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4,25

sur 4439 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Veritable coup de coeur parmis les thrillers français que j'ai pu lire, il tombe directement dans mon top 3 pour ce genre.

Suspense et manipulation jusqu'à la folie, la victime de ce harcèlement dont elle seule est persuadée qu'elle n'est pas folle le deviens par la force des choses, quand you le monde te tourne le dos en te croyant parano, cela doit être une véritable torture mentale.

Au fil de l'avancée dans le livre on se demande qui peut être le timbré qui harcèle notre victime, on se demande même si il existe, à vous de voir quand vous lirez le roman mais personnellement je n'avais pas trouvé la solution avant que Karine Giebel décide de nous révéler le fin mot de l'histoire.

600 pages qui passent très vite, écriture fluide, suspense et tension non stop, un veritable Page Turner.

Voir la chronique sur mon blog :
Lien : http://unbouquinsinonrien.bl..
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"Juste une ombre" de Karine Giebel est un thriller psychologique qui relate la descente aux enfers de deux êtres, soumis au remords et à la souffrance, qui se rencontrent, s'allient et tentent de vaincre leurs démons.

Tout d'abord, Chloé, jeune et jolie cadre carriériste sans scrupules. Prête à tout pour accéder au poste de directeur général bientôt vacant dans l'agence de publicité où elle travaille, elle se révèle autoritaire et arrogante. Tout se déroule selon ses plans, comme toujours, jusqu'au moment où l'Ombre - surnom qu'elle lui a donné - s'immisce dans sa vie sans dévoiler son identité ni ses véritables desseins. Au fil des jours, l'emprise de cet homme se resserre, l'ambiance devient étouffante et pourtant, Chloé n'est jamais en mesure d'en prouver l'existence. Son entourage et même la police la soupçonnent de paranoïa.

Ensuite, Alexandre Gomez, flic atypique, qui se trouve dans une période difficile de sa vie d'homme et de policier et qui en touche le fond.

Alexandre parviendra-t-il à aider Chloé, à élucider s'il y a réel danger ou simple délire paranoïaque ? Est-elle réellement manipulée ou complètement folle?

Karine Giebel tient le lecteur en haleine dans ce tableau très sombre. Elle nous entraîne dans les dédales de la psychiatrie ou l'apparence et la vérité se confondent. La construction nerveuse du récit est efficace, fondée sur des chapitres courts, qui s'alternent rapidement entre les différents points de vue, jusqu'au dénouement, inattendu.

Roman noir, fort comme les personnages qui l'animent, qui monte en puissance au fur et à mesure de la lecture. Je recommande ce roman terrifiant, angoissant mais tellement addictif que l'on ne voit pas défiler les pages


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Mon second Karine Giebel et je me demande comment j'ai pu passer à coté de cet auteur !!!! Car nous avons encore ici un très gros coup de coeur !!!

Cloé Beauchamps, 37 ans, cadre supérieur dans une boite de pub, prise un poste très haut placé à la direction. D'ailleurs le directeur général qui va bientôt prendre sa retraite lui propose sa succession. Mais Cloé ne va pas très bien en ce moment pourtant elle est une fille très forte avec de très grosses responsabilités dans son travail. Mais elle a une vie privée assez compliquée, elle est divorcée et son ex mari n'est pas tout à fait net. Elle a un amant assez régulier en ce moment, Bertrand. Mais elle commence à perdre pied, elle pense qu'on la suit, qu'une ombre rode autour de chez elle et lui veut du mal....
Cloé a eu une enfance assez compliquée, en effet à l'age de 11 ans elle a « tué » sa soeur de 8 ans. Un accident que Cloé n'a pas pu assumer. Elle a menti, un crime maintenant. Lisa, sa soeur est une morte vivante dans un institut, un hôpital affreux, où on ne s'occupe pas d'elle ou si peu...

Alexandre Gomez, commandant de police, sa femme est en train de mourir chez lui d'un cancer. Il n'en parle pas à ses collègues ni à son entourage. Cette vie assez spéciale, il n'a garde pour lui malgré qu'il consacre tout son libre pour sa femme.

L'auteur, Karine Giebel, par un jeu très habille et une belle pirouette fait se rencontrer Cloé et Alex. Pour Cloé c'est une bouffée d'air, enfin quelqu'un qui croit ce qu'elle dit. Pour Alex, c'est un échappatoire, car il reconnaît en Cloé sa femme mort il y a peut.

Un opus en deux parties. En effet, arrivée à une grosse moitié, l'histoire bascule. Je pense que c'est l'habitude de l'auteur de faire ce genre d'effet car elle l'vait également fait dans « Purgatoire des innocents » que j'ai lu, il y a peu. Il était d'ailleurs mon premier Karine Giebel et que j'ai vraiment beaucoup aimé !!!

Un thriller psychologique rudement bien mené. Une angoisse tout à fait présente tout au long de la lecture, des rebondissements qui ne laissent pas de marbre et une fin qui, malgré qu'elle soit assez triste, laisse un espoirs tout de même... la vengeance est toujours possible !!!
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Waouh mais c'est génial !!! Comment se fait-il qu'il a fallu que je m'inscrive sur Babelio pour découvrir cette auteure ??? Que font les médias ? J'écoute tous les jours France Culture depuis le sacre de Charlemagne et je n'ai jamais entendu son nom...Pas plus que dans des journaux soit-disant "culturels" ...Qu'est-ce que c'est que ce travail, mesdames-messieurs les critiques et les journalistes ? Vous ne savez pas lire ? C'est quoi qui ne va pas avec Karine ?
Karine, mon ange, tu es géniale, mais pour ces messieurs-dames du centre de Paris, il te faut un plan com plus élaboré. D'abord le nom, plus islandais, ou plus anglo-saxon, je sais pas, peut-être K. Giebelsdottir, un truc comme ça, Karine, pour eux, ça fait trop ma copine de 5ème au collège Saint Exupéry, 1983. En plus, K., c'est cool, y a une ambiguïté sur le genre, ça évoque Kafka (grand trip germanopratin) K. Dick, récemment entré en grâce, K. Rowling, qui les a eus par K.O ...Bref, K., c'est bon. Et puis ça ne peut pas se démoder, comme Marceline (Desbordes-Valmore). Marceline, c'est dur, pas plus que Marcel, c'est sûr, mais pour une femme, tout est toujours plus dur. Ah ! J'oubliais J. K. Huysmans ! Trop bien, le nom ! Ca fait tout de suite sérieux. Donc K. ...euh...Giebelsson. Voilà. Portes ouvertes à France Cu.
Excusez-moi d'avoir été longue, mais je suis scandalisée d'avoir tant entendu parler de romans poussifs, illisibles, ridicules, boursoufflés, gonflants, comme de chefs-d'oeuvre, alors que là, je tombe sur un texte splendide d'une auteure certes connue mais non point renommée et célébrée comme elle devrait l'être, et les Hautes Autorités l'ignorent !
Parce que tout est parfait là-dedans. On ne peut pas trop en dire, c'est un thriller, mais quand même cette ombre, elle a plusieurs niveaux d'existence. le livre a plusieurs paliers de lecture, les personnages ont un rapport à la mort et à la douleur très complexe. Des ombres, j'en compte au moins trois, voire quatre. l'Ombre, Lisa, Sophie, le Gamin. Il y a des jeux de miroir entre les personnages. Alexandre et Cloé appellent la mort, sont déjà morts une fois. Et ce final renversant !
Vite ! Un autre !
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Encore un GIEBEL avec lequel j'ai passé un excellent moment : une ombre traque notre héroïne, en plus personne ne la croit, du coup c'est elle qui est prise pour une folle.
Ce qui me plait avec Karine GIEBEL c'est que, même les héros et les héroïnes ont bien du mal à se sortir de la situation dans laquelle l'auteure les a placés, voire même pour certains ne pas s'en sortir du tout. Une vraie descente aux enfers, très lente et très douloureuse.
J'avais déjà expérimenté cette situation dans Chiens de sang (héros malheureux, très malheureux) et j'avoue que j'apprécie énormément.
Fini les "Il est beau, elle est belle, ils s'aiment et vécurent heureux pour toujours ....." , fini les happy end.
Mon livre préféré de K.GIEBEL reste pour l'instant le Purgatoire des Innocents (côté descente aux enfers ...)
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Même si c'est la canicule, Karine Giebel vous fera frissonner.
Cloé ( oui, oui, sans h ) se sent suivie, épiée, violée dans sa vie privée.
La peur prend dorénavant toute la place, s'insinuant partout, la suivant sans trêve.
Le pire : personne ne la croit, ni ses proches, ni la police.
La question alors se pose au lecteur : est-elle paranoïaque
( comme tout le monde le pense ) ou est-elle vraiment la cible d'un prédateur, d'un pervers ?
Ce n'est qu'en lisant ce haletant roman très très noir que vous aurez la réponse.
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Trop de superlatifs élogieux peuvent parfois nuire à un livre car, lecteurs insatiables, nous sommes aussi très exigeants et avons souvent tendance à espérer encore plus. Donc, je serai brève. Je me dois de préciser, d'entrée, que je ne suis pas fan de ce genre littéraire auquel je reproche souvent une écriture médiocre, des intrigues invraisemblables et tellement alambiquées que j'en perds le fil.
Une femme harcelée par un pervers (ou souffrant de troubles psychiatriques ?), un policier border line dont la femme est mourante. Voici donc le duo classique de tous les thrillers. On connaît la suite habituelle : ils se rencontrent, le policier mène l'enquête, le coupable est démasqué… et une relation amoureuse se noue entre les deux protagonistes (c'est vrai : je suis de mauvaise foi et je simplifie un peu trop !)
Si « Juste une ombre » débute en effet de façon traditionnelle, la comparaison s'arrête là.
Efficacité de l'écriture, unité d'action malgré des rebondissements époustouflants et inattendus mais toujours plausibles, des personnages de chair et de sang : Karine Giebel maîtrise l'intrigue de bout en bout, sans digressions ni personnages inutiles, nous prend dans les mailles du piège et nous entraîne dans la spirale infernale.
Happée dés la première page, je n'ai eu de cesse de le finir vite, vite: scotchée !
Merci donc à Canel, Veroblue et les autres qui, par leurs critiques, m'ont donné envie de le lire. Les vacances approchent : mettez le dans vos bagages, vous ne le regretterez pas !
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Très prenant ! Et, autant le dire tout de suite, très perturbant !

Le récit est extrêmement bien ficelé. le suspens est très présent d'un bout à l'autre du roman, sans inégalités. Par ailleurs l'histoire de Cloé ne laisse pas le lecteur indifférent, qui s'interroge régulièrement.

Chacun des protagonistes nous présente plusieurs facettes de sa personnalité et nous surprend sans cesse. Très vite des parallèles se mettent en place entre certains d'entre eux et dynamisent l'intrigue.

L'auteure arrive à nous transmettre tout un panel d'émotions, de la peur à la tristesse, en passant par l'humour, et cela dans les moments les plus inattendus.

La plume de Karine Giebel est tout simplement un régal ! Elle réussit à nous communiquer l'essence de chaque personnage et de chaque scène.

Elle joue avec nos nerfs et ménage un suspens haletant. Dans notre quête du coupable, on en oublie des choses élémentaires !

Mon premier Giebel, inutile de préciser que ce ne sera pas le dernier !
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Passer après 2211 lecteurs, 317 critiques... Que reste-t-il à dire?! Mais pourtant, ce livre m'a fait un tel choc que je suis obligée d'apporter ma pierre à l'édifice. Et ce même si les mots me manquent. Car rarement un livre m'a retourné à ce point, rarement j'ai ressenti après la dernière ligne ces minutes étourdissantes et sans mots, bouche bée. Soudain muette face à la quintessence du thriller, ce livre si controversé qui pour ma part s'est propulsé en tête de mon top 10. Il a même fini aussi sec dans ma liste pour une île déserte, éclipsant le pauvre Roald Dahl et sa chocolaterie enchantée de ma liste. C'est sûr que le registre n'a rien à voir. Mais il fallait faire un choix, et je sens que ce livre n'est pas près de me sortir de la tête... 5 étoiles me paraît bien peu au regard de ce que j'ai vécu et ressenti en lisant "Juste une ombre"...

Karine Giébel est connue pour ses romans très sombres, physiquement et psychologiquement très violents. Je comprends d'ailleurs que ça puisse choquer certaines personnes. Un tel degré de perversion,est rarement atteint dans un simple thriller. Mais justement, ici rien n'est simple, ce livre est une machine de torture aux rouages parfaitement huilés. Rien n'est de trop, rien ne manque, rien n'est laissé au hasard. C'est d'autant + surprenant que l'auteure n'a ni le physique ni le profil de l'emploi!

Où va t-elle chercher tout ça?! Comment fait-elle pour plonger aussi loin dans les ténèbres de l'âme humaine, sans pitié, sans détours, sans concessions. Franck Thilliez (avec tout le respect que je lui dois...) laisse déjà planer un doute sur sa santé mentale. Mais là... ce voyage sans retour me fait vraiment m'interroger sur cette auteure qui monte: qui est-elle vraiment?!

J'avais commencé la découverte de son univers en "douceur", par les 2 nouvelles du recueil "Maîtres du jeu". Si j'avais ainsi pu me faire une idée de son univers et de l'incroyable richesse de ses oeuvres, je n'étais pourtant pas préparée à ça! "Juste une ombre", c'est... c'est... le pire de l'être humain, sur le pas de notre porte. C'est terrifiant. Et aussi fascinant. Chaque fois on croit avoir atteint le pire, mais on n'est bien loin du compte. Ne comptez pas trouver ici la moindre note d'espoir, la moindre rémission, sachez où vous mettez les pieds en ouvrant ce livre.

Il aura fallu un projet de lecture commune avec Zohra051 pour que je franchisse le cap. Et si je ne regrette rien, je n'en suis pas sortie indemne. Ici, l'horreur et la souffrance sont la norme. Pas les petits tracas du quotidien, non. La peur, viscérale, le désespoir qui ronge les tripes, qui détruit à petit feu... Ici tout est noir, tout le monde est suspect. Même les personnages principaux, même la "victime", tous sont pourris jusqu'à la moelle. L'auteure plaît à jouer avec cette odieuse héroïne et avec... notre humanité. Car malgré le calvaire que devient la vie de Cloé, même si on ne souhaite cela à personne, pas même à son pire ennemi, c'est dur à avouer mais... je n'ai jamais réussi à la plaindre. Jamais...

Paranoïa, carriérisme, manipulation, obsession, psychose, rien ne nous est épargné, et on finit par douter que l'homme puisse encore être bon... Que faisons nous du cadeau qui nous est fait, celui de l'intelligence? Et bien dans bien des cas, ces capacités mentales sont plutôt une malédiction vu ce que l'être humain en fait. Autodestruction... L'univers où évoluent les personnages (milieu aisé, poste important dans une grosse entreprise...) m'est totalement inconnu, étant à l'opposé de mes valeurs et de mon mode de vie. Mais je me suis attachée à constater, sans juger. Bien sûr, le cas est ici poussé à l'extrême, mais jamais je n'ai été aussi convaincue que j'avais bien choisi la voie qui me correspond en m'éloignant de ce monde détraqué...

L'intrigue de ce livre est vraiment menée de main de maître. du début à la fin nos soupçons se renforcent, évoluent, nos théories volent en éclat... Aucun temps mort, une lecture totalement addictive pour peu qu'on ait le coeur bien accroché. La torture, physique mais surtout mentale, est ici poussée à son apogée, on la ressent au + profond de notre chair (surtout quand certains passages trouvent un écho en nous...) Karine Giébel dose à merveille tous les ingrédients de ce thriller d'exception, elle nous tient en haleine du début à la fin, distille l'horreur comme un enivrant poison... Parallèlement, ces ténèbres omniprésentes nous aident à relativiser nos propres expériences.

Je suis souvent déçue par la fin des livres; et dans le cas d'un livre du niveau de celui-ci, j'aurais vraiment été déçue. J'ai été surprise d'avoir l'impression d'un dénouement à presque 100 pages de la fin. Mais je me doutais que l'auteure ne s'arrêterait pas là. Et effectivement: les derniers chapitres envoient bombe sur bombe, on est emportés dans un tourbillon incontrôlable, un véritable feu d'artifice qui ne se contente pas d'un dénouement du genre "on a arrêté le méchant et tout le monde est content".

L'auteure va très loin, ses personnages ne sont plus que des marionnettes ballotées, disloquées par l'horreur, par l'irréparable... Une histoire machiavélique comme jamais, le pire à chaque page et en même temps des éléments qui s'imbriquent si bien les uns dans les autres qu'on y croit vraiment. C'est totalement plausible. L'horreur à l'état pure. Beaucoup de lecteurs risquant de ne pas tenir jusqu'à la fin, à réserver aux initiés du genre... A mon sens un chef d'oeuvre. Pour ma part, j'ai trouvé ma nouvelle auteure à suivre...
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Parfait pour jouer d'emblée avec les nerfs du lecteur : présenter des faits de harcèlement non vérifiables par autrui, et laisser planer le doute sur la paranoïa de la personne qui s'en dit victime.

Giébel montre encore une fois son talent à disséquer la perversité des rapports humains : séduction, manipulation, sadisme, relations de pouvoir et de soumission (au travail, en famille, en amour, en amitié), dépendance à l'autre qui fait perdre toute dignité, etc. Alors bien sûr, le trait est forcé, les situations parfois insupportables, mais la démonstration n'en est que plus éloquente. Que l'on pense aux expériences sur les rats de laboratoire, où le dominant se manifeste vite... L'animal humain n'échappe pas à ce type de comportement social.

Les clichés du genre policier ne manquent pas, les ressemblances avec d'autres thrillers, de cette auteur ou d'autres écrivains (je pense à un français récent) non plus, et les invraisemblances sont agaçantes (cape d'invisibilité ?). Mais qu'importe les clichés, les redondances chez Giébel (des femmes blindées d'orgueil et tellement faibles par ailleurs, les passages à la guimauve...). Ce livre est un excellent page turner, déjà, et offre en prime une analyse brillante des relations humaines. Quelques touches d'humour viennent soulager de loin en loin le malaise et la tension du lecteur, grâce à certaines répliques cinglantes d'Alexandre, flic blessé, bourru, en colère.

Voilà bien longtemps que je n'avais pas eu tant de mal à lâcher un livre, un pavé pourtant. Parce que, malgré tout ce que je lui reproche, je l'ai trouvé simple à lire, agréable, particulièrement habile et surtout très riche.

Vais-je attendre la sortie poche du tout dernier 'Purgatoire des innocents', présenté par les lecteurs comme "encore plus fort" que 'Meurtres pour rédemption' ? Ma PAL de polars/thrillers devrait m'aider à résister. Et comme les ambiances sont proches d'un roman de Giébel à l'autre, autant attendre pour mieux savourer.

Une petite larme cette fois aussi avec l'auteur ? oui, mais une heure après avoir refermé le livre...
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