Cette correspondance rassemble deux écrivains en apparence très éloi- gné, tant du point de vue de l’écriture que dans la façon de se situer, de vivre et d’appréhender la chose littéraire et politique. Georges Perros est poète, et des plus sensibles à l’inactualité de la vie ordinaire. Rétif à l’engagement, il s’est arcbouté très tôt dans une posture existentielle de retrait, alors qu’à l’opposé, Pierre Pachet, dans ses cours de littérature, a souvent défendu l’idée... >Voir plus
Cette correspondance [est] passionnante et troublante : elle est en perpétuel déséquilibre. Il y a l’écart d’âge, la différence des positions, et surtout l’asymétrie entre une amitié recherchée et une distance maintenue, avec un mélange d’humour et de méfiance assez détonnant.
William Wyler lui offre son premier rôle en 1968, dans un film basé sur la comédie musicale du même nom d'Isobel Lennart, Bob Merrill et Jule Styne créée à Broadway. Quel est le titre du film où elle partage l'affiche avec Omar Sharif?