une grande question existentielle..
de plus lorsque l"on est amené a s'occuper de malade,de fins de vie,de souffrance térrible et toujours,toujours ce putain d'acharnement thérapeutique..et nous soignant impuissant face au désir de la personne ,juste la personne qui voudrait défois simplement enfin lacher prise,partir.....pour ne plus souffrir
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Ma maladie ou ma santé restent entièrement mon affaire privée,et je joue les services de la médecine par un libre contrat.Telle est,me semble t'il,la situations légale et en général sans tout Etat non totalitaire
Serge Audier
Si l'écologie a pour objectif d'étudier les rapports entre un organisme et le milieu naturel, et se donne à cette fin les outils d'une science, elle ne peut ignorer les facteurs qui influent sur ces rapports complexes, lesquels ne sont pas « naturels » mais tiennent à des données sociales, culturelles, économiques, politiques. Aussi, de l'intersection de l'écologie et des sciences sociales ou économiques, est née l' « écologie politique », terme forgé en 1935 par le physiologiste américain Frank Thone mais utilisé surtout à partir des années 70. Impulsée par les travaux pionniers de l'anthropologue Eric R. Wolf, de Michael J. Watts, de Susanna Hecht, du philosophe Hans Jonas ou, en France, d'André Gorz, l'écologie politique a connu un essor considérable, et a déjà une « histoire ».
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