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La Moïra - Roman (Loevenbruck) tome 1 sur 6
EAN : 9782290325322
349 pages
J'ai lu (18/11/2003)
3.87/5   484 notes
Résumé :
Anthologiste et critique, Henri Lœvenbruck passe aujourd'hui, avec La Louve et l'Enfant, de l'autre côté du miroir.
Ce jeune écrivain, fasciné par la fantasy – la forme la plus moderne du roman d'aventures selon lui – a décidé d'inscrire son nom aux côtés de ses illustres devanciers.
Ce récit initiatique, premier volume d'une trilogie, devrait l'y aider. Aléa, le personnage principal (si l'on excepte la louve qui est son miroir) au nom prédestiné, e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (65) Voir plus Ajouter une critique
3,87

sur 484 notes
Voici une saga de fantasy qui remplit bien son office.

Que ce soit au niveau des personnages ( druides, nain, barde, loup, jeune fille au pouvoir mystérieux, guerrier) ou au niveau de la trame ( guerre entre différents peuples, quête/ fuite du personnage principal) ou encore du côté magique de l'univers fantasy, tout est bien en place ! L'histoire est cohérente et plutôt prenante. Un brin d'humour et des caractères bien marqués agrémentent le tout.

Il m'a juste manqué des descriptions de paysage plus étoffés. La carte de l'univers de cette saga La Moïra reprend celle de l'Irlande : il n'y a que les noms qui changent avec parfois quelques similitudes. Je m'attendais donc à me retrouver au plein coeur de ce pays que j'affectionne tant ! Malheureusement, Loevenbruck n'a pas jugé utile de donner d'amples renseignements sur les différentes régions traversées par les protagonistes. Dommage ! Même la forêt qu'il nomme Borcelia - nom qui ressemble beaucoup à Brocéliande - m'a paru bien terne au regard de ce site dont semble s'inspirer l'auteur, site ô combien magique et ensorceleur !

La question que l'on peut se poser, c'est pourquoi j'ai entamé cette saga fantasy qui n'est pas forcément considérée comme la meilleure du genre actuellement alors qu'il y en a tant d'autres à lire ?
Tout simplement parce que le titre de chacun des opus contient le mot "loup". Eh oui, j'adore les romans où le loup joue un rôle prépondérant dans l'histoire.
Pour l'instant, je ne suis pas déçue. Une louve blanche fait figure de personnage principal, même si elle n'intervient qu'épisodiquement, et j'apprécie la façon dont Henri Loevenbruck la met en scène. Pour cela, il s'est beaucoup documenté auprès d'Anne Ménatory, responsable du Parc des Loups du Gévaudan et même s'il s'est parfois permis d'extrapoler, le comportement des loups est très bien dépeint.

Malgré certains bémols, je poursuivrai la lecture de cette saga avec plaisir !
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Quelle belle découverte ! Je n'avais jamais lu auparavant de livres de cet auteur, et je suis bien heureuse d'avoir comblé cette lacune !


Aléa est une jeune orpheline de 13 ans, qui survit comme elle peut dans les rues de Saratea, son village natal, rejetée par tous. Un jour qu'elle erre tristement dans la lande entourant le village, elle trouve un cadavre portant au doigt une magnifique bague. Consciente de commettre une mauvaise action mais poussée par le désir d'embellir un peu sa vie, elle retire la bague du doigt du cadavre. Instantanément, la main du mort agrippe son poignet et le serre très fort, et Aléa ressent comme une étrange onde de choc. A partir de ce moment-là, sa vie va prendre un virage à 180°, et elle qui rêvait d'aventures, elle va être servie ! Elle va devenir la cible de puissances maléfiques, elle va se faire des amis, elle va devoir apprendre à se battre et à maîtriser le nouveau pouvoir qui est en elle, et faire face à un destin aussi merveilleux que terrifiant.

Je me suis tout simplement régalée ! Ce livre est de la fantasy comme je l'aime, avec de la magie, un groupe de personnes aux talents divers et aux personnalités plus diverses encore réunies autour d'un héros (ici, en l'occurrence, il s'agit d'une héroïne), des dangers, des secrets, de l'humour, de l'amour... Il y a tout cela et plus encore dans ce volume, et je ne me suis pas ennuyée une seule seconde en le lisant.

La plume de l'auteur est agréable, riche, poétique et dynamique à la fois, et l'intrigue, quoique pouvant paraître basique au départ, est en fait assez originale et surtout, suffisamment féconde en rebondissements pour captiver le lecteur de façon continue.

Ce que j'ai préféré, c'est le petit groupe qui se forme autour d'Aléa au fur et à mesure de ses pérégrinations. Elle fait d'abord la connaissance de Phélim, un druide, qui va la guider au fil de ses aventures, puis Mjolnn, un nain qui, depuis l'assassinat de son épouse vit au jour le jour. Après qu'Aléa l'a défendu contre des bannis, il décide lui-même de la protéger. Viendra ensuite Galiad, le Magistel de Phélim, c'est-à-dire son garde du corps, en quelque sorte, et enfin Faith, une barde, qui décide d'accompagner Aléa car elle a un motif personnel pour vouloir se venger des êtres aussi puissants que malfaisants qui poursuivent la jeune fille.

Tous ces personnages ont des caractères bien trempés et très différents et c'est cette diversité qui les rend si intéressants, mis tous ensemble. Les joutes verbales entre Galiad et Faith, notamment, apportent une touche d'humour, car on sent bien que leurs incessantes piques et bravades cachent une attirance mutuelle. Les bavardages incessants et la joie de vivre de Mjolln font également partie des aspects légers de ce roman.

Les personnalités de Phélim et d'Aléa sont un peu plus réservées. Phélim, en sa qualité de druide, connaît énormément de choses, mais il n'en révèle que peu à Aléa, parlant beaucoup par énigme (ce qui énerve fréquemment la jeune fille), car il souhaite qu'elle découvre et comprenne les choses par elle-même. Malheureusement, la patience n'étant pas le point fort de la jeunesse, Aléa réagit souvent impulsivement à ce qu'elle croit comprendre, s'emporte ou s'enfuit au lieu de réfléchir et de faire confiance au vieux sage.
Néanmoins, elle mûrit et évolue beaucoup tout au long de ce premier tome, gagnant en autorité et en assurance, mais aussi en responsabilité et en culpabilité. En effet, chaque fois qu'une personne de son entourage souffre moralement ou physiquement, elle se sent responsable et pense que tout est de sa faute. Au final, ce personnage qui m'agaçait un tantinet au début de l'histoire de par son immaturité s'est transformée sous mes yeux pour devenir une vraie jeune fille responsable et courageuse.


J'ai bien aimé aussi tout l'aspect politique de cette histoire. le fait que le Conseil des druides représente une autorité forte, dans ce monde, qu'ils soient organisés en une vraie hiérarchie, avec des rituels précis, et que leur parole soit respectée par le roi lui-même.
En fait, c'est eux qui régissent réellement le pays, à partir de leur forteresse située sur une presqu'île isolée et difficile d'accès.

Gaelia, l'île où se situe cette histoire (assez clairement apparentée à l'Irlande), est divisée en cinq comté. Et l'un d'eux est devenu chrétien, sous l'influence d'un certain Thomas Aeditus, qui a converti le comte de Harcourt et fondé une Université. de ce fait, le comté est aux mains des Soldats de la flamme et est devenu l'ennemi des druides, du roi et de tout le reste de l'île.

Et c'est dans ce climat politique assez tendu que refont surface (au sens propre comme au figuré) les Tuathanns, créatures qui peuplaient l'île depuis les origines et qui ont été massacrées et chassées par les habitants actuels à leur arrivée. Depuis des siècles, ils vivent dans le Sid, sorte de monde souterrain où le temps n'existe pas, et ils ne rêvent que de se venger et de reprendre ce qui leur a été volé, c'est-à-dire leur terre. Prenant les villageois par surprise, ils tuent hommes, femmes et enfants sans distinction, et regagnent en peu de temps tout un comté.

Le Conseil des druides, qui sait que leur colère et leurs exigences sont légitimes, décide donc qu'il est temps de composer avec eux et de négocier les termes d'une trêve.

On le voit, le contexte politique de ce premier tome est donc délicat et complexe, et j'ai trouvé que cela rajoutait encore de l'intérêt à l'histoire.

Au sujet des druides, d'ailleurs, on s'imagine toujours que ce sont tous de vieux bonshommes barbus et sages, qui ne pensent qu'au bien de la terre et à préserver l'harmonie de la nature. Eh bien ici, ils sont avant tout humains, avec leurs caractères, leurs envies, leurs peurs, et surtout, ils ne sont pas tous forcément gentils. Certains laissent leurs ego, leurs rancoeurs ou leurs ambitions prendre le dessus et j'ai trouvé que c'était assez rare pour être souligné.


Enfin, il y a l'aspect "féerie", qui m'a énormément plu. Car si je n'ai pas tout à fait compris comment fonctionnait la magie des druides, le Saîman, et donc que ce côté-là m'a laissée un peu de marbre, il reste que tout le côté "peuple féerique" "magie des éléments", de la nature, et surtout celle cachée au coeur des forêts, m'a fascinée, charmée et émerveillée. Les passages dans lesquels nos héros découvrent ce monde-là sont empreints d'une poésie et d'une beauté extraordinaires.

Et la louve, dans tout ça ? Oui, parce qu'on a bien compris que "l'enfant" du titre, c'était Aléa, mais qu'en est-il de la louve ? Elle s'appelle Imala et nous allons suivre son histoire et ses (més)aventures, en parallèle de la trame principale, et ce n'est qu'à la toute fin que son chemin va enfin croiser celui d'Aléa. Je suppose donc que c'est dans les tomes suivants qu'elles vivront leurs aventures ensemble.


Au final, si je ne devais trouver qu'un seul point négatif à ce livre, je dirais que ce sont les passages où les personnages pensent et analysent les paroles d'autres personnages, et qu'ils décryptent au fur et à mesure pour le lecteur ce qui est sous-entendu, ce qu'il faut comprendre en réalité au-delà des mots qui sont prononcés. J'ai trouvé ce procédé un peu grossier, dans le sens de "enfantin". Et j'avais un peu l'impression de lire de la fantasy jeunesse, dans ces moments-là.


Mais ce n'est vraiment qu'un détail, je chipote, car j'ai passé un très bon moment avec ce livre, et j'ai hâte de lire la suite !


Conclusion : Un très bon début de série ! de la fantasy comme je l'aime, une plume efficace et agréable, une histoire passionnante, des héros sympathiques, des dangers, de l'aventure, de la magie... Que demander de plus ? Si vous ne connaissez pas encore, n'hésitez plus, lancez-vous !
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La louve et l'enfant est le 1° roman d'une trilogie intitulée : la Moïra et, c'est pour moi une surprise car j'ai lu les remarquables polars historiques d'Henri Loevenbruck or cette saga est destinée à un public jeune et j'ai été déçue !
C'est l'histoire d'Aléa , une jeune orpheline de 13 ans qui survit de menus larcins dans la ville de Sarratea ( Sarre ) au nord d'une île nommée Gaelia semblable à l'Irlande et à une époque que l'on peut situer au Moyen Age !
En errant dans la lande à la recherche de nourritures, elle découvre dans un trou : un cadavre et elle s'empare de la bague du défunt ! Elle veut aller à Providence rejoindre son amie Amine mais le capitaine Fahrio l'oblige à travailler dans une taverne ou elle va être aimée par Kerry et Tara, les propriétaires !
En parallèle, nous découvrons dans la forêt : Imala, une louve blanche rejetée par la meute et, qui est comme Aléa obligée de façonner son avenir en solitaire !
Aléa s'est enfuie avec sa bague magique et sur sa route elle aide un nain : Mjolnn qui est cornemuseur, et ils vont aller rejoindre les Druides de Saî-Mina qui sont obligés de se défendre des gorgûns et se protéger de la magie de Maolmôrdha, ils doivent aider les Herilims à retrouver leurs terres !
Un roman Fantasy avec de nombreux personnages, des "méchants "qui veulent dominer, abattre les "gentils", des druides, des prophéties, de la magie et les débuts d'une religion chrétienne !
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Alors qu'elle est déjà sortie depuis un bon moment, je prends le temps de me plonger dans la trilogie de la Moïra, d'Henri Loevenbruck. le premier tome, La louve et l'enfant, met en place les principaux éléments qui lui serviront à tisser son histoire.
Celle-ci se focalise sur deux récits parallèles : celui d'Aléa, gamine des rues, un peu voleuse quand le besoin s'en fait ressentir; celui d'Imala, une magnifique louve blanche qui va se retrouver exclue de la meute.

Comme souvent dans les romans de fantasy, un événement particulier va pousser Aléa vers une quête dont elle n'a au départ pas conscience. Des ennemis vont se dresser sur son chemin mais, heureusement, aussi des alliés. du déjà-lu, me direz-vous. C'est vrai que ce premier tome ne brille pas d'une folle originalité.

Henri Loevenbruck a construit son univers sur le modèle d'une Irlande du haut Moyen Âge fantasmé, avec druides, royaumes, prophéties, magie et les débuts d'une nouvelle religion autour d'un certain Christ.
Quant aux parties sur Imala, on ressent l'attrait très vif de l'auteur pour les loups dont il a étudié les comportements.

L'histoire est bien racontée, sans trop de temps mort. Les personnages manquent sans doute un peu de profondeur mais cela se rectifiera peut-être avec les prochains tomes. On se plonge ici dans une fantasy classique voire prévisible, sans que la lecture en devienne pour autant désagréable. Henri Loevenbruck sait rendre son récit fluide et il donne envie de poursuivre les aventures d'Aléa, Imala et compagnie.
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Une bonne petite lecture facile, mais finalement, hier (jour de tempête sans électricité), c'était idéal.
Tous les critères de la fantasy sont là, un héros jeune et naïf (une héroïne) qui n'a rien d'un héros au départ, une "compagnie" qui se forme peu à peu, une quête, de la magie, des gros méchants, tout y est !
On pourrait se dire qu'on a "déjà lu" ça, mais l'histoire d'Imala, la louve, qui s'intercale en courts chapitres met un peu d'originalité dans le toutim et c'est finalement très agréable à lire, très fluide.
L'écriture est simple, mais pas simpliste, et on tourne les pages sans s'en rendre compte. C'est clairement destiné à un lectorat jeune (et on peut le conseiller sans risque de trop se tromper à des non-initiés en Fantasy, je pense, pour débuter), mais j'ai pris un grand plaisir à suivre les aventures de ces personnages sympathiques, surtout Mjolln que j'affectionne particulièrement !
La seule petite chose que j'aurais à reprocher est un manque de profondeur des personnages. Cela viendra peut-être - ou pas, peu importe - dans la suite que je vais lire dans la foulée...
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critiques presse (3)
BDZoom
05 juillet 2021
Fatalité divine, tragédie humaine de personnages qui veulent maitriser leur destin et aléas divers dans un monde d’heroic-fantasy celtique sont au riche menu des prochains volumes de cette série qui commence sous les meilleurs auspices.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Sceneario
02 juillet 2021
Pour certains, cela va être une découverte de cette univers, pour d'autres une relecture. Mais au final, ce sera tout simplement, pour les uns et les autres, un plaisir de voyager dans cet univers riche en merveilleux et en légendes celtiques.
Lire la critique sur le site : Sceneario
LigneClaire
30 juin 2021
Il y a un côté conte dans cette balade au ton de chanson de geste aux teintes celtiques avec nain et elfe. Sans oublier action et violence. Une fois qu’on a pris ses marques, La Moïra se laisse découvrir et entraîne dans une aventure qui a du charme bien souligné par le dessin de Raka.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
Les louveteaux naquirent au milieu de l'après-midi. Imala mit bas cinq petits qui crièrent pendant de longues minutes avant que les coups de langue de leur mère ne les calment enfin. C'étaient cinq petites boules de poils gris foncé aux reflets roussâtres, les yeux complètement fermés et le museau presque plat. Deux petits triangles discrets coiffaient leur crâne en guise d'oreilles. Leurs pattes griffues tremblaient doucement, malhabiles, s'enfonçaient dans le sol du liteau, à la recherche d'un équilibre qu'elles ne trouvaient guère.
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La mémoire de la terre est étrangère à celle des hommes. On croit tout connaître de l'histoire et du monde, mais il est des âges oubliés où se croisaient encore mille merveilles aujourd'hui disparues. Seuls les arbres se souviennent, et le ciel et le vent. Et si, un soir d'été, l'âme bienveillante vous vous allongez dans l'herbe et vous les écoutez le cœur ouvert, vous entendrez peut-être cette histoire d'un autre temps, au pays fe Gaelia; celle de la louve blanche et de l'enfant qu'on appelait Aléa.
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L'archidruide dévisagea à nouveau le jeune druide en se grattant le menton.
- On ne peut pas dire que tu commences bien ta carrière. Tu as fait cela pour le protéger ?
- J'ai toujours voulu qu'il devienne mon Magistel. Erwan est mon plus cher ami. Quand il m'a avoué qu'il partait à la recherche de son père, j'ai voulu m'assurer que je pourrais le retrouver s'il lui arrivait quoi que ce soit.
- C'est généreux. Idiot, mais généreux.
- Pourquoi idiot ? s'offusqua Finghin.
- Parce qu'il est amoureux et qu'il n'y a rien de plus idiot que de prendre un Magistel amoureux.
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Chaque jour, elle apprenait que devenir adulte, ce n'était pas devenir libre, contrairement à ce qu'elle avait espéré. Il s'agissait plutôt de céder aux obligations qu'imposait le destin. Des obligations de plus en plus nombreuses, et qui englobaient de plus en plus de gens autour de soi.
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Tard dans la nuit, enfin, les hurlements lointains d'une louve de son âge la rassurèrent et elle se laissa bercer par ce chant harmonieux, une note qui galopait vers les aigus, s'accrochait un moment tout en hauteur sans rien perdre de son intensité, puis retombait, en ton comme en force, et s'éteignait un instant avant de repartir. Elle avait déjà entendu ce hurlement précis.
Et même si elle n'avait jamais rencontré la louve qui chantait ainsi, elle se sentait proche d'elle et en concevait un plaisir réconfortant qui l'incita à dormir.
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