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3,5

sur 753 notes
Que c'est beau de retrouver la plume de Carole Martinez et d'embarquer dans ce conte où elle se met en scène.
Alors qu'elle part s'isoler en Bretagne pour écrire un roman sur Barbe Bleu, la voilà happée par la postière et son histoire personnelle. Cette dernière, Lola, garde chez elle, les coeurs cousus par ses aïeules qui contiennent les écrits de leur vie sur leur lit de mort.
Un des coeurs s'ouvre et la narratrice pousse Lola a découvrir l'histoire qu'il contient. La jeune postière va voir sa vie basculer.
Tout au long de la lecture, on imagine le village, le jardin, on sent les roses et il y a un érotisme qui s'en dégage.
Pas un total coup de coeur car la construction, la mise en abime m'ont un peu gênée et freinée dans ma lecture.
Je vous le recommande pour l'histoire et l'écriture.
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De Carole Martinez, j'ai lu du domaine des murmures et La terre qui penche. 2 lectures. 2 coups de coeur. J'ai donc plongé dans ce dernier opus avec délice, heureuse à l'idée de retrouver sa plume enchanteresse ! Je n'ai pas été déçue, Carole Martinez fait toujours danser les mots.
Dans ce roman où elle se met en scène, elle conte l'histoire familiale de Lola, postière célibataire, qui par la magie de graines trouvées et plantées, va se retrouver propriétaire de roses envoûtantes et charmeuses, et gardienne de l'histoire d'Inès Dolorès son aïeule.
Une histoire de femmes libres, de transmission, à la lisière du fantastique et du merveilleux.
2 personnages, 2 histoires ? Pas seulement !
Aux récits de Lola, d'Inès se greffent ceux de Pierre et Marie, 2 amoureux, et surtout celui de Carole Martinez, autrice mais surtout actrice.
Voilà un roman aux multiples ramifications qui par la grâce de sa plume m'a fait passer un délicieux moment.
Seul regret : une fin un peu rapide, J'aurais aimé me perdre davantage dans tous ces destins de femmes passionnées, cachés à jamais dans ces nombreux coeurs cousus.
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Carole Martinez est de mon point de vue une véritable et merveilleuse conteuse plus qu'une romancière. J'ai adoré chacun de ses livres qui m'ont à chaque fois transporté loin dans l'imaginaire. Alors qu'en est-il des « Roses fauves », son dernier livre ? le premier mot qui me vient à l'esprit est « déroutant ». Est-ce un conte, une sorte d'autobiographie, un roman ? Un peu tout cela à la fois.

Il y a quelques années, l'auteur a passé quelques mois seule en Bretagne afin d'y tenter d'écrire son prochain roman dont le sujet devait être une sorte de « Barbe-bleu contemporain ». C'est une simple carte postale avec la silhouette d'une femme dessus qui l'a poussé à s'installer dans le village de Tribuailles. Ses yeux posés sur cette silhouette, celle-ci a exercé immédiatement une étrange fascination sur la romancière. Pourquoi se persuade-elle que cette femme est une boiteuse ?
Par quel étrange hasard l'auteur va rencontrer Lola, la postière plutôt revêche du village et boiteuse justement ! Celle-ci vit seule au-dessus du bureau de poste. Son jardin est son seul univers. Dans son portefeuille, aucune photo familiale, uniquement de fleurs. Mais surtout, Lola possède une armoire de noces à l'intérieur de laquelle se trouvent cinq coeurs en tissu renfermant les secrets de ses aïeules, issues de sa lignée espagnole. Les deux femmes vont ouvrir l'un de ces coeurs cousus et lire la destinée d'une des aïeules, en l'occurrence l'arrière grand-mère de Lola, Inès Dolorés.

Et c'est une destinée bien particulière que découvrent les deux femmes. Celle-ci est étrangement et intimement liée à des graines qui une fois plantées donnent naissance à des « Roses fauves », roses qui très vite échappent à tout contrôle humain. Leur parfum est lourd et dérangeant, à la limite de l'écoeurement. Leurs épines empoisonnent et tuent. Mais cela ne dissuadera pas Lola de planter celles trouvées dans le coeur cousu. Grâce à ces graines, la jeune femme parviendra-elle à briser la malédiction de ses ancêtres qui depuis toujours portent les enfants de leurs amours mortes ?

Mais soudainement à ce moment du récit sont entrés dans la danse les fantômes du passé ou du présent, on ne sait plus trop…une autre boiteuse et son amour fou pour un soldat parti à la guerre. Et ces roses, toujours et encore ces roses. Déroutant non, mais je vous ai prévenu.

Et l'auteur, dans tout cela ? Et bien jusqu'à la fin, elle nous invite à la suivre mais on ne sait pas toujours vers où elle compte nous mener et j'avoue avoir été perdu en route quelque fois. Puis, au détour d'une ruelle, elle m'a rattrapé, je me suis laissée de nouveau embarquée à la suite de ses personnages dans un monde où le réel côtoie l'imaginaire dans lequel poussent étrangement des roses fauves.

Alors pourquoi seulement 3 étoiles et demi ? Tout simplement parce que même si je me suis laissée bercer par l'univers de l'auteur, je n'ai pas retrouvé cette magie bien particulière qui m'avait totalement transporté dans ses autres romans. Il m'a manqué ce « merveilleux » que Carole Martinez sait si bien mettre à l'intérieur de ses histoires. C'est pour moi une des meilleurs dans ce domaine.
Voilà pourquoi cela m'a tant dérouté. Toutefois, j'ai eu plaisir à la lire, je reste une inconditionnelle de cet auteur et je remercie chaleureusement Babelio et les éditions Gallimard de m'avoir permis de découvrir « Les roses fauves » en avant-première. Quant à vous ami(e)s babeliotes, si vous ne l'avez jamais lu, n'hésitez pas un instant à la découvrir !
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Qui trop étreint mal embrasse !

Histoires de femmes et de roses. Mais trop de femmes, trop de roses, trop d'histoires. Il y a la jeune postière célibataire, le choeur des vieilles du village, la romancière parisienne tout juste arrivée. Et aussi les aïeules de la postière dont les secrets sont enfermés dans des coeurs de tissu, sans oublier l'énigmatique boiteuse de la carte postale. La coupe est déjà bien pleine, mais Carole Martinez en rajoute encore avec cette histoire à l'eau-de-rose de l'acteur américain. Et là c'est vraiment l'overdose et je me suis même mise à détester les roses.

Quelques beaux passages néanmoins comme l'histoire atypique de la grand-mère espagnole qui célèbre la liberté d'aimer et les chants espagnols et comme l'amitié qui se noue entre la postière et la romancière. Mais globalement j'ai trouvé l'écriture trop travaillée et trop lisse, ce qui établit une distance avec les histoires et entrave l'élan de sympathie que j'aurais pu éprouver pour toutes ces femmes-fleurs.

J'aurai préféré que l'auteure ne se limite qu'à une ou deux histoires et en exploite tout le potentiel. Non, ici tout est survolé et il est difficile de déceler les intentions de l'auteure. Par exemple, sur la fin du livre, j'étais surprise de la réaction de la postière: l'auteure ne nous y avait pas préparés et du coup cette réaction parait peu crédible. J'aurai aimé accompagner un peu plus la jeune femme dans son chemin vers la libération.

Mais qui suis-je pour dicter ainsi mes desiderata ?
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Je me suis tout d'abord creusé les méninges pour repérer ce qui était " vrai" et ce qui faisait partie de la fiction dans ce dernier roman de Carole Martinez. Puis je me suis abandonnée à la volonté manifeste de l'auteure d'abolir les frontières. Celles qui séparent le passé du présent,les morts des vivants,les personnes des personnages,le corps et l'esprit. Dès lors quel plaisir !
Les roses fauves sont plus proches du Coeur cousu que du domaine des murmures par la poésie qui s'en dégage,sa force,son pouvoir onirique et son incroyable sensualité. C. Martinez fait appel tout autant au ressenti charnel du lecteur qu'à sa tête. Ainsi que le résume la 4 ème de couverture, l'histoire débute par une coutume andalouse qui amène les femmes à enfermer dans un coeur qu'elles cousent avant de mourir,leurs secrets, l'intimité de leur vie. Ces coeurs se transmettent de génération à génération sans jamais être lus. Ici, C.Martinez va enfreindre cette règle parce que le destin l'a conduit jusque Lola et son armoire remplie de ces coeurs...quand un orage éclate et que l'un de ces coeur éclate lui aussi en libérant les secrets de toute une vie , la tentation est irrésistible. A partir de là le voyage commence mais en dire plus en terme d'histoire n'aurait, à mon sens,pas grand intérêt car il faut se laisser emporter sur tous les chemins de traverse que nous ouvre cette exception elle conteuse,C.Martinez. on n'y découvre,non pas une histoire mais des histoires. Non pas l'amour mais des amours,non pas la vie ou la mort mais leur lien inséparable et peut-être perméable. Quant aux roses fauves...chacun se composera le bouquet de son choix à ses risques et périls!
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Que ceux qui aiment "La maison aux esprits" de Isabel Allende se jettent sur "Les roses fauves" pour s'immerger dans le réalisme magique si cher aux gens du Sud.
Méfiez-vous des roses fauves , une sauvagerie va s'abattre sur vous. La rage du désir va emporter les générations précédentes de Lola Cam, femme handicapée et solitaire qui maîtrise sa vie comme une forteresse. Mais celle-ci va s'écrouler le jour où avec l'aide de l'auteure elle va découdre un coeur cousu contenant les petits billets de la vie d'Ines Dolorès.
Ce livre féministe souligne le problème des filles-mères dans les temps anciens, des mariages imposés et de la soumission à l'autorité paternelle. Et devant ce constat transgénérationnel, Lola décide d'en finir avec la malédiction familiale qui 'empêche de vivre une vie épanouie et libre.
Si vous ne craignez pas les fantômes, lisez Carole Martinez qui m'a emportée dans une atmosphère de contes où les sens sont aux aguets. Parfums, caresses et regards se mêlent à une douce mélancolie chaleureuse.
Si l'auteure avoue "Je n'ai pas d'autre ambition que d'être une conteuse", j'assure que son objectif est atteint.
Loin des livres sentimentaux des Harlequin, je recommande vivement ces histoires d'amour qui ont touché ma sensibilité de femme du Sud.
Et pourquoi pas laisser moi aussi un coeur cousu quand je me sentirai prête pour rejoindre mes proches dans l'au-delà.
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Tout juste débarquée dans un petit village de Bretagne, une auteure de romans en manque d'inspiration est subjuguée par la vision d'une boiteuse en noir et blanc, tout droit sortie d'une carte postale.
C'est à la poste qu'elle retrouve l'énigmatique jeune femme nommée Lola Cam, entourée des tricoteuses, les vieilles commères du village.

La vie solitaire de la sage postière, qui n'a connu que son jardin, intrigue l'auteure.
A l'occasion d'un dîner, Lola révèle être la gardienne des coeurs cousus de ses aïeules qui renferment les secrets des femmes mourantes de la lignée des Dolorès et qui trônent dans une antique armoire de noces.
Honneur ou malédiction ?

Comme un appel du destin, le coeur d'une de ses aïeules s'est récemment déchiré, incitant les nouvelles amies à se lancer dans la lecture des secrets de la vie d'Inès Dolorès liée à la légende des roses fauves dont les graines ont subsisté.
Suscitant cauchemars et rêves fiévreux, ces roses faramineuses au parfum enivrant se réveillent au printemps. Sublimes et meurtrières à la fois, elles poussent voracement comme des ronces, se nourrissant des désirs qu'elles suscitent chez chaque femme de la lignée des Dolorès et telles des veuves noires font périr leur amant entre leurs épines empoisonnées.

« Nous mourons tous mais l'amour nous survit. J'accepte le merveilleux. »
L'Amour est-il éternel ? Une chose est certaine. Il y a toujours une part de merveilleux et de magique dans l'écriture poétique de Carole Martinez qui nous transporte dans ce conte où le passé et le présent se confondent dans le parfum capiteux des roses fauves.
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J'apprécie énormément Carole Martinez et c'est avec un grand plaisir que j'ai lu son dernier roman. La magie a une nouvelle fois opéré. Dès les premières pages j'ai su que cette lecture serait un coup de coeur. Carole Martinez est une magicienne dans l'art de créer des ambiances et nous sommes immédiatement séduits. Excellent roman que je recommande.
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Je me souviens de ma lecture de du domaine des murmures de Carole Martinez et de la façon dont elle m'avait embarquée dans son univers, je me revois installée dans le jardin, dans une chaise longue à mettre en images les mots, l'époque, les personnages.. J'ai depuis des années le coeur cousu dans ma PAL (je crois depuis sa sortie en édition de poche) mais toujours pas lu malgré les éloges lues ici et là....

Alors c'est avec plaisir que j'ai pris ce roman à lire dans la sélection du Comité de lecture étant pratiquement sûre de trouver du plaisir dans cette histoire de femmes et..... et bien la magie n'a pas autant opéré cette fois-ci.

L'idée de la mise en abyme de son propre personnage, elle, l'auteure, partit en Bretagne pour la rédaction d'un prochain roman avec en toile de fond le conte de Barbe-bleue et sa rencontre avec une préposée aux postes boiteuse du nom de Lola Cam et des femmes pipelettes qui tiennent salon dans la poste avec leurs tricots était intéressante mais elle l'étoffe de l'histoire des aïeules de Lola ayant reçu en héritage, à l'intérieur une armoire, des coeurs cousus contenant sur des petits papiers leurs souvenirs ou pensées jamais avoués, le tout avec une romance style roman-photos entre un très beau comédien américain et Lola le tout sur fond de parfum enivrant de roses et vous obtenez un roman, certes, original mais dans lequel je me suis perdue et sentie frustrée.

Et pourtant il y avait dans cette histoire tous les ingrédients pour me plaire : des destins féminins troublants, transmissibles, teintés d'histoire et d'amour endeuillé, de liberté, des évocations de fleurs magiques et ensorcelantes et finalement arrivée à la fin de ma lecture, j'ai un peu de mal à m'y retrouver, à comprendre l'intérêt de son propre personnage en dehors du fait qu'il lui permet la rencontre avec Lola.

Je garderai le souvenir de cet univers oscillant entre réel, imaginaire et magique que créée l'auteure, avec une écriture poétique avec des personnages troublants, des femmes aux caractères forts et volontaires mais j'aurai préféré moins de personnages mais plus fouillés, m'attarder plus longuement avec eux, sur leurs histoires, mieux suivre leurs vies car finalement nous n'en connaissons qu'un court moment alors qu'ils avaient sûrement plus à dire. Exemple : Inès ou les personnages de Pierre et Marie, dont l'histoire m'a émue, qui sont certes utiles au récit mais pour lesquels je reste sur ma faim.

Il est très en vogue pour les auteur(e)s de se mettre en scène actuellement (David Foenkinos, Emmanuel Carrère) dans leur travail d'élaboration d'un roman mais cela n'offre pas toujours un intérêt et retire finalement de la fluidité au récit. Ah les affres de l'écriture !

Alors oui j'ai aimé, pour l'ambiance générale, pour cette lignée de femmes, pour la manière dont Carole Martinez se fait conteuse et raconteuse d'histoires, mais je vais en garder un souvenir confus, trop superficiel et si vous me demandez dans quelques temps de vous parler de tel ou tel personnage je crois que j'aurai bien du mal à en définir les spécificités.

J'ai aimé mais j'ai été déçue.
Lien : https://mumudanslebocage.wor..
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La parution du dernier roman de Carole Martinez est toujours un moment attendu. L'auteur prend son temps entre l'écriture de chacune de ses oeuvres qui se révèlent toujours être des instants de lecture particuliers, un temps où le lecteur est transporté dans un monde vacillant entre le réel et le merveilleux.

La narratrice , une romancière (double de Carole Martinez ou Carole Martinez elle-même ?) cherche l'inspiration pour écrire un nouveau roman. Lorsqu'elle tombe un jour sur une vieille carte postale représentant une vue d'un petit village avec la silhouette d'une femme, l'auteure est intriguée, aspirée par cette femme inconnue qu'elle imagine boiteuse. Après quelques recherches, elle retrouve ce village où elle décide de s'installer pour trouver l'inspiration et écrire son nouveau roman.C'est à Trébuailles, situé en pays Gallo, qu'elle s'installe. Et c'est dans ce village qu'elle rencontre Lola Cam, la postière, qui va lui conter une étrange histoire de coeurs cousus.

Etrange roman que « Les roses fauves » qui renferme non pas une mais trois histoires. Si Lola Cam est certainement le personnage central de ce roman, c'est ensuite autour d'elle que se ramifient les histoires de Dolores Ines, son aïeule, et celle de Marie, la boiteuse. Trois femmes, trois vies, où des roses mystérieuses au parfum envoûtant vont jouer un rôle déterminant. Les personnages secondaires, joués par les commères du village qui se regroupent à la poste, forment le choeur de ce récit aux accents tragiques.
D'une extrême sensualité, l'écriture de Carole Martinez nous entraîne à la suite de ces femmes qui s'ouvrent et s'offrent au désir charnel, au même rythme que ces roses prolifèrent à foison. La frontière entre la réalité et le merveilleux s'efface, les personnages deviennent ceux d'un conte où les roses déversent également un venin et une malédiction. La narratrice elle-même n'échappe pas à ce récit fantastique, se perdant dans les visions d'une autre époque.

« Les Roses fauves » est certainement le roman de l'écrivaine qui touche le plus à l'intime puisqu'elle s'y met en scène.Au-delà des histoires qu'elle nous conte, Carole Martinez nous fait également partager ses réflexions sur l'écriture et sur la conception d'un roman. Comme elle nous le dit si bien, « Un roman n'est pas un mensonge, puisqu'il ne se présente pas comme la vérité, même s'il s'en donne les apparences. Il peut pourtant contenir plus de réalité qu'un témoignage, permettre de toucher à l'intime, de dire ce qui ne saurait être dit autrement. ».
L'auteur livre dans son dernier roman une part d'elle-même que l'on ne retrouvait pas dans ses précédents ouvrages. La féminité est également au coeur de ce récit qui parlera à toutes les femmes.

Mais est-ce le fait d'entremêler trois histoires en une ? Toujours est-il que l'une remporte ma préférence (celle d'Ines) et que les autres, pour le coup, m'ont moins touchée, entraînant certaines longueurs dans le roman. le fameux choeur des commères m'a également semblé parfois confus.
Ce sera ici mon seul regret car Carole Martinez nous démontre une nouvelle fois tout son talent de conteuse, qui malgré nous, nous emporte également.

Merci à Babélio et aux éditions Gallimard pour ce précieux cadeau.
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