C’était le siècle dernier.
En 1919, les surréalistes interrogent leurs contemporains. « Pourquoi écrivez-vous ? ». « Si l'on écrit, ce n'est qu'un refuge : de tout point de vue ». C’est la première réponse, et c’est celle de Tristan Tzara. « Par faiblesse », renchérit Valéry.
Jean Paulhan : «Mais enfin, j’écris peu, votre reproche me touche à peine ».
Si la question exprime l’inquiétude face à l’avenir qui succède à la guerre, alors ...
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