Quand ce livre parut à Londres, la critique l’égala d’emblée au fameux Typhon de Conrad. Richard Hughes, l’un des meilleurs romanciers de l’époque, aimait à raconter qu’il avait passé dix années de sa vie à rédiger les 250 pages de ce récit, description quasi clinique de la vie d’un navire pris dans la tempête. Il était lui-même convaincu que pour évoquer sans tricher le dénuement de l’homme face aux éléments déchaînés, il fallait un livre nu, dépouillé de tout arti... >Voir plus