À la fois éloge, évocation (entre fiction et réalité, bien plus imaginative que l'on pourrait croire) et réflexion sur la famille, la lecture de ce livre, où les épreuves s'accumulent et poussent aux limites, parfois insoutenables s'avère paradoxalement apaisante. À l'image de la présence calme de l'auteur, son style semble avoir des vertus lénitives et comme chez
Anton Holban, la grand-mère se prépare à mourir avec sagesse et amour des siens et des orphelins.