, il n'a juste plus rien à perdre, il ne souhaite plus se prendre la tête avec la vie, tout simplement, ce qui le rend finalement un homme abrupt, mais un personnage intéressant à psychanalyser, j'ai eu énormément de sympathie pour lui, beaucoup.

Leurs chemins vont se croiser, offrant une jolie histoire d'amour, un espoir pour Cloé.

J'ai ressenti beaucoup d'émotions en lisant ce roman, c'est un page-Turner, difficile de le lâcher, nous sommes alpagués dès les premières pages, nous aussi nous avons envie d'hurler, de fuir, nous sommes nous aussi oppressés.
Un sacré suspense, un sacré roman.
Nous n'avons pas l'impression de lire 600 pages, se lit à une vitesse folle.

Harcèlement, manipulation, tout en restant dans l'ombre, de quoi devenir fou, un roman noir incroyable, avec une fin suffocante.
J'en reste bouche bée, mes yeux remplis de terreurs aussi.
Ce roman restera ancré dans ma mémoire.

CHALLENGE SOLIDAIRE 2023
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Merci aux Babélios qui m'ont conseillé la lecture de "juste une ombre".

Déjà six cent vingt quatre critiques "babélio" !

§ Thriller excellent

§ Personnages principaux :

- Une ombre : réelle ou imaginaire ?

- Cloé Beauchamps : belle femme ambitieuse - peu sympathique - paranoïaque ou victime d'un psychopathe ?

- Alexandre Gomez : commandant de police - anéanti suite au décès de son épouse - propose de l'aide à Cloé.

§ 600 pages qui se dévorent et dans lesquelles s'entremêlent ambition, jalousie , drame, violence, suspens, angoisse...

Excellent roman.
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Alors là bravoo !! Moi qui me suit nourrie de kilos d'Agatha Christie, je suis assez fière de trouver assez souvent le dénouement des intrigues... et effectivement, vers la toute fin de ce récit qui nous entraîne dans la vie de Cloé harcelée jusqu'à devenir folle... je me suis attachée aussi bien à Cloé qu'à Alexandre et j'ai deviné ce qui se cachait derrière l'OMBRE.
Et pourtant ! elle m'a quand même eu !! la dernière page est un coup de maître alors bravo Mme Giebel pour ce final qui m'a fait tellement plaisir que je l'ai lu plusieurs fois. de quoi donner l'envie de lire d'autres romans de cette auteur, avec des respirations car cette histoire reste dans la tête, une vraie réussite.
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Mon premier thriller de Karin Giebel et franchement bravo!
Jusqu'au bout, on est tenu en haleine et nous vivons l'histoire avec les héros...
Jusqu'à la fin j'ai espéré une fin moins réaliste....

En tous les cas, je ne connaissais pas et merci aux lecteurs qui me l'ont fait découvrir.

Il est certain que je vais en acheter d'autres d'elle.

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L'écriture de Karine Giebel est comme toujours très abordable et j'ai donc été très facilement absorbé par les évènements, au point de me retrouver comme un boxeur acculé dans les cordes, incapable de réagir. Car tout l'art de cette auteure réside dans sa façon de nous mettre en empathie profonde avec l'héroïne et de ressentir avec force tous ses sentiments les plus variés. Elle nous fait continuellement naviguer entre la certitude du complot et les troubles de la paranoïa, et crée une tension permanente qui nous étouffe dans les scènes les plus stressantes et reste latente dans les passages plus calmes. La lumière n'a pas lieu d'être dans le tunnel de l'obsession et j'ai sombré avec plaisir.

Karine Giebel se positionne une nouvelle fois comme la reine du thriller psycholoqique. Elle surpasse même les grands spécialistes du genre, dans sa manière de repousser les limites, de ne pas retenir ses coups et de nous assommer sans tenir compte de la morale.
Grande claque!
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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Cloé est cadre dans une agence de pub. Elle vit en couple avec Bertrand. Un soir, en rentrant d'une soirée arrosée, elle est suivie par un type dont elle ne pourra pas discerner le visage puisqu'il porte une capuche. Mais à part la grosse frayeur qu'il cause à Cloé, il disparaît comme il est apparu. Néanmoins, la vie de la jeune femme va en être bouleversée à jamais...

Karine Giebel met en scène ici un personnage principal a priori très sûre d'elle et pour cela très antipathique : le genre de nana qui se croit supérieur au commun de mortels, qui est prête à écraser tout sur son passage pour arriver à ses fins, en particulier dans le domaine professionnel, et qui, dans sa vie privée, se croit aussi le metteur en scène de marionnettes qu'elle peut diriger à sa guise. Elle possède un ego démesuré. La moindre flatterie la faît décoller très haut.

Mais Cloé ne sait pas qu'elle est entourée de gens aussi manipulateurs qu'elle, dans des domaines variés. Elle qui croit tout savoir, mais qui, en fin de compte, ne voit pas grand chose, sauf une seule, que personne ne voit, ("l'Ombre" qui la harcèle) va le payer cher. Voilà pour le côté négatif du personnage. J'ai détesté Cloé, même lorsque j'ai découvert son secret. En vérité, tout cela n'est qu'une carapace : Cloé est également une femme très fragile dont un psychopathe aura trouvé la faille, la blessure originelle. Elle croise sur son chemin un flic, lui aussi blessé par la vie. le seul qui la comprenne. Evidemment, sans trop vouloir en dévoiler, il y a aura une historie d'amour entre eux... Mais oubliez les violons parce que c'est du "lourd" : ici pas de happy end et il faut lire ce roman absolument jusqu'à la dernière ligne !

J'ai englouti les plus de 600 pages de ce thriller palpitant où l'on ne s'ennuie pas une minute. J'ai apprécié la complexité des personnages et la manière dont Karine Giebel les "étudie". Elle amène le doute chez le lecteur à un moment donné, de celui qui vous faire remettre en cause tout ce que vous avez lu. A un moment, vous relisez le chapître précédent en vous demandant si le livre n'a pas un défaut dans sa conception matérielle... Vraiment, c'est trop fort ! le seul bémol en ce qui me concerne, c'est justement la toute fin du roman : j'ai trouvé cela un peu trop miraculeux, mais bon...

Je range ce thriller parmi mes coups de coeur 2013
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