Dans le deuxième roman de Joseph Malègue, Pierres noires : Les Classes moyennes du Salut, réalise une « fresque historique » de l'installation de la IIIe République : laïcité, déclin des notables liés à la Monarchie, l'Église, l'Empire, montée d'une classe nouvelle qui les supplante dans une ville d'Auvergne imaginaire, emblématique d'une mutation de la France toute entière.
Malègue observe le déclin de cette classe sociale à laquelle sa famille petite-bourge...
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