G. Guéraud n'a jamais caché avoir été élevé en s'imprégnant (avec sa mère) de films cinématographiques de séries B. C'est ainsi qu'il en est arrivé à écrire quelques petits bouquins (pour des jeunes ados ?) dans lesquels il contrefait allègrement des scénarios filmiques.
Dans "
Dancing love", c'est Jimmy Glover, crooner des temps modernes et vedette (en)chanteur, qui va rafler le coeur d'une petite serveuse qui rêve, en trempant les assiettes sales, de danser sur scène...
Et après cette lecture d'une quarantaine de pages, c'est tout guillerette que je roucoule et que je gazouille :
"A qui ce livre peut s'adresser...
ne m'a pas réellement intéressée.
C'est une parodie ciblant les histoires d'amou-ou-our
dégoulinant de sucre rose, de paillettes, de glamour...
La tartinade de guimauve m'a bien fait rire
et ce fut là, un petit quart d'heure de pur plaisir"