Je n'ai pas du tout apprécié cette nouvelle.
Alors oui je sais qu'on ne peut jamais vraiment jugé de la qualité d'une histoire qui a aussi peu de pages mais ayant essayer de lire la suite (que je n'ai pas pu terminer) j'ai bien compris que la plume de l'auteur ne me convenait tout simplement pas !
Vous l'aurez compris je ne recommande PAS !
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Je ne connaissais pas du tout cette autrice, aussi le format de la nouvelle me paraissait adapté pour la découvrir.
Au final, je ne recommande pas du tout cette approche. Je n'ai pas du tout compris l'intérêt de cette nouvelle. de plus, pour moi le récit ne raconte pas d'histoire. Après avoir lue les quelques pages de Tout est sous contrôle, je comprends mieux la notation sur Babelio de cette nouvelle.
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en effet ... rien ne va plus. C'est mal écrit et complètement stupide. Des éditeurs sortent ça ? Je ne sais même plus si j'ai fini, je ne crois pas. Pourtant 22 pages, ce n'est pas beaucoup demander, eh bien si, c'est trop mauvais pour perdre son temps avec.
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S’il y avait une chose sur laquelle j’étais bien décidée à me montrer intraitable, c’était de conserver le droit de m’appeler Olympe McQueen. Terminées, les blagues et remarques qui avaient accompagné les années Olympe Posteur ! Au passage, je ferai aussi ajouter une clause sur les papiers du divorce concernant l’interdiction formelle pour mon futur ex-mari de m’appeler « chaton ». J’avais beau être sympa et compréhensive, je n’en étais pas moins une femme trahie.
Dans le secteur de la photo comme dans tant d’autres, personne ne s’avérait irremplaçable. J’aurais sans doute pu survivre à un court congé maternité, mais pas beaucoup plus : l’ensemble des contacts de mon carnet d’adresses allait très vite se reporter sur les collègues à l’affût du moindre contrat qui se libérait.
Cette femme aurait pu obtenir tout ce qu’elle voulait : contraindre les candidates de télé-réalité à porter des cols roulés, persuader le grand vainqueur des championnats de mangeurs de hot-dogs de devenir végétarien, et même décider Nadine de Rothschild à manger avec les doigts.
Aussi dingue que cela puisse paraître, j’étais sous le charme de cette femme et intégrais volontiers le fait que mon mari me quitte pour elle.
Comment Mathilde, la petite quarantaine ordinaire, s'est-elle retrouvée enfermée dans un « institut de repos » ?
À quel moment la vie de cette pharmacienne mariée et mère d'un adorable adolescent a-t-elle basculé ?
Sur les conseils de sa psychiatre, Mathilde tient un journal. Peu à peu, la parole se libère. Elle livre ses états d'âme et souvenirs d'enfance — la cruauté dont elle a fait preuve à l'encontre de son frère Charly —, son quotidien chez les fous avec une infirmière détestable qu'elle a surnommée Moustache, mais aussi sa rencontre marquante avec une certaine Daphné... L'héroïne parviendra-t-elle à rassembler toutes les pièces de ce puzzle, chasser ses démons et affronter la vérité ?
Un roman mené tambour battant, tel un jeu de dupes addictif, au dénouement inattendu.
Sophie Henrionnet est romancière et scénariste. "Sur les balcons du ciel", paru aux éditions du Rocher en 2020, a notamment été salué par Virginie Grimaldi : « Ce roman est un bijou. Ne passez pas à côté ! »
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