Un livre plaisant mais inégal: j'ai aimé en tant que conte « Auguste" et comme parodie « L'européen ».
j'ai trouvé correct, mais classique, « le nain », "les trois tilleuls ».
« l'empire" est une belle leçon d'histoire qui se termine en 1918. J'aurais aimé avoir son regard en 1945.
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Il mesurait à quel point toutes les créatures, humaines ou animales, sont toujours à deux doigts de leur perte, et comprenait que nous ne pouvons rien prévoir, rien connaître d'autre en ce bas monde qu'une mort certaine.
Il s'étonnait chaque jour de la misère du monde et de la joie que les hommes pouvaient connaître malgré tout.
Les arbres dans l’œuvre d'Hermann Hesse