Envoûtée depuis quelques jours par la trilogie de
Benjamin Markovits, ce dernier tome,
Amours d'enfance, relate les idylles adolescentes de
Lord Byron et la fin de sa vie à Missolonghi, dans son engagement pour l'indépendance de la Grèce face à la Turquie.
L'auteur a eu la brillante idée d'intercaler au récit de
Lord Byron son propre cheminement d'écriture et ses combats intérieurs pour en arriver à pondre une oeuvre qui se tient.
Entre la voix de Byron et celle de
Markovits, s'ajoute celle du professeur de lycée Peter, auteur fictif des trois volumes, mort avant d'être publié et dont l'immense présence plane dans chaque page de l'histoire.
Une réelle oeuvre de fiction historique que je recommande aux amateurs de ce XIXe siècle, dont la prose romantique fait encore rêver...