Si j'avais été super emballée par les deux premiers tomes, je suis plus mitigée par ce dernier opus.
Le roman se lit tout seul, on retrouve nos personnages préférés.egaux a eux même.
Néanmoins, j'ai trouvé l'intrigue moins prenante.
Le roman reste bon, les personnages atypiques sont vraiment bien travaillés. Je pense que le rythme était un peu moins soutenu. Quelques raccourcis ont été pris. Néanmoins, même si certaines choses sont peu crédibles, l'histoire reste t intéressante, peut être moins aboutie que les précédentes.
J'ai eu le sentiment que l'auteur cherchait une fin.
Néanmoins, peut être que ce n'est pas réellement une fin. Deux, trois éléments laissent penser que... Seul l'avenir nous le dira d'ailleurs.
Allez, disons que nous sommes arrivés au bout d'un cycle juste pour se dire que peut être u. Jour je croiserai a un nouveau le chemin des ces personnages que j'aime beaucoup.
Malgré cette lecture un peu moins palpitante que les précédentes, si il y a une "suite", je la lirai assurément.
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Alors que Jon vient d'être kidnappé sous ses yeux, Antonia reçoit une message de M. White, qui va la lancer dans un jeu qui va tout résoudre ou lui faire tout perdre.
Ce troisième tome, qui clôt la trilogie de la reine rouge est toujours aussi haletant que les précédents. Mais l'intrigue, très dense semble vouloir résoudre absolument toutes les questions laissées en suspens jusqu'ici, au risque de rendre le tout un peu précipité. Rien de bien grave, tant le plaisir de suivre Antonia et Jon est là, mais l'auteur aurait pu laisser quelques pistes sans réponse.
C'est d'autant plus dommage, que le personnage de M. White, grand méchant de la trilogie, Némésis d'Antonia, semble bien fade, avec des motivations finalement peu convaincante. Reste une intrigue haletante et des personnages toujours aussi attachants.
Si ce tome est annoncé comme le dernier, la fin ouverte et les remerciements laissent entrevoir la possibilité d'une suite. A voir, donc, si l'auteur trouvera l'inspiration pour une suite.
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26//2024
Clap de fin magistral pour une saga extraordinaire :)
Nous sommes ici dans la conclusion de cette trilogie marquante, dans la continuité directe du tome 2 et l'enlèvement de Jon.
La première partie du livre s'achève sur un thriller en mode une journée en enfer, avec pour notre duo inoubliable et inclassable une série d'énigmes à résoudre sur des durées très courtes.
Les points forts de la saga sont évidemment présents, entre les phrases dans des langues étrangères, les capacités d'Antonia poussées au max sous stress mais sans gélules rouges, Jon et son flegme légendaire mis à rude épreuve, mais aussi un gros zoom sur les méchants de la saga, Sandra et M. White.
Ce livre est beaucoup plus direct et moins labyrinthique que le précédent, rendant la lecture addictive et impossible à lâcher :)
Les rebondissements sont nombreux, les scènes d'action et de tension encore plus, et que dire du dénouement qui est un coup de coeur visuel tellement la scène est facilement imaginable en mode série sur Amazon ;)
Une saga vraiment incroyable, moderne, tendue, avec un final extraordinaire de par son suspense, on est immergé comme dans la série 24h chrono pour le style minuté et sous pression :)
Jon et Antonia resteront un duo marquant dans la littérature policière, et il n'y a plus qu'à croiser fort les doigts et les orteils pour que l'auteur ose ne pas clore sa saga et reparte sur un tome 4 🙏🙏
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Polar très bien mené (traduction de Judith Vernant), Roi blanc fourmille de faux-semblants et de pièges : seule cette relation professionnelle intense permet aux enquêteurs de ne pas vriller, face aux secrets qu’ils découvrent au fil des pages.
Lire la critique sur le site : Actualitte
La vie est bien plus facile pour les cons, car ils ont l'avantage de ne pas savoir qu'ils le sont.
Dans la vie, il y a des troupeaux de crétins persuadés de tout savoir sur tout, et mieux que tout le monde. Qui se croient capables d'entraîner l'équipe nationale de football, d'opérer à cœur ouvert ou de régler le problème de l'immigration. Et qui balancent des jugements définitifs sur toutes ces questions en trois minutes chrono. Les gens véritablement intelligents doutent de tout et de tous, mais surtout d'eux-mêmes.
A Jon Gutiérrez no le gusta Antonia Scott. No es una cuestión de amor. Jon la quiere, eso por descontado. Antonia está llena de virtudes, por debajo de sus rarezas. Es incapaz de hacer daño, es torpe de una manera adorable. Es de una cabezonería irritante —para un bilbaíno, ya tiene que serlo—. Es generosa y valiente hasta la inconsciencia. Y pertenece a una especie en peligro de extinción: la de aquéllos que creen que la justicia se defiende, no se espera. Es compleja, tiene hábitos desagradables. Está callada cuando no debe, habla a destiempo y normalmente es para meter la pata. Las pocas veces que muestra algo parecido al afecto, no tarda ni medio minuto en ofenderte. Te lo da y enseguida te lo quita. Nada de todo eso molesta a Jon de Antonia. Moriría por ella. Lo que a Jon Gutiérrez le jode de Antonia Scott es no poder consolarla.
El proyecto Reina Roja se creó para acabar con objetivos especiales. Asesinos en serie. Criminales violentos especialmente escurridizos. Pedófilos. Terroristas. Sin ataduras, sin jerarquías, había dicho Mentor. Sin responsabilidades públicas, añade Jon. Por eso quería alguien como yo. O al menos como el yo que plantó la droga en el maletero del chulo. Alguien a quien le importe más la justicia que la ley. El problema es quién decide lo que es justo. El problema es que no estoy seguro de seguir siendo esa persona.
La vie est bien plus facile pour les cons, car ils ont l’avantage de ne pas savoir qu’ils le sont.
Roi Blanc page 119
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