Après une catastrophe (on pense au début à un attentat) , mais ce serait plutôt un séisme, sur une plateforme instable, ne restent que deux personnes : une supérieure et un
subalterne ? Mais les rôles ne sont pas définis et les sexes sont interchangeables.
Le chaos est total, mais il faut s’accrocher, et pour cela continuer à tout prix à produire du travail. La supérieure joue au chef tyrannique, tandis que le subalterne continue à tenir son rôle.
Une situation qui mène à l’absurdité des scènes, dans un temps unique (celui de la durée de la représentation), sur un lieu unique aussi bien dans la version papier que dans la mise en scène qui en a été faite, qui montre bien que le théâtre est un objet vivant.
Lecture absurde et en même temps laborieuse. Les pièces de théâtre sur la thématique du travail ne m’accrochent pas plus que ça, et après quelques essais infructueux, je vais abandonner la thématique.
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